LE CHÊNE

NOTES sur : LE CHÊNE


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La commune actuelle de Lessard-et-Le Chêne a été constituée par la réunion des paroisses et municipalité de Lessard et Le Chêne-en-Auge (Arrêté du Directoire du département du 16 février 1791).

1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.

1 – Bibliographie :

CAUMONT Arcisse de : Statistique monumentale du Calvados
BILLY Jacques, Haras et élevages de Normandie, Condé-sur-Noireau, Corlet, 1984.
Editions FLOHIC : le patrimoine des Communes du Calvados page 1021.
PANNIER Arthème : voir Archives SHL, NE12, 1er carton.

2 – Références historiques :

Statistique Monumentale Du Calvados Par Arcisse De Caumont.
LE CHESNE.
L’ancienne paroisse du Chesne, aujourd’hui réunie à Lessard, faisait partie, comme cette dernière, de l’élection de Pont-l’Évêque. Il y avait 4 feux privilégiés et 28 feux taillables.
Le patronage de cette paroisse appartenait, au XIVe siècle, au duc de Normandie; au XVI, au chapitre de Cléry.
L’église a été démolie. Elle avait été dédiée en 1119 a par dôm Guillaume Chevron, évêque de Porphyre, moine de Ste,-Barbe. Cette dédicace était mentionnée sur la voûte, qui datait de cette époque. Il est probable que les murs étaient plus anciens.
L’église du Chesne (ecclesia de Quercu) avait pour patron Saint-Pierre.
Sur l’emplacement de l’ancien cimetière, qui entourait cette église, s’élève un if magnifique qui étend au loin ses rameaux.
Les seigneuries du Chesne et de Lessard ont presque toujours été dans les mêmes mains. On peut donc ici les réunir. M. Charles Vasseur nous apprend que Pierre Le Sauvage, anobli en 1522, devint peu de temps après seigneur du Chesne.
Il eut un fils, nommé aussi Pierre, qui lui succéda. Bien qu’il paraisse avoir eu plusieurs enfants, sa fille, demoiselle Roberte Le Sauvage, fut son héritière et porta ses biens à Mathieu de Serres, ou plutôt elle les partagea par avancement d’hoirie entre nobles hommes Charles et Jacques, dits de Serres, sieurs de Montfort et de Monstereul, ses enfants. Charles fut seigneur du Chesne où il établit sa résidence. Il épousa noble damoiselle Suzanne de Boucquetot, dame de Coquainvilliers, comme héritière de Jacques de Boucquetot, son frère.
A Charles succéda noble seigneur Jean de Serres, ecscuier, seigneur et patron des paroisses de Coquainvilliers, le Chesne et Lessard, demeurant en son manoir seigneurial de Coquainvilliers. De sa femme, Cécile Ruault, il n’eut qu’une fille, Jacqueline de Serres, mariée en 1667 à Aimar-Antoine de Prie, seigneur et baron de Plasnes, seigneur de Coquainvilliers, le Chesne et Marigny (Le nom de ce seigneur figure sur la petite cloche de Lessard, dont nous avons donné l’inscription.). Elle mourut en 1688 et fut enterrée dans l’église de Coquainvilliers. Son mari lui survécut. Il ne décéda qu’en 1714, à l’âge de quatre-vingt-quatre ans.
De leur union sortirent huit enfants. C’est le cinquième, François-Louis-Léonard, qui obtint la possession des terres de Coquainvilliers, le Chesne et Lessard, auxquelles il ajouta, après la mort de son frère aîné, le marquisat de Plasnes et Courbépine. Il mourut dans ses terres, le 9 novembre 1772, âgé de 90 ans. Il avait épousé, le 27 septembre 1731, Marie-Madeleine-Geneviève Coquet de Tolleville, qui lui donna un fils, nommé Louis, né le 25 février 1734, qui s’unit, le 24 novembre 1754, à Louise-Camille-Victoire de Villette. L’ayant perdue, il se maria en secondes noces à Madeleine de Manville et Ward, veuve de lord Guillaume Schirley. Il ne mourut qu’à l’âge de quatre-vingt-deux ans. Il avait, dès sa jeunesse, dissipé sa fortune.

