GLANVILLE

NOTES sur GLANVILLE
Glainvilla, Glainville, Glanivilla, Glanvilla, Glavilla. Glanville.

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Archives du Calvados.
Glanville (Calvados)
Canton actuel : Pont-l’Évêque
Arrondissement actuel :Lisieux

Glanville, canton de Dozulé.
Glandevilla, 1079 (Orderic Vital, t. II, p. 33).
Glanivilla, 1086 (cart. de la Trinité, 612).
Glainville, 1160 (Benoît de Sainte-More, t. III, p.593).
Glavilla, 1213 (pouillé de Lisieux, note, p. 52)..
Glantevilla, 1234 (lib. rub. Troarn. p. 11).
Glanvilla, XIV° s°;
Glainvilla, XVI° s° (pouillé de Lisieux, p. 52).

Par. de Notre-Dame,
patr. le seigneur.
Dioc. de Lisieux,
doy. de Beaumont.
Génér. de Rouen,
élect. de Pont-l’Évêque,
sergent. de Beaumont.

Fief de Glanville, huitième de fief tenu du fief de Grangues.
La vavassorerie de La Barberie, assise à Glanville, possédée par Louis Turgot, Ecuyer, relevant de la baronnie de Fauguernon, 1620 (aveux de la vie d’Auge).

Lieux-dits de: GLANVILLE.
BRETOCQS (LES), h. – Bruyère (LA), h. – Carrières-Boisne (LES), h. – Chêne-aux-Dames (LE), h. – Douet-des-Pierres (Le), h. – FAUDIS (Les), h. – Forge-Gohier (LA), f. – Lieu-Millet (Le), h. – Manoir (LE), h. – Mont-aux-Moines (LE), h. – PRESBYTÈRE (LE), h. – Quartier-de-l’Église (LE), h – Quesnay (LE), moulin – Vacherie (La), h. – VEAU-D’OR (LE),h.

– La vavassorerie de La Barberie, assise à Glanville, possédée par Louis Turgot, Escuyer.
– Le fief de Glanville, autrement dit Hulline-la-Mare, 8° de fief assis à Glanville, possédé par Anthoine D’Emery, Ecuyer, sieur de Villers.

1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.

1 – Bibliographie:

Delisle : Echiquier p. 147 n°664, p.155 n°680, p.169 n°732 Delisle : Catalogue des Actes de Philippe Auguste n° 1446
CAUMONT Arcisse de : Statistique monumentale du Calvados, réédition Floch, tome IV, page 60.
Editions FLOHIC : le patrimoine des Communes du Calvados page 1292
GLANVILLE Léonce de, « Note sur des constructions romaines trouvées à Glanville, près de Pont-L’Evêque », MSAN, XII, 1840-1841 (1841), pp.428-429, fig. pl. h.t.

STATISTIQUE MONUMENTALE DU CALVADOS PAR ARCISSE DE CAUMONT.
Glanville, ecclesia de Glainvilla.

L’église de Glanville est petite et n’offre rien d’intéressant que son choeur, bâti au XIIe. siècle. La voûte, divisée en deux travées par un arc-doubleau, est supportée sur des nervures en plein-cintre et à double moulure torique qui retombent sur des chapiteaux grimaçants et grossièrement sculptés.
Trois fenêtres romanes, cachées par un retable du XVIIe. siècle qui monte jusqu’à la voûte, se voient encore dans la sacristie ; ce sont les seules du temps de la construction qui soient arrivées jusqu’à nous ; les autres ont été élargies et refaites à des époques différentes. On voyait aussi l’appareil en arête de poisson dans le flanc méridional de la nef avant que l’Autorité municipale lui eût fait subir un affreux crépi en mortier, orné de lignes à la pierre noire destinées à simuler des pierres du plus bel appareil.
Nous devons encore signaler un travail malheureux, imaginé par un des derniers curés, qui, pour placer son école des filles, fit disposer, dans le bas de la nef, une tribune flanquée de deux lucarnes aux deux extrémités ; le tout du plus mauvais goût.
Un clocher en forme de flèche, et couvert en ardoise, termine l’église du côté de l’ouest, et le portail principal est tourné vers le sud : c’est une grande arcade du XVIe. siècle, sans aucun intérêt.
L’église de Glanville est sous l’invocation de Notre-Dame.
Au XIVe. siècle, Pierre de Malsigny ( Petrus de Malsigny) nommait à la cure, et jusqu’à la Révolution le patronage est resté laïque.

