NOTES sur: FORMENTIN.
La commune actuelle de Formentin a été constituée par la réunion des commune de Formentin et SAINT-EUGENE, qui formaient chacune avant 1790 une paroisse et communauté (Décret du 12 novembre 1868).
Archives du Calvados.
Formentin (Calvados)
Canton actuel : Mézidon-Canon
Arrondissement actuel : Lisieux
Code INSEE : 14280
Histoire administrative : Formentin intègre la commune de Saint-Eugène par le décret du 12 novembre 1868.
FORMENTIN
I . Baill. et maîtrise de Pont- l’Évêque. – Gr. à sel de Lisieux. Gén. et int. de Rouen; él. et subd. de Pont-l’Evêque.
II. Distr. de Pont- l’Évêque; canton de Bonnebosq (Arrêté du 1 mars 1790).
III. 3 arr. communal (Arr. de Pont- l’Évêque); canton de Bonnebosq (Loi du 28 pluviôse an VIII); – canton de Cambremer (Arrêté du 6 brumaire an X). – Pop.: 217 hab. (1911). —
Sup.: 592 hect. 12 a. 21 c.
La commune actuelle de Formentin a été constituée par la réunion des communes de Formentin et Saint-Eugène, qui formaient chacune, avant 1790, une paroisse et communauté (Décret du 12 novembre 1868).
ADMINISTRATION GÉNÉRALE :
Formentin. – Délibérations. 23 vendémiaire an III-10 germinal an VII (Reg., 48 fol.)
Lacune jusqu’à l’an XI (fol. 1-10 du 2° registre).
ÉTAT-CIVIL () : Formentin.- Baptêmes, mariages et sépultures, depuis 1632.
Audiences de contrats et délibérations du commun. 1632-1673.
Voir aux Archives du Calvados des actes de catholicité de Formentin.
1673. 1716-1720 (Série G, Formentin, 2 cah.);
Formentin, canton de Cambremer.
Fourmentinum
Formnlinum, XVI° siècle (pouillé de Lisieux, p.50).
Formantin, 1763 (d’Anville, dioc. de Lisieux).
Par. de Saint-Martin, prébende patr. le chanoine du lieu.
Dioc. de Lisieux,
doy. de Beuvron.
Génér. de Rouen.,
élect. de Pont-l’Évéque.,
sergent. de Cambremer.
La seigneurie de Formentin appartenait au chanoine.
La Roque-Baignard, plein fief, assis audit lieu de la Roque, tenu du comté de Lisieux, appartenant aux héritiers de feu Labbey.
Dudit fief de la Roque relève : Le fief de Formentin, assis en la paroisse de Formentin, possédé par les héritiers
du feu M. Robert Lambert, vivant écuyer, vicomte d’Auge.
Prébendes : Celle de Formentin : le prébende était seigneur et patron de la paroisse de ce nom. Il avait une officialité.
Lieux-dits de: FORMENTIN.
Cour-Hauvel (La), h. – Forge-Plichon (La), h. – Fricots (LES), h. – Jardin-Bloche (LE), h. – [LIEU-DU-PUITS (Le), h Dupuis 1848 (état-major).] – Longres (LES), h. – Nid-de-Chien (LE), h. – Plichons (Les), forges, – Roises (LES), h.
1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.
1 – Bibliographie.
HENRY Jacques. Amable Floquet, historien rouennais et châtelain de Formentin. L’Agriculteur normand, nas des 31 oct., 7 et 14 nov., 5, 12 et 19 déc. 1975.
HENRY Jacque. Sous la ramure des pommiers en fleurs.
PELLERIN (Henri). Le manoir presbytéral de Formentin. Le Pays d’Auge, sept. 1963.
DATHENAY (Jean- Jacques). – Découvertes archéologiques effectuées dans le cimetière de Sainte-Eugène (commune de Formentin). – Bulletin de la Société historique de Lisieux, 47, décembre, 2000. p. 43-46.
Revue Le Pays d’Auge:
Philippe Déterville, Premières promenades de printemps 9.Lieu Rousse – 10.Formentin – 1986
Jacques Henry, Un joyau de l’architecture religieuse rurale en Pays d’Auge – L’église de St-Eugène – Formentin 1986
N.Germain, Formentin – 1963.
2 – Pièces Justificatives.