Collection de Répertoires Sommaires des Documents Antérieurs à 1800 Conservés dans les Archives Communales – Ministère de L’instruction Publique.
LE CHENE.
I. Dioc. de Lisieux. Baill. et maîtrise de Pont- l’Évêque. — Gr. à sel de Livarot. Gén. et int. de Rouen; él. et subd. de Pont- l’Évêque.
II. Distr. de Lisieux; cantón de Saint- Julien- le- Faucon (Arrêté du 1er mars 1790).
III. 4° arr. communal (Arr. de Lisieux); canton de Saint-Julien-le- Faucon (Loi du 28 pluviôse an VIII); Lisieux (2 section) (Arrêté du 6 brumaire an X). (1911). – Sup.: 1008 hect. 69 a. 25 c. — canton de Pop.: 265 hab.
ADMINISTRATION GÉNÉRALE : Lessard. -Délibérations. 29juin 1788-24 août 1792 (Reg., 71 fol.) Le Délibérations. 22 août 1790-12 janvier 1792 Chêne. (Reg., 100 fol.) ―― Lessard-et-Le Chêne. Délibérations (). 15 thermidor an II-10 germinal an VII (Reg., fol. 1-84). Reprise des actes et délibérations : 30 prairial an VIII.
ÉTAT- CIVIL : Lessard. Le Chêne. Baptèmes, mariages et sépultures, depuis 1671. – Baptêmes, mariages et sépultures, depuis 1663.
IMPOSITIONS. États de sections. 1792 15 cah., 276 fol.) – Matrice foncière. 1792 (Cah.) – Un état descriptif des fonds du 1er nivôse an VII (Cah., 14 fol.) et un rôle des sommes à payer en 1792 (Cah., 10 fol.), cotes G. 13 et 17 de l’inventaire arrêté le 19 juillet 1859, n’ont pu être retrouvés.
POLICE. Certificats de résidence, depuis le 30 frimaire an II (Reg.)
Voir aux Archives du Calvados les délibérations du Comité de surveillance de Lessard-et-le- Chène. 9 juin 1793-30 fructidor an II (Reg.)

Recherche faite en 1540, parles élus de Lisieux des nobles de leur élection…L’abbé de la Roque
PIENCOURT.
Constant le Portier, Sr. du Chesne , pour justifier sa noblese ancienne, a fourni plusieurs lettres et écritures, par lesquelles il disoit estre justifiée sa descente de Jacques le Portier son bisayeul, qui, en 1434, épousa damoiselle Isabeau Borel.
HEUGON.
157. Guillaume des Chesnes, Sr, du lieu, a déclaré être noble de toute ancienneté, dont il a baillé généalogie commençante à Guillaume des Chesnes, Sr. du lieu , vivant en 1439, qui épousa damoiselle Jeanne du Moutier, desquels il a dit fournir sa descente de degré, en degré, joûte plusieurs chartes et écritures dont la copie est demeurée au greffe.

Lors de la Recherche des Elus de Lisieux trois gentilshommes résidaient au Chesne mais aucun n’est qualifié seigneur du lieu. LE CHESNE:
– 194. Jacques de Martinville, Sr. de St.-Martin, a déclaré qu’il étoit de noblesse ancienne, et descendu de pere à fils de Guillaume de Martinville, vivant en 1385, qui se titroit noble, et Sr. de Soubsmont, vivant en 1385, selon qu’il l’a fourni par plusieurs lettres, dont la copie est demeurée au greffe.
– 195. Jean de Soliers, autrement de la Fosse, a dit être procréé de noblesse ancienne, dont il a baillé généalogie, pour laquelle justifier, il a produit plusieurs lettres et écritures, dont la 1re. est sur le nom de Robert de la Fosse, valet de chambre du Roi notre sire, et datée de l’an 1402. Le tout vû par le procureur du Roi, il a requis le dit de la Fosse être contraint vérifier sa descente du dit Robert en titres de noblesse.
– 196. François de Sidebray a dit être issu de Roger de Sidebray, personne noble, et pour le justifier s’est aidé de plusieurs lettres, dont la 1re. est un vidisse du 26 septembre 1537 de lettres royaux du aout 1459, obtenus du roi Charles par le dit Roger, qui y est titré écuyer. Mais parcequ’il n’a autrement fourni sa noblesse ni suffisamment sa descente du dit Roger, le procureur du roi a requis qu’il soit assis.