Constructions romaines.
— Il y a quelques années, la Société des Antiquaires de Normandie chargea M. de Glanville de diriger des fouilles dans un champ attenant à l’église : on trouva les fondations d’une construction peu importante, des médailles, des tuiles à rebords, des clous et tous ces débris qui accompagnent ordinairement les ruines romaines (Voir la note que j’ai publiée, ù ce sujet, dans le t. XII de la Société, p. 428).

2 – Pièces Justificatives:

Insinuations
Glanville : fondations de murailles qui annoncent un bâtiment assez étendu. Débris de tuiles et poteries (Cour d’antiquités Tome II p.237)

Echiquier de Normandie
An 1180 Rogerus de Glanvilla reddition compol ( ?) de 34 livres 17 sols 5 deniers
Antiquaires de Normandie XII p.428

Barthelemy de Glanville – franciscain – Polybiblion Janvier 1874 p.38 1e partie

– An IV, 9 thermidor (1796, 26 juillet) – Beaumont-en-Auge
Procès-verbaux des visites des moulins du canton de Beaumont-en-Auge:
Glanville: c chrétien, deux meulles
= A.D. Calvados – L Administration IV Police 41

Recherches des nobles de 1540.
Surville Messire Elie du Mont, chevalier seigneur dudit lieu de Surville, La Hunière, Fourquette, La Mote, Glanville, St Julien sur Calonne, Asseville… a dit faire probation suffisante de sa descente depuis Jean du Mont, son bisaïeul, seigneur desdites terres du Mont et de La Hunière, qui épousa Damoiselle Jeanne, fille du seigneur de Bellegarde et de Harouville en 1383.
Marie l’Abbé, fille de Jean, seigneur de Herousart etc. épousa Olivier d’Emery, seigneur de Villers sur Mer, la Motte, Glanville … à la fin du 16e siècle.

Inventaire historique des actes transcrits aux insinuations ecclésiastiques de l’ancien Diocèse de Lisieux – PIEL L.F.D.

453. – Le 21 sept. 1697, furent ordonnés sous-diacres : Me François Hémery, acolyte de la parr. de Glanville ; Le 20 sept. 1698, Me François Hémery, sous-diacre de la parr. de Glanville, rite dimissus, est ordonné diacre à Bayeux. Le 19 sept. 1699, il reçoit la prêtrise à Lx.

435. – Le 21 sept, 1700, Thomas Guesnet, fils de Pierre et de Magdeleine Menard, de la parr. de Glanville, reçoit la tonsure et les ordres mineurs.

15. – Le 26 décembre 1700, Pierre Guénet, fils de Thomas et de Catherine Mengeant, de la parr. . de Glanville, reçoit la tonsure et les ordres mineurs. Le 15 avril 1702, Pierre Guénet, acolyte de Glanville, est ordonné sous-diacre. Le 1 er mars 1702, Me Pierre Guénet, acolyte de Glanville, se constitue 150 livres de rente, afin de parvenir aux ordres sacrés de sous diaconat et de prêtrise. Le 22 mars 1704, Me Pierre Guénet, diacre de Glanville, est ordonné prêtre.

535. – Le 9 sept. 1702, vu l’attestation du sr Mallerne, pbre, vicaire de Glanville, dispense de bans pour le mariage entre Jean Delafosse et Antoinette Bégin.

569. – Le 23 sept 1702, Jean Guénet, fils de Pierre et de Marguerite Leperché, de la parr. de Glanville, reçoit la tonsure et les ordres mineurs.