STATISTIQUE MONUMENTALE DU CALVADOS PAR ARCISSE DE CAUMONT.
Formentin, Fourmentinum, ecclesia de Fourmentino.
Cette localité a donné son nom à une des prébendes du chapitre de la cathédrale de Lisieux.
Le choeur de l’église de Formentin a été construit nouvellement en style pseudo-gothique assez mauvais.
La nef offre encore, du côté du nord, une belle fenêtre flamboyante avec vitres peintes. Au sommet, on distingue le Père-Éternel,
puis les apôtres saint Pierre et saint Paul, et dans les trois grands panneaux l’Annonciation. Ce sujet a été mutilé par les vitriers, qui ont adapté une tête barbue à l’ange et déplacé le panneau qui le représente. On a établi des fenêtres pseudo-gothiques dans cette nef, pour la mettre en rapport avec le choeur; elle a maintenant très-peu de caractère.
M. Bouet pense que la porte qui existait au midi était à plein-cintre et aurait appartenu à une église du XIIe. siècle. Quand il a visité la paroisse, il y a quelques années, on avait relégué dans le cimetière le pied d’un lutrin sculpté dans le style du XVII. siècle, ce qui prouve le peu de cas qu’on fait des choses anciennes dans cette commune.
Un petit clocher en bois, couvert d’ardoise, s’élève sur la première travée de la nef.
L’église est sous l’invocation de saint Martin. Le chapitre de Lisieux nommait à la cure, et les dîmes formaient le principal revenu du chanoine titulaire de la prébende de Formentin.
On trouve, dans les registres de l’Échiquier, Richard de Formentin en l’année 1180 ; en 1195, Gillebert, Guillaume et Robert de Formentin.
Jean de Hautemer était seigneur, de 1392 à 1406.
Lors de l’invasion anglaise, Formentin appartenait à Guillaume Toustain, qui fut maintenu dans ses possessions par l’envahisseur, suivant un diplôme daté de Louviers, le 9 juin 1418.
Au XVIe. siècle et au commencement du XVIIe., on trouve en possession du fief une famille Lambert. Jehan Lambert, écuyer, sieur de Fourmentin, était garde du scel des obligations de la vicomté de Lisieux, suivant des actes datés du 3 juillet 1589. C’est probablement le même qui figure, comme vicomte d’Auge, à la date du 12 janvier 1622. Robert Lambert, aussi écuyer, sieur de Formentin, conseiller du Roi et vicomte d’Auge, figure dans des actes du 10 février 1638 (Notes de M. Charles Vasseur, de Lisieux).
Cette famille Lambert paraît avoir eu une très-courte existence.
Un manuscrit, n°. 64, de la Bibliothèque de Caen lui substitue la famille Morel. Jacques Morel, sieur de Manneville, conseiller au présidial de Caen, puis trésorier de France, épousa une Lambert, fille d’un receveur des tailles de Lisieux, dont sortit Nicolas Morel, qualifié sieur de Formentin, trésorier de France à Caen ; il n’eut qu’une fille, mariée à un Morin de Banneville.
Château.
— Le château de Formentin a été reconstruit, il y a vingt-cinq ans, par M. Léopold Labbey de La Roque (La terre de Formentin avait été acquise, vers 1790, par le père de M. Léopold de La Roque). à la mort de ce dernier, il a été acquis par M. Pierre-Amable Floquet, membre correspondant de l’Académie des Inscriptions et Belles Lettres, qui a joint à la bibliothèque déjà assez riche de M. de La Roque un grand nombre de livres précieux. M. Floquet, qui a longtemps habité Rouen, est l’un des hommes les plus savants de France. Il est heureux pour le département du Calvados qu’il ait adopté Formentin pour sa résidence d’été. M. Floquet passe, en effet, huit mois de l’année au château de Formentin et le reste du temps à Paris, rue d’Anjou 52 – Saint-Honoré, et 25, rue de l’Arcade, décédé le 3 août 1881).
Le domaine de FORMENTIN a la chance de posséder une très longue histoire, difficile parfois à débrouiller en raison de ses attaches avec la proche seigneurie de La Roque, devenue au XVe siècle, la Roque-Baignard dont il fut longtemps un arrière-fief.