SAINT-JACQUES ET SAINT-GERMAIN DE LISIEUX.
Un autre gentilhomme habitait en même temps la paroisse du Chesne et il en devint ensuite seigneur c’est Pierre le Sauvage (tué par Nicolas de Maduel, sieur de Chus) qui figure dans les actes de 1516 et 1538 ; la première fois sans aucune qualification, la seconde avec le titre d’écuyer. En effet il avait été anobli en 1522 seulement moyennant 500 livres. (Recherche p.52)Il eut un fils qui vivait en 1540 et se nommait Pierre comme son père.Le premier était décédé en 1541.
– 130. Pierre le Sauvage , pour lui et Pierre , son père, demeurant en la paroisse du Quesnay, a montré un anoblissement concédé à son dit père, en octob. 1022 , pour 500 liv. payées , jouxte la quittance.
– Pierre II se titrait écuyer, sieur du Chesne. Il paraît avoir eu plusieurs enfants, cependant sa fille Damoiselle Robert le Sauvage, fut son héritière et porta sa succession à Mathieu de Serres, qui était décédé en 1594. Elle-même avait en 1598 abandonné ses biens par avancement d’hoirie à Nobles Hommes Charles et Jacques dit de Serres, sieurs de Montfort et de Monstereul, ses enfants. Charles fut seigneur du Chesne, Il épousa Noble Damoyselle Suzanne de Bonequetot (ou Boucquetot), dame de la terre et sieurie de Coquainvillaires comme héritière de Jacques de Bonequetot (ou Boucquetot), son frère (aveu du XVIIe siècle).
Charles de Serres demeurait au Chesne suivant une transaction du 6 octobre 1612. A Charles succéda noble seigneur Jean de Serres, escuier, seigneur et patron des paroisses de Coquainvilliers, le Chesne et Lessard, demeurant en son manoir sieurial dudit Coquainvilliers, suivant un acte d’échange du 13 mars 1651. Il épousa Cécile Ruault qui ne lui donna qu’une fille Jacqueline de Serres, mariée en 1667 à Aimar-Antoine de Prie, seigneur et baron de Plasnes, seigneur de Coquainvilliers, le Chesne, Marigny … Elle mourut en 1688 et fut enterrée dans l’église de Coquainvilliers. Son mari lui survécut, il ne mourut qu’en 1714 à l’âge de 84 ans.De leur union 8 enfants dont 5 garçons. C’est le 5e, François, Louis, Léonard, que nous trouvons en possession des terres de Coquainvilliers, le Chesne, et Lessard, auxquelles il joignit après la mort de son frère aîné, le marquisat de Plasnes et Courbépines.Il mourut dans ses terres le 9 novembre 1772 âge de 90 ans. Il avait épousé le 27 septembre 1731 Marie Madeleine Geneviève Coquet de Tolleville, qui lui donna un fils nommé Louis, né le 25 février 1734, qui épousa le 24 novembre 1754 Louise Camille Victoire de Villette. L’ayant perdue il se maria en secondes noces à Madeleine de Manville et Ward, veuve de Lord Guillaume Schirley. Il en mourut qu’à l’âge de 82 ans mais il avait dès sa jeunesse dissipé sa fortune. (La Chesnaye Tome XI p.543)