48. – Le 4 nov. 1703, Mesre Pierre-Daniel Huet, ancien, évêque d’Avranches, donne la tonsure et les ordres mineurs dans l’église de Ste Barbe-en-Auge, à Nicolas Havron, fils de Jacques et de Françoise Dajon, de la parr. de Glanville. Le 20 sept. 1704, furent ordonnés sous-diacres : Me Nicolas Havron, acolyte de la parr. de Glanville. Le 18 août 1704, Robert Havron, sr de Bois-Robert, demeurant à Beaumont, et Jacques Havron, sr de Prémare, demeurant à Glanville, constituent 150 livres de rente en faveur de Me Nicolas Havron, acolyte, fils dud. sr de Prémare, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés.

78. – Le 19 avril 1706, vu l’attestation du sr Gosset, curé de Glanville, et du sr Gastine, desservant de Bourgeauville, dispense de bans pour le mariage entre Philippe Besley et Marguerite Masseline.

14-4. – Le 1er mars 1706, du consentement de Mesre Louis-Anne-Jules de Malon, conseiller du roy en tous ses conseils, maître des requêtes, seig r de Bercy et Glanville, Conflans, Charenton et autres terres, Me Jean-Baptiste Gosset, pbfë, curé de N.-D. de Glanville, donne sa procuration pour résigner sa cure entre les mains de N.-S.-P. lepape en faveur de
Me Laurent Dugué, pbfë du diocèse de Bayeux, demeurant en la parr. de St-Jean de Caen. Il se réserve 200 livres de rente viagère. Le 2 avril 1706, led. sr Dugué obtient en cour de Rome des lettres de provision dud. bénéfice. Le 14 juin 1706, Mre Audran, vie. Gl., donne son visa auxd. lettres de provision. Le 24 août 1706, Me Laurent Dugué prend possession de la cure de N.-D. de Glanville, en présence de Me Jean Guénet, acolyte de lad. parr.., et autres témoins. Le 12 décembre 1743, Me Laurent Duguey, pbrë, curé de N.-D. de Glanville, « lequel estant infirme de corps par son grand Age, néanmoins sain d’esprit », remet purement et simplement entre les mains du seigr évêque sad. cure dont la nomination appartient à Mr Paris de Montmartel, en sa qualité de seigr temporel et patron de Glanville. Fait et passé au manoir presbytéral de Glanville, en présence de Me Jacques Lecomte, pbrë, curé de Repentigny, et Me Jean-Baptiste Héroult, contrôleur des titres et exploits au bureau de Beaumont, demeurant à Glanville. Le 17 déc. 1743, Mre Jean Paris de Montmartel, Escr, conser du roy en ses conseils, garde de son trésor royal, seigr de Brunoy, du marquisat de Toucy, de Villers, Glanville et autres lieux, demeurant à Paris, rue du Roy-de-Sicile, nomme à la cure de Glanville la personne de Me Jean-François Fouet, pbrë, curé de Villers-sur-Mer. Fait et passé à Paris. Le 22 janvier 1744, les vicaires généraux du seigr évêque donnent aud. sr Fouet la collation dud. bénéfice. Le 13 mai 1744, le sr Fouet prend possession de la cure de Glanville, en présence de Me Pierre Ballot, pbrë, desservant led. bénéfice; Jean-Baptiste Queruelle, apothicaire, demeurant à Pont-l’Evêque ; led. Jean-Baptiste Héroult, contrôleur, et plusieurs autres témoins de lad. parr.

519. – Le 1er mars 1708, Me Thomas Guesney, pbrë, curé de Tardais, y demeurant, pays chartrain. étant présentement à Beaumont-en-Auge, constitue 150 livres de rente en faveur de Me Jean Guesney, acolyte de Glanville et demeurant actuellement au séminaire de Lx, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Fait en présence de Me Pierre Porée, vicaire de St-Etienne-la-Thillaye, et de Pierre Porée, chirurgien, demeurant à Beaumont. Le 7 avril 1708, furent ordonnés sous-diacres : Jean Guesnet, acolyte de N.-D. de Glanville.
Curés. – J -B. Gosset- L. Dugué.
Vicaire. – Malerne.
Prêtre. – T. Guesnet.
Clercs. – F. Hémery – T. Guesnet – P . Guénet – Jean Guénet – N. Havron.
Patron. Le seigneur du lieu. – L.-Al-J. de Malon.
Notable. – J. Havron de Prémare.