Henri de FRONDEVILLE, dont les ancêtres – les LAMBERT de FORMENTIN – possédèrent le fief, nous a laissé sur son histoire, deux remarquables articles qu’il nous faudrait reproduire intégralement, tant leur importance est capitale pour notre sujet. Il en avait extrait pour bonne part la matière du chartrier familial et put ainsi corriger quelques erreurs contenues dans la Statistique monumentale. Disons, à la décharge de Charles Vasseur le collaborateur d’Arcisse de CAUMONT et auteur des recherches sur cette paroisse, que les travaux de Henri de FRONDEVILLE, malgré leur rigueur et la possibilité de disposer de sources originales inédites, n’apportent pas toutes les réponses et, sans nul doute, certains personnages se titrant » seigneur de Formentin « , le faisaient-ils de bon droit, concurremment avec le possesseur du demi-fief de haubert de Formentin.
La première mention d’un membre de la famille de FORMENTIN remonte à 1155, année où Guillaume de Formentin est témoin d’une donation en faveur du Monastère de Préaux. Selon le même auteur, « son fils ou son frère Richard de Formentin, qui résidait en Angleterre » fit don en 1163 de l’église de Grenteville à l’abbaye de Troarn. Ce Richard était sans doute le père de Robert de Formentin, témoin d’une charte relative au patronage de Petitville et mort en 1198.
En 1203, ce fief relève, » comme beaucoup d’autres du voisinage, de l’Honneur de Montfort-sur-Risle « , et dès cette époque, il s’agissait d’un demi-fief de haubert, ce qui peut expliquer l’existence d’autre membres de fiefs sur le même territoire. En 1221, Richard de Formentin, qui mourut sans doute la même année, inféoda à Jean d’Asnières, une partie de sa terre qui devint le « quart de fief d’Asnières ». Les soeurs de Richard se partagèrent ses biens dont une partie s’étendait sur la Roque, et la cadette, vraisemblablement épouse d’un de GERPONVILLE eut dans son lot la terre de Formentin. Les d’Aigneaux, Henri et Jean, succédèrent aux Gerponville avant de vendre ce fief – à Jourdain de Weix qui le céda à Jean Osmont ., sénéchal de l’évêque de Lisieux – avant 1375 – lequel conserva cette terre qui échut après sa mort à Jeannette, sa fille aînée, épouse de Jean de Heudreville. Celui-ci, en 1474, en violation du partage de 1422 de la succession de Jean d’Osmont, spécifiant que son fief relèverait de la seigneurie de la Roque, par un artifice à l’origine de multiples difficultés qui durèrent plus d’un siècle, en rendit directement aveu à l’évêque de Lisieux. A l’occasion de cet aveu, nous apprenons que son domaine – un demi-fief – s’étendait sur Formentin et Léaupartie. L’on peut donc en déduire, au vu d’inféodations postérieures, que ce domaine comprenait pour un quart le fief d’Asnières et pour l’autre quart, le fief d’Heudreville sis pour un huitième à Formentin et l’autre huitième à Léaupartie.
Aux Heudreville succédèrent par mariage les d’Annebaut et Guillaume des Chesnes qui vendit son fief à Michaut Faucon. Le petit-fils de celui-ci le céda en 1533 à Charles Le Loureux qui en 1555 le revendit aux Lambert. Ceux-ci purent réunir au fief d’Heudreville-Formentin, celui de Formentin-Asnières. Puis, par héritages successifs et acquisition, celui-ci- revint aux Labbey de La Roque qui parvinrent à reconstituer, pendant un demi-siècle l’ancien domaine des Formentin, de la Roque à Formentin.
Le fils de l’historien Pierre-Elie Marie Labbey de La Roque, Léopold-Auguste vint s’y établir au retour d’une carrière militaire honorable. Il répara sans doute les conséquences de près d’un demi-siècle d’abandon et s’intégra profondément dans la vie de la région en siégeant dès 1824 à la mairie de Formentin (il occupa cette charge, sans aucune interruption, jusqu’à son décès), au Conseil Général en août 1848, participant activement par ses interventions auprès des administrations et pécuniairement à la création des routes, tout à l’entour de Formentin.
Il est décédé à son château de Formentin, le 16 juillet 1849, et a été inhumé le surlendemain à La Roque-Baignard, à côté de son père. La propriété fut vendue à Pierre-Amable Floquet, ancien élève de l’École des Chartres, membre correspondant de l’Institut, greffier en cheſ de la Cour royale de Rouen, nommé Directeur de la Société des Antiquaires de Normandie, pour l’année 1841-1842 .
