Notes sur SAINT-AUBIN-sur-AUQUAINVILLE.
SAINT AUBIN D’AUQUAINVILLE, réunie en 1831 à AUQUAINVILLE.
– S.Albinus super Auquainville – S Albinus
Saint-Aubin-sur-Auquainville, réunie en 1831 à Auquainville.
Sanctus Albinus super Auquainvillam, XVI° s° (pouillé de Lisieux, p. 56).
Patr. le seigneur du lieu.
Dioc. de Lisieux,
doy. du Mesnil-Mauger.
Génér. d’Alençon,
élect. de Lisieux,
sergent. d’Orbec.
Le fief de St Aulbin, tenu par les héritiers de Damoiselle Marguerite Coullomp, héritière de feu Robert Coullomp, en son vivant, pour un plein fief.
Les fiefs de Querville et de la Rivière.
1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.
1 – Bibliographie.
Voir :
Ferrière
Extraits de la Ste Historique de Lisieux 39
Election de Lisieux, sergenterie d’Orbec 9 feux
2 – Pièces Justificatives.
Inventaire historique des actes transcrits aux insinuations ecclésiastiques de l’ancien Diocèse de Lisieux.
264. — Le 7 mars 1695, François Caboulet, marchand, demeurant à St-Aubin-sur-Auquainville, constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me. Jean Caboulet, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés.
Led. Sr. acolyte, se trouvant présentent au séminaire, fut représenté par Mr Thomas Delamare, pbrë, vicaire do Fervaques.
287. — Le 30 mars 1694, Guillaume Cauchois, cordonnier, demeurant à Auquainville, fait son testament, en faveur de M. Gabriel Lemonnier, pbrë, vicaire d’Auquainville, à charge de divers services religieux.
264. — Le 1 mars 1695, François Caboulet, marchand, demeurant à St-Aubin-sur-Auquainville, constitue 150 livres de rente en
faveur de son fils, Me. Jean Caboulet, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés.
Led. Sr. acolyte, se trouvant présentement au séminaire, fut représenté par Me. Thomas Delamare, pbrë, vicaire de Fervaques.
68.— Le 10 décembre 1695, la nomination à la cure de St-Aubin-sur-Auquainville appartenant au seigr du lieu, noble dame Marie de Belleau
Vve. de Mre. Gabriel de la Haye, chev. seigr et patron de Couloncel et de St-Aubin, nomme à lad. cure, vacante par la démission de Me Etienne Le Camus, pbrë, curé de Grandchamp, dernier titulaire, la personne de Me Jean Caboulet, diacre de lad. parr.
Le même jour, Me. Christophe Le Nepveu, vic. Gl, donne aud. Sr Caboulet la collation dud. bénéfice.
Le 27 décembre 1695, le Sr. Caboulet, pbrë, prend possession de la cure de St-Aubin, en présence de Mr. Pierre Hurel, pbrë, desservant lad,
parr. ; Jean Lepetit, Sr. de Granchamp, capitaine lieutenant au régiment de cavalerie de Sostreville (?), et autres témoins.
537. — Le 15 avril 1702, François-Nicolas Caboulet, acolyte de la parr. de St-Aubin-sur-Auquainville, est ordonné sous-diacre.
23. — Le 5 oct. 1703, vu l’attestation du Sr. Cantel, curé de Canapville, et du Sr. Caboulet, curé de St-Aubin-sur-Auquainville,
dispense de bans pour le mariage entre Antoine Hardouin et Catherine Pigis.
Le Sr. Caboulet-Deslandes avait été baptisé, le 23 août 1677, dans l’église de St-Aubin-sur-Auquainville.
254. — Le 17 avril 1710. Me. Jean Caboulet, pbfë, curé de St-Aubin-sur-Auquainville, icelle cure étant d’un revenu modique, Mesr. arts
en l’Université de Paris, ayant élu domicile en la maison de son frère Charles Caboulet, Me. de l’hostellerie où pend pour enseigne
Le More, faubourg de la porte d’Orbec, parr. St-Jacques de Lx, fait signifier ses noms et grades au seig. évêque et aux sieurs chanoines de Lx.