156. – Le 22 oct. 1714, vu l’attestation du sr Duguey, curé de Glanville, et du sr Levasseur, curé de Formentin, dispense de bans pour le mariage entre Robert Renoulin et Jacqueline Rivière.
Curé. – L. Dugué.
Vicaire. – Guénier.

9. – Le 13 févr. 1747, Michel Deshayes, marchand, époux de Marguerite Lecoq, demeurant à Glanville, constitue 150 livres de rente en faveur de son fils Me Michel Deshayes, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Jean-Baptiste Herou, conser du roy, contrôleur au grenier à sel de Danestal, demeurant à Glanville. Led. sr acolyte absent, fut représenté par Me Pierre Mansel, vicaire de Glanville.
Curés. – L. Dugué – J.-F. Fouet.
Vicaire.- P. Ballot.
Clerc. – M. Deshayes.
Patron. – Le seigneur du lieu. – Jn Paris.
Notable. – J.-B. Héroult.

117. – Le 22 févr. 1753, Me Jean-Baptiste Héroult, conser du roy, contrôleur au grenier à sel de Danestal, demeurant à Glanville, constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Pierre Héroult, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Fait et passé à Beaumont, en présence de ME. Jean-François Fouet, curé de Glanville, et de Me Pierre
Lesauvage, acolyte, demeurant à Caen, parr. S1 Nicolas. Led. sr acolyte était fils dud. Héroult et d’Anne Hurel.

201. – Le 31 mars 1756, vu l’attestation du sr Bellenger, vicaire d’Orbec, et du sr Leperchey, vicaire de Glanville, dispense de bans pour le mariage de Louis Levasseur, fils Jean, originaire de Glanville et demeurant à Orbec.

387. – Le 11 avril 1760, la nomination à la cure de Glanville appartenant au seigr du lieu, Mesre Jean Paris de Montmartel, conser d’Etat, marquis de Brunoy, comte de Sampigny, baron de Dagonville, seigr et patron de Glanville et autres lieux, demeurant à Paris, rue Neuve-des-Petits-Champs, parr. St-Roch, nomme à lad. cure, vacante par la mort de Me Jean-François Fouet, pbre, dernier titulaire, la personne de Me Jean-Pierre Girot, pbre du diocèse de Lx, professeur en théologie au petit séminaire de la même ville. Fait et passé à Paris, en l’hôtel dud. seigr. Le 15 avril 1760, Mr Mery, vie. génl, donne aud. sr Girot la collation dud. bénéfice. Le 17 avril 1760, le sr Girot prend possession de la cure de N. -D. de Glanville, en présence de Me Nicolas Galopin, pbre, desservant lad. parr. ; Me Jean-Charles Hommet, docteur en médecine, demeurant à Bourgeauville, Jean-Baptiste Ferai, receveur de Mr de Montmartel, demeurant à Villers, et autres témoins. Mr Girot, né à Gonneville-sur-Dives, vers 1727, dirigea la paroisse de Glanville jusqu’à la Révolution. En 1791, il refusa le serment pur et simple à la Constitution civile du clergé et fut destitué. Il avait alors 63 ans. Forcé de quitter sa paroisse, il se retira d’abord à Rouen où il vécut quelques mois, rue de la Truie, 10. Mais la vie des prêtres réfractaires n’étant plus en sûreté, il dut quitter le sol de la France et il partit pour l’Angleterre. Après la tourmente révolutionnaire, il revint dans son pays. Son âge et sa mauvaise santé l’empêchèrent
de reprendre les fonctions pastorales. Il vécut quelques années encore à Gonneville et y mourut en 1811. (Archives du Calvados. – Archives de l’Hôtel-de-Ville de Rouen. – Ordo de Bx). Ecclesiastiques Embarques à Dieppe , le 18 septembre 1792.: Girot (Jean-Pierre), curé de Glanville, Calvados, passeport délivre par le district de Rouen.