Ainsi, ce site vénérable, propriété de trois Présidents du Parlement de Normandie, devenait la retraite de l’historien de cette prestigieuse institution et auteur d’un grand nombre de travaux sur la Normandie. Passionné par Bossuet, il consacra au célèbre prédicateur quelques travaux qui font encore autorité. Mort en 1881, il fut inhumé dans le cimetière de Formentin.
Description
L’actuel château de FORMENTIN, présente un ensemble de constructions hétérogènes, souvent remaniées. A. de CAUMONT dans sa notice est beaucoup plus catégorique et affirme, en 1862, que » le château de Formentin a été reconstruit, il y a vingt-cinq ans, par M. Léopold Labbey de La Roque « .
Le site, à la rupture du plateau, ne paraît pas avoir conservé les traces des anciennes forteresses qui durent s’élever ici et, cependant, d’ancienneté, l’acte d’inféodation de 1221 en témoigne, ce fief possédait motte et manoir. Ainsi, en 1454, lors d’une enquête, les tenanciers déclarèrent « qu’il y avait autrefois, avant la descente des Anglais, à Formentin des manoirs et des mottes dont les traces sont restées fort apparentes, et un moulin dont la meule a été portée à Auvillers par les Anglais; que le manoir d’Asnières était même plus fort que le château d’Auvillers (note, 17-11-2001 : faut-il lire Auvillars ?)
En fait, tant dans l’habitation que dans les communs, certaines parties subsistent, antérieures aux grandes transformations de la première moitié du XIXe siècle, mais rien ne peut, semble-t-il, être attribué aux XIIIe ou XIVe siècles.
La partie la plus intéressante est constituée par le château lui-même dans lequel on peut reconnaître quatre ou cinq campagnes de construction s’intégrant assez bien les unes aux autres.
Au centre, on remarque un long logis de pierre à un étage surmonté d’un comble aménagé. Se développant sur un plan rectangulaire, cette partie s’articule autour d’une construction primitive dont il est difficile de connaître la nature et l’époque de construction, construction qui fut élargie postérieurement sur la façade principale, d’un large vestibule.
La présence d’un cordon de pierre à hauteur d’étage, d’une frise et de clés saillantes, pour un certain nombre d’ouvertures, laisse à supposer que cette modification peut remonter au début du XVIIe siècle. Par contre, les autres ouvertures tant sur la façade que sur l’arrière, avec des encadrements à feuillures et à linteau en arc surbaissé, datent selon toute vraisemblance de la seconde moitié du XVIIIe siècle. L’irrégularité des percements des ouvertures correspond bien aux difficultés qu’ont rencontré les maçons des XVIIe et XVIIIe siècles à habiller des structures préexistantes.
Vers la droite, ce logis bute contre une tourelle de même élévation. Terminé en partie supérieure par une corniche unie à chanfrein, ce pavillon ne paraît pas avoir conservé sa hauteur d’origine, et en tout cas ne possède pas une terminaison en accord avec sa structure. A hauteur d’étage, un larmier de faible saillie permet de rattacher l’édification de la partie inférieure aux dernières années du XVe siècle tandis que la partie supérieure présente un curieux mélange de damiers de pierre et de silex ou de pierre et de brique. Les premiers sont peut-être contemporains du larmier que nous avons signalé tandis que les seconds correspondent à une campagne de transformation entre 1570/1590. L’absence de lucarnes, la faible inclinaison du toit confirment s’il en était besoin, que celui-ci est de beaucoup postérieur au bâtiment qu’il couvre.
Sur la gauche, un massif pavillon carré, largement ouvert s’élève sur trois niveaux. Il s’agit sans aucun doute de l’œuvre élevée par Léopold-Auguste Labbey de La Roque, selon A. de CAUMONT, aux environs de 1837. Il s’agit là d’une construction où les baies soulignées d’un encadrement de pierre, ne sont séparées que par d’étroits panneaux de brique. L’appareillage en bossage des angles, l’étroitesse des allèges, la suprématie des vides sur les pleins, confèrent à l’ensemble une rigueur classique, dans l’esprit des constructions du milieu du XVIIIe siècle.