Archives ecclésiastiques : clergé régulier (série H).
Ordres religieux d’hommes
Abbaye du Bec (Ordre de Saint-Benoît)
– Transaction passée entre les représentants de l’abbaye du Bec, d’une part, nobles hommes Pasquier Régnier, homme d’armes de la compagnie du seigneur de Carouges, et Mathieu de Serres, capitaine pour le Roi de gens de pied, héritiers par leurs femmes de Pierre Le Sauvage, pour terminer les difficultés pendantes depuis 1554 au sujet de leurs droits respectifs sur les fiefs du Chesne, Lessard et Montfort. L’abbaye donne à fieffe auxdits Régnier et de Serres « le fief, terre et sieurye que lesdits relligieulx, abbé et couvent avoyent de tout temps et ont encores de présent en ladite parroisse du Chesne, Lessard et Montfort », moyennant le prix principal de 1,200 livres tournois, plus 18 deniers pour livre et une rente annuelle de 60 livres tournois (1571) ; « mémoire pour messire Marc Antoine, chevalier, marquis de Prie, et dame Jacqueline de Serre, son épouse, deffendeurs » contre l’abbé du Bec, demandeur en restitution à l’abbaye des biens aliénés en vertu du contrat de fieffé ci-dessus (1707, imprimé) ; exploit de signification « audit seigneur et dame de Prix, en parlant à leurs personnes trouvées en leur terre de Prix, paroisse de Plasne » d’un arrêt du Grand-Conseil à Paris, obtenu par l’abbé du Bec, le 31 mars 1707, « par lequel, entre autre chose, ils sont condamnez à se désister et départir de la possession et jouissance de plusieurs biens aliénés dépendant de laditte abbaye du Bec, pour estre et demeurer réunis à perpétuité au domaine de laditte abaye du Bec » ; correspondance de MM. Baudouin et Fouquet, receveurs de l’abbaye du Bec, avec le marquis de Prix et M. de Fremin de Lessard, possesseurs des fiefs du Ghesne, Lessard et Montfort, au sujet du payement de la rente annuelle de 125 livres par eux due à l’abbaye (1746-1787) ; note informe sur les mutations des fiefs du Chesne, Lessard et Montfort « vendus par M. de Prix à M. Mahiet des Acres par contrat du 15 octobre 1777, et par M. Mahiet à M. Fremin par contrat du 11 octobre 1781.

Une autre famille noble faisait sa résidence au Chesne, la famille le Normand.
Jean LE NORMAND , IV. du nom , écuyer, sieur de la Garenne et du Bûchet , demeurant dans la pa roisse du Chesne, près Saint-Julien de Faucon , fut reconnu noble d’ancienne race , par l’arrêt de la cour des aides de Normandie, énoncé ci- dessus. Il servit des 1638 , et fit d’abord deux campagnes sur mer, sur le vaisseau le Cardinat, commandé par Louis -Charles du Val de Coupeauville , ainsi qu’on le voit par un certifi cat de ce capitaine , du 21 septembre 1639. Il entra, en 1642, dans la compagnie des chevau-légers du marquis de Coislin , ainsi qu’il est prouvé par un certificat du 17 avril, donné par Louis de Valois d’Ecoville, capitaine d’une compagnie dans le même régiment , certificat qui atleste les services dudit sieur de la Garenne et de Bret teville durant les sièges d’Aire , de la Bassée , de Ba paume, el en d’autres occasions. Il comparul à la mon tre de l’arrière- ban de la noblesse du bailliage de Rouen, suivant le certificat du sieur de Courseulles, du 29 anai 1693 , et un autre certificat du marquis de Beuvron , chevalier des Ordres du roi, et son lieutenant – géné ral au gouvernement de Normandie , du 25 juin 1694. Jean Le Normand décéda , au mois de février 1697, à l’âge de 76 ans. Il avait épousé, par traité du 16 no vembre 1651 , reconnu devant Gilles Lucas et Nicolas Lévêque, tabellions en la vicomté d’Auge , demoiselle Renée de Bonnet, fille d’Eustache de Bonnet , escuyer , sieur de Bourdonnières , et de demoiselle Françoise de Cordey.
Il mourut en 1697 à l’âge de 76 ans, laissant 3 enfants. Gabriel, son fils, fut seigneur du Buchet. Il est probable qu’il résida aussi au Chesne, car plusieurs de ses 7 enfants firent des alliances dans les environs. Il mourut à Orbec en 1737. Il avait épousé en 1680 Marie du Pommeret, fille de Jean, sieur du Castellier. L’ayant perdue ; il épousa en secondes noces Marie de Lyée qui ne lui laissa pas d’enfants. Cette famille est représentée aujourd’hui pas un colonel de la Garde Impériale.