198. – Le 23 oct. 1767, dispense de bans pour le mariage entre Me Jacques-Louis Louvet, tabellion, fils de feu Me Jacques Louvet, aussi tabellion, et de feue dame Françoise Le Courtois, originaire de la parr. de Glanville, et demeurant depuis temps de droit en celle de Beaufour, d’une part, et dam119 Marie-Anne-Jacqueline Dagomel, fille de Jean-Auguste Dagomel, sr de la Close, et de feue dame Anne-Barbe Fleury, originaire de la parr. de Dozulé et demeurant en celle de Beaufour.
Curés. – Jn-F. Fouet – J.-P. Girot.
Vicaire. – Leperchey.
Prêtres de la paroisse. – P. Hérou (et non Héron) – N. Galopin.
Clerc. – P. Hérou ou Héroult.
Patron. – Le seigneur du lieu. – Jn Paris de Montmartel.
Notable. – J.-B. Héroult.

207.- Le 23 mai 1784, dispense de bans pour le mariage entre Me Louis-Alexandre Héron, avocat, conser du roy, conseiller au grenier à sel de Danestal, fils de feu Jean-Baptiste et de dame Anne Harel, originaire de la parr., de Glanville et demeurant à Pont-l’Evêque depuis temps de droit, d’une part, et demlle Marie-Magdeleine Duquesney, fils de Louis et de dame Marie Jonquet, originaire de Bonneville-la-Louvet et demeurant aussi à Pont-l’Evêque.
Curé. – JP. Girot.
Notables – J.B. Héron – L.-A. Héron.

Collection De Répertoires Sommaires Des Documents Antérieurs à 1800 – Conservés Dans Les Archives Communales Publiés Par Les Soins Du Ministère De L’instruction Publique.
I. Dioc , de Lisieux . Baill. et maîtrise de Pont- l’Évêque . Gr . àsel de Danestal. – Gén . et int. de Rouen ; él . de Pont-l’Évêque ; subd. de Honfleur. II . Distr . de Pont- l’Évêque; canton de Beaumont (Arrêté du 1er mars 1790 ) . III . 3 ° arr . communal ( Arr . de Pont l’Évêque ); canton de Beaumont ( Loi du 28 pluviôse an VIII ) ;canton de Dive-( Dozulé ) ( Arrêté du 6 brumaire an X ) ; – canton de Pont-l’Évêque (Loi du 1″ août 1872) – Pop .: 249 hab . ( 1911 ) . – Sup .: 642 hect . 9 a. 48 c .
ADMn Gale . Délibérations ( 1 ) . 4 novembre 1787-15 brumaire an IV 2 cah ., 89 , 38 fol . ). Reprise des délibérations : 1er vendémiaire an IX. – Lacune : 1816-1831.
Etat-Civil – Baptêmes, mariages et sépultures (é), depuis 1669. Lacune 1671-1672.
Impositions. – Etats de sections (section B). 1791 (Cah 23fol.) – Sections A-B. An V (2 cah., 23 fol). Matrices des contributions foncières. 1791 : – personnelle-mobilières. 1791, an V (3 cah.)
( 1 ) Voir aux Archives du Calvados les délibérations du Comité de surveillance de Glanville. ler novembre 1793-7 vendémiaire an III ( Reg .)