Dans le prolongement de cette habitation, une orangerie aux baies en plein cintre, n’adopte pas le même parti architectural et ne doit pas remonter au-delà des années 1840/1845 et serait donc l’oeuvre de Pierre-Amable Floquet.
Dans la cour arrière, en retour, l’annexe à un étage et comble aménagé, date semble-t-il de la seconde moitié du XVIIIe. En face, les anciennes écuries (?) ont conservé une décoration de pilastre dans le goût des décorations éphémères du premier tiers du XIXe siècle.
Quant au » Pavillon d’Isabelle « , très classique dans son volume et sa construction, il porte toutes les caractéristiques de l’architecture un peu froide de la fin de la première moitié du XIXe siècle, si prisée pour les édifices administratifs des chef-lieux de canton. Seule, sa petite ouverture en tiers-point dans le fronton est un clin d’oeil au style troubadour.
Inventaire historique des actes transcrits aux insinuations ecclésiastiques de l’ancien Diocèse de Lisieux – PIEL L. F. D.
Les dénominations des prébendes venaient des lieux où étaient situées les terres qui formaient l’apanage des chanoines au moment de la fondation des canonicats. Par la suite des temps, des échanges de terres avaient parrois eu lieu ; mais la prébende avait continué quand même à porter son nom primitif.
Celle de Formentin : le prébende était seigneur et patron de la paroisse de ce nom. Il avait une officialité.
261. – Le 19 mars 1G95, Pierre Bloche, toilier, demeurant à Formentin, et Guillaume Tousey, corroyeur, demeurant à Lx, constituent 150 livres de rente en faveur de Me Guillaume Touzey, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés.
410. – Le 29 sept. 1700, Me Charles Costard, chanoine prébende de Formentin, nomme Me Germain Montfort, pbrë, licencié ès-droits, a la charge d’official de lad. prébende de Formentin, vacante par la mort de Me Charles du Thiron, dernier titulaire de lad. officialité.
511 . – Le 5 juillet 1702, le Chapitre de la Cathédrale procède à l’élection de son doyen en remplacement de Mre Jean-Baptiste de Franqueville, noms des chanoines qui y prirent part : Charles Costard, pbfë, prébende de Formentin.
Prébende de Formentin. – C. Costard – Official de Formentin: C. du Thiron – G. Montfort.
59. – Le 19 nov. 1711, vu l’attestation du sr Lemarchand, curé de Pont-l’Evêque, et du sr Levasseur, curé de Formentin, dispense de bans pour le mariage entre Me Guillaume Train et Marie Hébert.
156. – Le 22 oct. 1714, vu l’attestation du sr Duguey, curé de Glanville, et du sr Levasseur, curé de Formentin, dispense de bans pour le mariage entre Robert Renoulin et Jacqueline Rivière.
111 . – Le 12 juin 1719, vu l’attestation du sr Bellencontre, vicaire de Pont-l’Evêque, dispense de bans pour le mariage entre Me Jacques Vipard, fils de Jacques et de Madeleine de Bernay, de la parr, de Formentin, d’une part, et Louise-Charlotte de Brey, fille de Me Jean de Brey et de Madeleine Domin, de la parr, de Pont-l’Evêque.
Prébende de Formentin. – C Costard.
Curé. – Levasseur.
172. – Le 11 février 1725, Jean Lepetit, laboureur, demeurant à Formentin, constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Antoine Lepetit, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés.
Led. sr acolyte était actuellement au séminaire.
514. – Le 28 oct. 1727, Me Pierre Leroy, pbfë du diocèse de Lx, obtient en cour de Rome des lettres de provision de la cure de Formentin, vacante par la résignation faite en sa faveur par Me Jean Levasseur, pbfë, dernier titulaire.
Le 12 avril 1728, le seigr évoque donne son visa auxd. lettres de provision.
Le 15 avril 1728, le sr Leroy prend possession dud. bénéfice, en présence de Me Jean Levasseur, ci-devant curé du lieu, et autres témoins.
384. – Le 30 septembre 1742, la nomination aux canonicat et prébende de Formentin appartenant au seig évêque, Sa Grandeur nomme aud. bénéfice, vacant par la mort de Me Charles Costard, pbre, dernier titulaire, la personne de Me Jean-Baptiste-Rémy Le Bas de Fresne, clerc de ce diocèse. Fait et passé à Lx, au palais épiscopal, en présence de Me Jean-Baptiste Godefroy et de Me Jean-Baptiste Guérin, pbres, vicaires de la Cathédrale.