Dictionnaire topographique du département du Calvados – Hippeau Célestin.

Chêne (Le) ou le Chêne-en-Auge, commune réunie à Lessard, qui prend le nom de Lessard-et-le-Chéne. — Quercus, XIV° siècle (pouillé deLisieux, p. 47). Par. de Saint-Pierre, patr. le chapelain de Cléry.
Dioc. de Lisieux, doy. du Mesnil-Mauger. Génér. De Rouen, élect. de Pont-l’Évêque, sergent, de Cambremer.
LESSARD-ET-LE-CHÊNE, cant. de Lisieux (2º section), communes réunies par arrêté du directoire du dépar-tement du 16 février 1791. Lessart en Auge,1234 (lib. rub. Troarn. p. 22). Essarta Evrardi, XIV° s (pouillé de Lisieux, p. 46). Asserta Evraldi, XIV°s (ibid. p. 75). L’Essart, XVIII s° (Cassini).–Église de Notre-Dame, patr. le roi et le seigneur du lieu. Aujourd’hui l’église paroissiale de Lessard-et-le-Chêne est sous l’invocation de saint-Exupère.

Barberie (La), h. – Bosc-Tesson (Le), h – Braudière (La), h – Bruyère-De-Le-Chêne (La) -h. – Bruyère-De-Lessard (La), h. – Bucher (Le), h. – Conterie (La), h. – Cour-Neuve (La), h. – Cour-Selles (La), h. – Hoguenet, vill. – Lieu-Jean-Le-Petit (Le), éc – Lieu-Louis (Le), h – Marais (Le), h – Maries (Les), h – Martinville, h, Sacqueray, assis dans la paroisse, 1374 (ch. De l’abb. des Vignats, n° 136) – Ormelaie (L’), h – Pont du Chêne (Le), sur la Vie, h. – Quénot (Le), h – Quesnot (Le), f – Rousserie (La), f – Saint-Jean-Le-Petit, h –

3. Archives S.h.L.

Cartulaire Shl avec inventaires ShL et sources bibliographiques diverses du Xe siècle à 1940 :
– 1544, lundi 29 décembre – Mesnil-Simon Inventaire des biens meubles appartenant à Geoffroy Collert, escuier, demeurant en la paroisse de Mesnil-Simon, estant en sa garde et saisine sur ses héritages et maisons scituez aud. lieu, et vente de ces boiiens à noble homme François de Defedebry, seigneur du Buchet, demeurant en la paroisse du Chesne.= Arch. M.C. Minute papier, 2 ff. – Analyse Et. Deville.
– 1563, Noble homme Loys Lepellerin, seigneur du Chesne et de Moyaux.= Tabell. Lisieux – Analyse Et. Deville
– 1569 Robert de la Masure, sieur du Chesne, à Moyaux.= Tabell. Lisieux – Analyse Et. Deville
– 1581, vendredi 23 juin – Mesnil-Simon Vénérable personne Me Georges Leproulx, prêtre, curé du Chesne, demeurant aud. lieu, remet ès mains de Guillaume Huchon, du mestier de brouderye, et Nicolle Bourg, sa femme, de la paroisse de Saint-Germain-de-Lisieux, deux pièces de terre en un tenant, l’une nommée la Court et l’autre la Peppinière, assises en la paroisse de Mesnil-Simon, au Hameau ès Huchons, que led. curé avait acquise desd. mariés, par le prix de 80 livres, le 30 décembre 1574.= Tabell. Lisieux – Analyse Et. Deville.
– 1604-1810 – Le Chesne, Lisieux, Glos-la-Ferrière, CoquainvillersDossier concernant les familles Aubert, Maillet, Cordier, Le Cordier, Hauvel, Surlemont; Trésor de saint-Jacques de Lisieux= Arch. SHL. 11 FA – 34
– 1659, 20 juinAveu rendu à Jean de Carrey, écuyer, seigneur chastelain de Saint-Gervais, et seigneur du Chesne, de Goville, du Val, conseiller en la Chambre des Comptes de Normandie, par Robert de la Vigne, pour l’aînesse au Bienvenu, sise à Moyaux, en la sieurie du Chesne.= Arch. SHL. Ms. FB 249
– 1721Aveu rendu à Robert de Carrey, écuyer, seigneur, sieur de Goville et du Chesne, par Louis-Nicolas DelaVigne, pour l’aînesse au Bienvenu, sise à Moyaux, en la sieurie du Chesne.= Arch. SHL. Ms. FB 249
– 1755, 8 janvier – Le Mesnil-Simon. Par devant Louis Questel Notaire, tabellion royal au Bailliage d’Auge pour le siège de Cambremer Crévecoeur. Fut présent Messire Adrien Lambert Chevalier, Seigneur de Formentin et autres Lieux, Conseiller au Parlement de Normandie, demeurant à Rouen, Paroisse Saint Patrice, maintenant en son Château de Formentin. Lequel a par ces Présentes Vendu et Promis Garantir à Messire Gabriel Auguste de Lyée, Chevalier Seigneur de Belleau, Cropus et la Christinière, demeurant en sa terre de Belleau, paroisse de Notre-Dame de Courson, acquéreur pour luy, ses hoirs ou ayant Cause La terre Noble Du Mesnil-Simon qui est un plein fief de haubert Entier, nommé le fief du Mesnil-Simon et s’étend ledit fief tant en ladite Paroisse qu’en celle du Chesne, De Lessard et des Monceaux, et Consiste tant en domaine fieffé, Rentes, Seigneuriales et droits seigneuriaux, qu’en domaine non fieffé, Sur lequel il y a Manoir Seigneurial, plusieurs autres maisons un Colombier et un Moulin à Bled.……. (voir fichier après 1700.doc)= Arch. M. de Longcamp – MC photocopie.