Nobiliaire de Normandie, publ. par une société de généalogistes …, Volume 1.
De Prémagny et de Glanville
ARMES : D’azur, à trois aiglettes d’argent, au vol éployé; au chef d’or chargé de trois molettes de sable.
Cette famille a pour premier auteur Guillaume Boistard, seigneur des Portes, qui fut anobli par le roi Henri IV en 1590 pour services rendus étant capitaine de la ville de Caen et particulièrement au siège de Dreux, à la bataille d’Ivry, etc… Les lettres patentes de cet anoblissement, données à Mantes au mois de mars 1590, furent enregistrées en la Chambre des Comptes le 20 octobre suivant et à la Cour des Aides de Normandie le 30 novembre 1605.
Guillaume Boistard, Écuyer, seigneur des Portes, étant mort sans postérité, de nouvelles lettres furent accordées par le roi Louis XV à Guillaume François Boistard De Prémagny pour de longs et loyaux services rendus sous le règne du feu Roi et pour reconnaître le zèle et l’intégrité dont il fit preuve soit dans la charge de Procureur au bailliage et vicomté d’Auge, soit dans celle de Conseiller-correcteur en la Chambre des Comptes, etc.
Ces nouvelles lettres confirmatives rapportent tout au long les motifs qui avaient fait délivrer les précédentes. Elles sont datées de Paris, et ont été enregistrées au parlement de Rouen le 8 janvier 1720.
Sur le règlement d’armoiries joint à ces lettres de noblesse, le blason est exactement le même que dans les lettres patentes accordées en 1590 à Guillaume Boistard, sieur des Portes, et tel que nous l’avons décrit plus haut.
La dernière illustration de cette famille fut Guillaume-François Boistard de Prémagny, Écuyer, seigneur de Glanville, de Vauville, de Beuseval, etc., mort en 1822, le dernier des anciens conseillers du parlement de Normandie.
Son fils, Guillaume-François Boistard de Prémagny de Glanville, est mort en 1855, laissant de son mariage une fille et un fils :
-Louis-Guillaume-Léonce Boistard de Glanville, né en 1807 ; il a épousé le 28 mai 1838 mademoiselle Louise-Alexine André De La Fresnaye, dont il n’a qu’une fille : Marie – Valentine-Isaure Boistard de Glanville, mariée le 4 juin 1861 à M. Ernest RIOULT, Comte de Neuville.

L’église St Mary, Benhall, a été construite par Ranulfe de Glanville, juge en chef d’Angleterre pour Henri II de 1180 à 1189. C’est Henri II et sa reine, Eleanor (d’Aquitaine), qui sont représentés à la tête des piliers de l’arc normand au-dessus la porte d’entrée sud.

Inventaire sommaire des archives départementales antérieures à 1790 : Calvados : archives ecclésiastiques. Série H, Calvados. Supplément. I. Hôpitaux de Lisieux et de Bayeux -réd. M. Armand .,…
1671-1682. — Procédure concernant le décret des biens de Pierre Gosselin. — Opposition faite par les administrateurs du bureau des pauvres , représentés par Nicolas Davy, receveur, au décret des héritages, sis à Glanville, de François Gosselin, sieur de La Vacherie, requis par Zacharie Alleaume, greffier au magasin à sel de Lisieux. Procédure y relative devant Michel de Bordeaux, écuyer, sieur de La Mesengère, vicomte d’Auge, aux pieds des sergenteries de Pont-l’Évêque et Beaumont. — Vente devant Robert Blancard et Pierre Cosnard, tabellions au siège de St-Julien-le-Faucon, par Zacharie Alleaume à Nicolas Davy, receveur du bureau des pauvres, de 4 années d’arrérages de 57 livres 2 sols 10 deniers de rente , dues par Pierre Gosselin, écuyer, sieur de La Vacherie, héritier de Robert Gosselin, son aïeul, de la paroisse de Glanville. H. Suppl. 150. — B. 147. (Liasse.)

Boistard De Prémagny Et De Glanville
Armes : D’azur , à trois aiglettes d’argent, au vol éployé; au chef d’or chargé de trois molettes de sable.
Cette famille a pour premier auteur Guillaume BOISTARD , seigneur des Portes , qui fut anobli par le roi Henri IV en 1590 pour services rendus étant capitaine de la ville de Caen et particulièrement au siége de Dreux , à la bataille d’Ivry , etc … Les lettres patentes de cet anoblissement, anoblissement, données à Mantes au mois de mars 1590, furent enregistrées.

Annuaire des cinq départements de la Normandie- publié par l’Association normande. 1887.
Fief dU QUESNEY-VAUVILLE et sur ses anciens Seigneurs – L. Boistard De Glanville. Voir Commune de VAUVILLE.

Poplimont, Ch.: La France héraldique par Ch. Poplimont. 1
BOISTARD DE PRÉMAGNY DE GLANVILLE . Normandie .
D’azur à trois aigles d’argent les vols étendus , posées 2 et l ; au chef d’or chargé de trois molettes de sable . Heaume : de chevalier . Lambrequins : d’or , d’argent et d’azur.
L’unique représentant de la famille , de Boistard de Prémagny de Glanville est propriétaire à Vauvilles, par Touques, département du Calvados .