480. — Le 31 mars 1711, Me. Jean Caboulet, pbfë, curé de St-Aubin-sur-Auquainville, de revenu très modique, et pourvu de la chapelle de la Magdeleine en la Cathédrale, Me. ès-arts eu l’Université de Paris, demeurant en lad. pair, de St-Aubin, fait réitérer ses noms et grades au seig. évêque et au Chapitre de Lx.
192. — Le 24 mars 1712, Me. Jean Caboulet, pbfë, curé de St-Aubin-sur-Auquainville. étant d’un revenu très modique, pourvu de la chapelle de la Magdeleine en la Cathédrale, Me.es-arts en l’Université de Paris, fait réitérer ses noms et grades au seig. évêque et au Chapitre
de Lx.
431. — Le 13 avril 1713, Me. Jean Caboullet, pbrê, curé de St-Aubin-sur-Auquainville, d’un revenu très-modique et chapelain de là
Madeleine en la Cathédrale, aussi de peu de revenu, Me. ès-arts en l’Université de Paris, demeurant à St-Aubin, fait réitérer ses noms et grades au seig. évêque et au chapitre de Lx.
51. — Le 29 mars 1714, Me Jean Caboullet, pbrë, curé de St-Aubin-sur-Auquainville, d’un revenu très-modique et chapelain de la
Madeleine en la Cathédrale, fait réitérer ses noms et grades au seig. évêque et au chapitre de Lx.
290. — Le 7 avril 1715, Me. Jean Caboulet, pbrë, curé de St-Aubin-sur-Auquainville, d’un revenu très-modique, Me ès-arts en l’Université
de Paris, fait réitérer ses noms et grades au seig. évêque et au Chapitre de Lx.
239. — Le 31 mai 1717, Me Jean Caboulet, pbrë, curé de St-Aubin-sur-Auquainville et de plus pourvu de la cure de Royville, donne sa
procuration pour résigner sa cure en faveur de M. Louis Decaux, pbrë, chapelain de la chapelle St-Gatien en la cathédrale de Séez, demeurant en la parr. de Gasprée aud. diocèse de Séez, de présent logé à Lx en l’hôtellerie où pend pour enseigne Le More, faubourg de la Porte d’Orbec, parr. St-Jacques ; et led. Sr. Decaux donne également sa procuration pour résigner lad. chapelle entra les mains du seig. évêque de Séez en faveur dud. Sr. Caboulet, pour cause de mutuelle permutation, fait en présence de M. Jean Vigne, pbrë, présenté à la cure de Carsis, et de M. Jean Seney, vicaire de St-Germain de Lx.
Le même jour, le seig. évêque donne aud. Sr Decaux la collation de la cure de St-Saturnin de Royville.
26. — Le 17 mars 1722, le seig. évêque donne à M.Jean Caboulet, pbrë. la collation de la cure de Piencourt. vacante par la mort de M. François Formage.
Le dimanche 12 avril 1722. Led. Sr. Caboulet. curé de St-Aubin-sur-Auquainville, prend possession du bénéfice-cure de Piencourt en
présence d’un grand nombre de paroissiens réunis pour entendre la messe et parmi lesquels Germain Farain, marchand, qui a empêché les
autres de dire leur nom et de signer, et qui est sorti de l’église avec eux.
Après cette prise de possession se sont présentés. Me. Pierre-Alexandre Motaillé, pbrë. curé de la lère portion, et Louis Grieu, pbrë, curé de la 2ème portion de Piencourt, qui ont déclaré qu’ils s’opposent formellement à lad. prise de possession, attendus qu ils sont eux-mêmes pourvus de lad. cure. Le Sr. Caboulet proteste de nullité lad. opposition.