Le 3 octobre 1742, le Chapitre de la Cathédrale étant assemblé, led. sr Le Bas est mis en possession du canonicat de Formentin par le ministère de M. Faure, grand chantre, en présence de Me Guillaume Véron, et de Me Pierre Thorel, pbrës, chapelains de la Cathédrale.
339. _ Le 31 mai 1748, Me Pierre Le Roy, pbre, curé de St-Martin de Formentin, retenu malade en son lit, de sorte qu’il ne peut faire ses fonctions curiales, donne sa procuration pour résigner lad. cure, entre les mains de N.-S.-P. le pape en faveur de son neveu, Me Jean- Louis Vasse, vicaire de St-Martin-aux Chartrains. – Led. sr Le Roy possédait cette cure depuis vingt ans.
Le 8 juin 1748, la nomination à la cure de Formentin appartenant au chanoine prébende de Formentin, Mre Jean-Baptiste-Rémy Le Bas de Fresne, pbrë, chanoine prébende de Formentin et archidiacre de Gacé, nomme à lad. cure, vacante par la mort de Me Pierre Le Roy, dernier titulaire, la personne de Me Antoine Le Petit, pbre, curé de N.-D. de Bouttemont. Fait et passé à Lx, en la maison dud. sr Le Bas.
Le même jour, le seigr évêque donne aud. sr Le Petit la collation dud. bénéfice.
Le 11 juillet 1748, le sr Le Petit prend possession de la cure de Formentin, en présence de Mesre Adrien Lambert, chevr, seigr. de Formentin, et autres lieux, conser de la grande chambre du Parlement de Normandie, demeurant à Rouen; M. Jacques Hain, pbre, curé d’Auvillers et doyen de Beuvron ; Me Jacques-Pierre Hain, pbrë, curé de Manerbe ; Me Jacques Duval, pbrë, desservant la parr, de Formentin ; Me Simon Lelièvre, secrétaire de mon. seigr de Formentin, y demeurant.
Prébende de Formentin. – C. Costard – J.-B.-R. Le Bas de Fresne.
Curés. – J. Levavasseur – P. Le Roy – Jn .-L. Yasse – Le Petit.
Prêtre desservant. – P.F.Ballot.
Clerc. – A. Le Petit.
Patron. – Le chanoine prébende de Formentin. – J.B.R. Le Bas de Fresne.
Seigneur et notable. – A. Lambert – S. Lelièvre.
96. – Le 5 juillet 1749, Me Antoine Le Petit, pbrë, curé de N.-D. du Bouttemont, et depuis pourvu de la cure de St-Martin de Formentin, remet purement et simplement led. bénéfice de Formentin entre les mains de Mre Jean-Baptiste-Rémy Le Bas, pbrë, chanoine prébende de Formentin et archidiacre de Gacey, qui en est patron présentateur.
Le 19 juillet 1749, led. sr Le Bas, chanoine de Formentin, conseiller au parlement, demeurant à Rouen, rue St-Romain, parr. St-Nicolas, et représenté par Mre Adrien Lambert, chevr, seigr de Formentin, conseiller au parlement, nomme à lad. cure et vicariat perpétuel dud. lieu de Formentin, la personne de Me Pierre-François Ballot, pbrê du diocèse de Lx, desservant actuellement lad. parr. Fait et passé à Lx, parr St-Germain, en la maison de Mesrs Jean-Baptiste Lambert, chevr, seigr de Janville et autres lieux, en présence de Me Elie Canu, acolyte de la parr, de Formentin, et autres témoins.
Le 21 juillet 1749, le seig. évêque donne aud. sr Ballot la collation dud. bénéfice.
Le 23 juillet 1749, le sr Ballot prend possession de la cure de Formentin, en présence dud. sr Lambert de Formentin, demeurant à Rouen ; Mesre Michel de la Foye, chevr, seigr de Malou, demeurant à Norolles ; Me Guillaume Coypel, demeurant à St-Eugène ; Me Guillaume Renoult, curé du Torquesne ; Me Jacques Lecoq, curé de la Roque-Baignard ; Me Jacques Duval, curé de St-Eugène ; Me Antoine Le Petit, curé de Bouttemont, et autres témoins.