Oursel, Noémi Noire: Nouvelle Biographie Normande.
RANULFE DE GLANVILLE. ★ Normandie, II.. + En Terre-Sainte, .. 1190.
Grand Justicier d’Angleterre, mort au siège de Saint-Jean-d’Acre.

Diverses notes.
Ranulf de Glanville ou Renouf de Glanville (1112-1190)
Justicier de l’Angleterre de 1180 à 1189
Ranulf de Glanville ou Renouf de Glanville Justicier de l’Angleterre de 1180- à 1189

Issu d’une maison seigneuriale qui tire son nom de Glanville, en Normandie. Fils de William de Glanville il est né à Stratford en Suffolk.
Il est d’abord shérif du Yorkshire, Warwickshire et Leicestershire de 1163 à 1170 quand, avec la majorité des shérifs, il fut démis de ses fonctions pour corruption. Cependant, en 1173, il fut de nouveau nommé shérif du Lancashire et dépositaire de l’honneur de Richmond. En 1174, lorsqu’il fut shérif de Westmorland, il fut l’un des leaders anglais à la bataille de Alnwick, et c’est à lui que le roi d’Ecosse, Guillaume le Lion, se rendit.
En 1175, il fut reconduit dans ses fonctions de shérif du Yorkshire, en 1176 il est devenu juge de la cour du roi, et en 1180, chef Justicier de l’Angleterre. C’est avec son aide que Henri II a pu mené à terme sa réforme judiciaire.
Il est devenu le bras droit du roi, et pendant les absences fréquentes de Henri il assumait la régence d’Angleterre. En 1176, il a également été gardien de la reine Aliénor, qui a été confiné à ses quartiers au château de Winchester.
Après la mort de Henri en 1189, il fut démis de ses fonctions par Richard 1er le 17 Septembre 1189 et emprisonné jusqu’à ce qu’il ait payé une rançon de 15 000 livres. Peu de temps après l’obtention de sa liberté, il prit la croix, et il mourut au siège d’Acre en 1190.
Il a fondé 2 abbayes, en Suffolk en 1171, et Leiston Abbey, en 1183. Il a également construit une léproserie à Somerton , dans le Norfolk.
Il épousa Berthe de Valoignes, fille de Theobald de Valoignes, seigneur de Parham, dans le Suffolk.
Peut-être à l’instigation d’Henry II, Glanville a écrit ou a supervisé la rédaction du “Tractatus de legibus et consuetudinibus regni Angliae” (Traité sur les lois et coutumes du royaume de l’Angleterre), un discours pratique sur les formes de procédure du tribunal royal en 1188.

Voir si cette famille concerne cette commune de Glanville.
Généalogie de Brynjulf LANGBALLE.
Le livre de Glanville-Richards, la source principale de cette page, est un travail impressionnant mais a perdu une certaine crédibilité en faisant de fausses affirmations selon lesquelles certains membres de la famille étaient des comtes de Suffolk aux XIIe-XIIIe siècles. Il est possible que Glanville-Richards ait simplement mal interprété certains documents anciens, pensant peut-être que « Comes » (ou « Comites ») devrait toujours être interprété comme Comte et donc comme Comte (une erreur qui serait pardonnable chez un amateur mais surprenante chez un universitaire sérieux »), mais ses prétentions à l’existence d’un titre aussi important n’ont pas été acceptées par les historiens compétents. Malgré cela, il serait insensé de négliger entièrement le reste de son travail. En conséquence, sous réserve des mises en garde ajoutées ci-dessous, nous avons peu d’inquiétudes quant à la communication de ses données.
Malheureusement, nous devons commencer par une mise en garde concernant la prochaine génération. ‘Historia Anglorum’ (identifié plus clairement ci-dessous) fournit un tableau qui montre un Glanville sans nom comme père de (1) Robert (père de William qui a fondé Broomholm), (2) Roger de Bertune (père de Robert père de Hervey père de Ranult le Justicier), (3) Nicolas et (4) Guillaume, Archidiacre Doyen de Lisieux. Cependant, un texte dans ‘Historia Anglorum’ (que nous n’avons pas du tout lu à fond) semble contredire son tableau, indiquant que Roger de Bertrune était le fils de Robert. Provisoirement, nous suivons Glanville-Richards (en utilisant principalement le pedigree à la fin du livre avec un chalutage occasionnel à travers le texte) et ajoutons juste quelques-uns des détails fournis par ‘Historia Anglorum’ sur Nicholas.
01 . (Néel de St. Sauveur), (Neil de Saint-Sauveur), (Néel de Saint-Sauveur), Néel de Contentin , Eudes de Saint-Sauveur Vicomte de Cotentin, Seigneur de Saint-Sauveur, Viscomte de Saint-Sauveur
Né en 969 – St. Sauveur, Manche, Normandie, France. Décédé en 1041 ou en 1045.
02. Roger de Saint-Sauveur Vicomte de Saint Sauveur
Né vers 989 – Normandie, France.
03. Hamon aux Dents de Saint Sauveur, (Hammon de St. Sauveur)
Né vers 1007 – Normandie, France
04. Richard de BelfoiImprimer Seigneur de Glanville
Né peut-être en 995 – Glanville, Calvados, Normandie, France.
05. Rainald de Glanville Sire de Glanville
Né vers 1020 – Glanville, Calvados, Normandie, France. Décédé après 1054.
06. Randulph de Glanville Ranulph de Glanville Sire de Glanville
Né vers 1045 – Glanville, À proximité Lisieux, Basse-Normandie, France
Décédé vers 1080, à l’âge d’environ 35 ans