420. — Le 26 octobre 1727, Nicolas-Charles Caboulet, fils de Charles et de Magdeleine Vallée, de la parr. de St-Aubin-sur-Auquainville, reçoit la tonsure et les ordres mineurs.
1405. — Le 10 mars 1734, la nomination à la cure de St-Aubin-sur-Auquainville appartenant au seig. du lieu, haut et puissant seig.
Mesre Auguste-Léon de Bullion, chev., marquis do Bonnelles, baron d’Auquainville, seig. et patron de Fervaques, Prètreville, la Croupte,
St-Aubin-sur-Auquainville et autres lieux, consr. du roy en ses conseils, lieutenant-général pour Sa Majesté de la province de Guyenne, demeurant en son hôtel, à Paris, rue Neuve du Luxembourg, parr. Ste-Madelaine de la Ville-L’Evêque, nomme à lad. cure de St-Aubin, vacante par la démission de Me. Jean Caboulet, dernier titulaire, la personne de Me. Guillaume-Pierre .Milcent, pbre du diocèse de Lx.
Le 17 mars 1734, les vicaires généraux du seig. évêque donnent aud. Sr. Milcent la collation dud. bénéfice.
Le 5 avril 1734, le Sr. Milcent prend possession de la cure de St-Aubin, en présence de Me. Jean-Baptiste Graindorge, pbrë, curé du
Mesnil-Guillaume; Me. Michel-Charles Bardel, pbrë, curé de Tonnencourt; Me Charles Clopée, pbrë, curé de St-Aubin de Cernay; Me Nicolas
André Piel, pbrë, curé de Cerqueux, et autres témoins.
438.— Le 30 déc. 1742, Nicolas Caboullet, laboureur, demeurant à St-Aubin-sur-Auquainville, et Pierre Blondel,aussi laboureur, demeurant
à Ste-Marguerite-des-Loges, constituent 150 livres de rente en faveur de Me. Jean-Nicolas Caboullet, acolyte de lad. parr. de St-Aubin,
afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés.
140 Le 28 Mai 1751, Me Guillaume-Pierre M……, pbr, curé de St-Aubin-sur-Auquainville et aussi pourvu de la cure de Meulles remet purement et simplement led. bénéfice de St-Aubin entre les mains de Mrs. Auguste-Léon de Bullion, chev, marquis de Bonnelles et de Galardon, baron d’Auquainville, châtelain du Coudrey, seig. du Bullion, les Bordes, Esclimont, St-Symphorien, Pruney, Bleure, .Montlouelt, Bailleau, Ecrosnes, Serqueuses, Fervaques, Prétreville, Chefreville, la Croupte, St-Aubin et autres lieux, cons. du roy en ses Conseils,lieutenant général pour Sa Majesté en sa province de Guyenne et patron dud. bénéfice de la Croupte.
71. — Le 23 févr. 1785, Jean-Baptiste Deshayes, laboureur, demeurant à Cernay, et Simon Deshayes, son frère, aussi laboureur, demeurant à St-Aubin-sur-Auquainville, constituent 150 livres de rente en faveur de Me Simon Pierre Deshayes, acolyte, leur autre frère, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Fait et passé à Orbec, en l’étude de Me Gueslin.
Led. acolyte absent fut représenté dans cet acte par Me Thomas Perinne, pbre, curé de Cernay.
146 — Le 15 nov. 1783, dispense de bans pour le mariage entre Me Nicolas Caboulet du Parc, chirurgien, fils de François et de dame
Suzanne Rosey, originairo de la parr. de St-Aubin-sur-Auquainville et demeurant en celle de Fervaques, d’une part, et de Dmell Charlotte-Félicitè-Aimée Pain, fille mineure de Me Charles-Nicolas Pain et de dame Marie-Louise Vimont, de lad. parr. de Fervaques.
279. — Le 6 janv. 1766, Nicolas Caboulet et Pierre Le Mière, laboureurs, demeurant à St-Aubin-sur-Auquainville,constituent 150 livres
de rente en faveur de Me. Michel Le Mière, acolyte, frère dud. Pierre, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Fait et passé à Prétreville, en l’étude de Me. Louis Horchville, notaire pour le siège d’Auquainville.