Bulletin des lois de la République Française 1830.
N.° 15,123. »ORDONNANCE DU Roi qui autorise l’acceptation de l’offre de donation d’une rente de 44 francs 44 centimes faite à la fabrique de l’église de Lessard et le Chêne (Calvados) par le sieur de Lessard. (Paris, 21 April 1830.)

Fonds Cartes et Plans.
323 – Lessard-et-Le chêne, tableau d’assemblage – 1955, Cadastre 1/10.000.

Archives NEDELEC Bibliographies.
13. 104 – Philippe de Beaumont (de) Jacques : Vente de terre située à Lessard-le-Chêne, 12/05/1833.

Archives NEDELEC Communes.
com.34.7.1 Lessard et le Chêne Ferme de la Rousserie
com.34.7.2 Lessard et le Chêne Ancien presbytère du Chêne alias manoir du Chêne
com.34.7.3 Lessard et le Chêne Château
com.34.7.4 Lessard et le Chêne Haras
com.34.7.5 Lessard et le Chêne Notes historiques
com.34.7.6 Lessard et le Chêne Vie de la commune
com.34.7.7 Lessard et le Chêne Haras des Chênettes

Inventaire Des Enveloppes.
– Enveloppe n° 2. Faire-Part Mariage –
Mr et Mme Alphonse Renoult Maxime Mr et Mme Louis Mesnil Edith 14/09/1925 Eglise de Lessard et le Chêne
– Enveloppe n°296 Cahier d’écolier – don de Mr Guérin (août 2012)
Facture vierge, en double exemplaire, des établissements René Ouin à Lessard et le Chêne vers 1930

FONDS Arthème PANNIER.
NE 12.1 – 1er carton « Communes ».
Lessard et le Chêne : église, cloches, commune, famille Sauvage.

Fonds Ancien 1F.
1F583 : 8 pluviôse An 8 : partage de la succession Le Cordier -Lessard et Le Chêne.

Archives SHL : 1F583 : 8 pluviôse An 8 : partage de la succession Le Cordier –Lessard et Le Chêne.
Archives SHL : 11FA – Fonds Michel COTTIN : – 1604-1810 – Le Chesne, Lisieux, Glos-la-Ferrière, Coquainvillers
Dossier concernant les familles Aubert, Maillet, Cordier, Le Cordier, Hauvel, Surlemont; Trésor de Saint-Jacques de Lisieux.

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