Procès-verbal des preuves de noble Augustin d’Angerville ; admis de minorité à l’ordre de Malte, année 17860
Autre Reconnaissance De Rente. 1396.
Plus, nous avons vu et employons un autre acte à nous produit, en original, sur parchemin, fait et passé, le 23 février 1396, devant Jehan Dubosc, clerc tabellion en la Vicomte d’Auge, par lequel Richard Barberie, de la paroisse de Glanville, reconnaît tenir de noble homme Robert d’Angerville, Écuyer, Seigneur de Grainville, une place et niasse de terre en fief,: situé dans la Seigneurie de Grainville, pour laquelle il doit deux sols, un chapon et un denier de rente qu’il promet lui payer, aux termes énoncés audit acte.
Nous, Commissaires, avons remis la continuation de notre présent procès-verbal à l’après-midi de ce jour, trois heures de relevée.

3 – Archives ShL:

Carnets de Charles VASSEUR.
DOYENNE DE BEAUMONT – 14
Election de Pont l’Evêque sergenterie de Beaumont
2 feux privilégiés – 93 feux taillables
Sous l’invocation de Notre Dame
Patronage:
14e Petrus de Malsigny
16e Dominus temporalis loci 18e

Achat du 11- 02-2003. Lot n° 83.
– GLANVILLE, dossier famille Lignières, après 1611, fief de Glanville, consiste en droits de justice, droitures, de moulins à blé, colombier avec domaine fieffé et non fieffé, manoir, maisons et édifices, lequel fief relève …. du Roi et de Melle de Montpensier, vicomtesse d’Auge. Référence faite à des actes de 1524-1588.

La vavassorerie de La Barberie, assise à Glanville, possédée par Louis Turgot, ecuyer.

Archives NEDELEC Communes.
com.27.5 Glanville.

Fonds Etienne Deville.
Carton n° 3 – C3/11 – 40 fascicules :
1649 L.Boistard de Glanville «Etude sur le fief du Quesney-Vauville et ses anciens seigneurs » Caen 1887.

Fonds Ancien 1F
1F528 : 26 décembre 1742 : Glanville : bail d’une maison, bail d’une maison à usage de forge, de François Bence à François Gohier. (avec inventaire).
1F582 : 4 vendémiaire An XII : Duval prêtre de Glanville achète à Bougon Cordonnier à Annebault une pièce de terre à Bourgeauville.

Notes De 1700 À 1940.
An IV , 9 thermidor ( 1796 , 26 juillet ) – Beaumont-en-Auge
Procès-verbaux des visites des moulins du canton de Beaumont-en-Auge:
Glanville: c chrétien, deux meulles = A.D. Calvados – L Administration IV Police 41.

Voir le site: j.y.merienne.pagesperso Villes et villages du Calvados

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