Led. Sr. acolyte absent fut représenté dans cet acte par son autre frère, Jacques Le Mière, laboureur,demeurant aussi en lad. part-, de St-Aubin.
Louis Jourdain, acolyte do la pair. d’Auquainville
THESE Emilie CAVANNA : Spatialisation des élites rurales médiévales et modernes dans le Bassin parisien. Pour une approche archéogéographique des pratiques sociales de distinction. le 15 Septembre 2016
Aubin, à St-Aubin-sur-Auquainville
Rôle des taxes Évreux, 1562 (P-F Lebeurier 1861)
« Jehan de Belleau, escuyer, seigneur du lieu et pour le fief
de Sainct Aulbin (XL l.) »
Synthèse des données disponibles (cf. Fiche-Inventaire):
Disparu au cours du XIXe s. (comme la paroisse de St-Aubin, annexée à Auquainville), il est daté du XVIe s. par A. de Caumont qui note un grand nombre de pavés émaillés. Les archives ne font mention du fief de St-Aubin qu’à partir du milieu du XVIe s., en la personne du « défunt Robert Coulomb » (1548) et de son héritière « Marguerite Coullomp, héritière de feu Robert Coullomp, en son vivant écuyer pour un plein fief » (citée en 1606). C’est pourquoi le doute est permis quant à l’affiliation d’un Jehan de Belleau à ce même fief, en 1562 (cf. Rôle des taxes) – à moins que ce dernier ait épousé l’héritière Coullomp.
Insinuations
Recherche de 1666
Gabriel de la Haye seigneur de Coulonces ancien noble.
STATISTIQUE MONUMENTALE DU CALVADOS PAR ARCISSE DE CAUMONT
SAINT—AUBIN—D’AUQUAINVILLE.
Notes de M. Ch. Vasseur.
St-Aubin-d ‘Auquainville, Sanctus Albiniis super Auquainville.
Petite paroisse d’une quarantaine d’habilants, St-Aubin n’a pas conservé son autonomie : elle a été réunie à Auquainville.
On y trouve un manoir du XVIe siècle, n’offrant de remarquable qu’un grand nombre de pavés émaillés de la même époque; manoir que menace une prochaine destruction, et une petite église, qui doit sa conservation au choix qu’en avait fait M. le marquis de Custine, comme chapelle funéraire pour sa famille.
Tous les membres caractéristiques de l’architecture accusent le XVI° siècle. La plupart des ouvertures ont été repercées sous le règne de Louis XV.
Un petit clocher en charpente, assez obtus, est assis sur le pignon occidental.
Les trois autels sont en chêne et peuvent dater du règne de Louis XV. La chaire, de même style, est assez élégante.
Au milieu du choeur, sur deux tables de marbre, on lit les inscriptions suivantes :
ICI REPOSE
DAME LOUISE DELPHINE ELEONORE MELANIE DE SABRAN
VEUVE DE MONSIEUR
AMAND PHILIPPE LOUIS FRANÇOIS MARQUIS DE CUSTINE
NÉE A PARIS LE 18 MARS 1770
DECEDEE A BEX EN SUISSE.
LE 13 JUILLET 1826.
ICI REPOSENT
DAME AIMÉE LEONTINE DE S. SIMON DE COURTOMER
NEE LE 12 FEVRIER 1803
MARIÉE LE 15 MAI 1821 A
ASTOLPHE LOUIS LEONOR MARQUIS DE CUSTINE
PoT
LOUIS PHILIPPE ENGUERRAND DE CUSTINE LEUR FILS UNIQUE
NÉ LE 19 JUIN 1822
DÉCÉDÉ Le 2 JANVIER 1826.
M. de Custine, dont les ouvrages littéraires sont connus de tous ceux qui lisent, est décédé en octobre 1857, à son château de St-Gratien, près d’Enghien. Je ne crois pas qu’on ait réalisé le projet qu’il avait formé de partager la sépulture du reste de sa famille.
La cloche de St-Aubin est déjà ancienne ; l’inscription est ainsi conçue :
LAN 1719 GVILLAVME PIERRE MILLECENT DE LA BEVVINNIÈRE CVRE
DVDIT LIEV HAVT ET PVISSANT SEIGNEVR MESSIRE AVGVSTE LEON DE
BVLION CHEVALIER MARQVIS DE BONNELLES, SEIGNEYR ET PATRON DE St-
AVBIN ET AVTRES LIEVX. JACQVES LEMIÈRE TRESORIER EN CHARGE.
C’est seulement au XVIII°, siècle que les pouillés attribuent le patronage de St-Aubin au seigneur laïque : auparavant, il appartenait au chapitre de Lisieux. Je suis porté à voir là une confusion entre St-Aubin et Notre-Dame d’Auquainville, l’un et l’autre du doyenné de Livarot. St-Aubin faisait partie, pour le civil, de l’élection de Lisieux, sergenterie d’Orbec.
Cette ancienne paroisse, de l’élection de Lisieux, était fort peu peuplée. En 1720 on n’y comptait que 9 feux. Elle parait avoir donné son nom à une famille de St-Aubin, qui a existé dans les environs, jusqu’au XVIe siècle. A cette époque, les seigneurs de cette paroisse étaient les de Belleau, possesseurs du fief de ce nom, à Notre-Dame-de-Courson.
La seigneurie de St-Aubin, acquise depuis par les seigneurs de Fervaques, est restée réunie à cette dernière terre jusqu’à l’époque de son démembrement. L’ancienne église paroissiale est devenue la sépulture de la famille de Custine.
Gabriel de La Haye, sieur de Çoulonces, fit en 1666, preuve d’ancienne noblesse, en la paroisse de St-Aubin-d’Auquainville.
Il demeurait au manoir de Villaunay, devenu, au commencement du siècle suivant, la propriété de Jean-Louis Rioult, sieur de Marencourt, père d’Isaïe-Louis Rioult, sieur de Villaunay et d’Avenay, aïeul, lui-même, de Mme de Caumont et de Mme du Moncel, née de Magneville.
Cette terre appartient aujourd’hui à M. le comte du Moncel, connu par d’importants travaux scientifiques.
3 – Archives ShL.
Sanctus Albinus super Auquainvillam, XIV° s (pouillé de Lisieux, p. 56).
Patr. le seigneur du lieu.
Dioc. de Lisieux.
doy. du Mesnil-Mauger.
Génér. d’Alençon
élect. de Lisieux,
sergent. d’Orbe.
Sous l’invocation de St Aubin
Patronage: 14e – 16e Capitulum lexovienne – 18e le seigneur
Curé: Levavasseur 1751-1787
Description de l’église du 9 septembre 1853
Description de la cloche
L’An 1739 Guillaume Pierre Millecent de la Bervinnier, curé dudit lieu, Haut et Puissant Seigneur Messire Auguste Léon de Bulion, chevalier, marquis de Bonnelles, seigneur et patron de St Aubin et autres lieux.
Jacques Lemière, trésorier en charge.
Inscriptions de sépultures
– Ici repose Dame Louise Delphine, Eléonore, Mélanie de Sabran, veuve de Monsieur Armand louis Philippe François, marquis de Custine, née à Paris le 18 mars 1770, décédée à Bex en Suisse le 13 juillet 1826.
– Ici reposent : Dame Aimée Léontine de Saint Simon de Courtemer née le 12 février 1803, mariée le 15 mai 1821 à Astolphe Louis Léonor, marquis de Custine, décédée le 7 juillet 1823 – Et Louis Philippe Enguerrand de Custine, leur fils unique, né le 19 juin 1822 et décédé le 2 janvier 1826
– Fonds NEDELEC: Archives NEDELEC Communes