144. – Le 9 août 1757, vu l’attestation du sr Neveu, pbfë, desservant la parr, de Formentin, dispense de bans pour le mariage de Jacques Alix.
184. – Le 27 juin 1757, Me Pierre-François Ballot, pbrë, curé de Formentin, demeurant depuis deux mois au prieuré de St-Hymer, donne sa procuration pour résigner sad. cure entre les mains de N.-S. P. le pape en faveur de Me Robert Duneveu, pbrë, vicaire de Pierrefitte. Fait et passé à Lx.
Le 18 juil. 1757, led. sr Duneveu obtient en cour de Rome des lettres de provision dud. bénéfice.
Le 1 er oct. 1757, le seig. évêque donne son visa auxd. lettres de provision.
Le 6 oct. 1757, le sr Duneveu prend possession de la cure de Formentin, en présence de Mesre Adrien Lambert, chevr, seigr de Formentin, la Mare, la Fontaine, Argences et autres lieux, conseiller de grande chambre au parlement de Normandie, demeurant à Rouen ; Me. Jacques Le Coq, pbrë, curé de La Rocque et doyen de Beuvron ; M° Jacques Duval, pbrë, curé de St-Eugène ; Guillaume-François-Charles Coispel, chirurgien juré, demeurant à Formentin, et autres témoins.
190. – Le 12 sept. 1759, Me Adrien Lambert, chevr, seigr de Formentin et autres lieux, conser au parlement de Rouen, demeurant en lad. ville, rue et parr. St-Patrice, constitue 150 livres de rente en faveur de Me Louis-Antoine Pouchin, acolyte de Formentin, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Mesre Pierre-Louis-Claude-Benjamin Lambert, chevr, seigr de Bellouet, conser au parlement de Rouen, demeurant en lad. ville, rue St-Patrice ; Mesre Hyacinte-François de Marquetot, seigr et patron de St-Aubin de Losques, demeurant à Rouen, rue St-Jacques, vis-à-vis le Vieil-Palais, parr. St-Eloy ; Mr Charles-Thomas Rogier de Nevilly, pbre, curé de St-Patrice, et Me Henry-Pierre Lévesque, pbre de lad. parr. Fait et passé à Rouen.
90. – Le 8 févr. 1761, Pierre-Marc-Antoine Lepetit, demeurant au Torquesne, Pierre-Marc-Antoine Taupin, et son frère, Jacques Taupin, fils Jacques, demeurant tous deux à Formentin, constituent 150 livres de rente en faveur de Me Jean-Pierre Pouchin, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Robert Du Neveu, pbfê, curé de Formentin, et Guillaume-François Coispel, chirurgien, demeurant aud. lieu. Fait et passé au château de Formentin.
86. – Le 17 févr. 1763, Mesre Jean-Baptiste-Rémy Le Bas de Fresne, pbrë, chanoine prébende de St-Pierre-Adzifs et de Formentin, haut-doyen en la Cathédrale, vicaire général du diocèse de Lx et conseiller au parlement, donne sa procuration pour résigner lad. prébende de Formentin entre les mains de N.-S.-P. le pape en faveur de Me Jacques Monsaint, pbfe, titulaire du canonicat simple de Touques, qui est de nulle valeur, et curé de Castillon, de la valeur de 1,200 livres de revenu, et de plus chapelain de la chapelle simple de St-Eloy en la parr. des Moutiers-Hubert, de la valeur de 30 livres de rente. Fait et passé à Lx, parr. St-Jacques, au logis dud. sr de Fresne.
Le 7 mars 1763, led. sr Monsaint obtient des lettres de provision du canonicat de Formentin.
Le 6 avril 1763, le seigr évoque donne son visa auxd. lettres de provision.
Le 8 avril 1763, le sr Monsaint est mis en possession des canonicat et prébende de Formentin par le ministère de Mr le doyen.
Prébende de Formentin. – J.-B.-R. Le Bas de Fresne – J. Monsaint – R. Duneveu.
Prêtres desservants – P.-F. Ballot – R. Duneveu.
Clercs. – E. Canu – J.-P. Pouchin – L.-A. Pouchin.
Seigneur et notable. – A. Lambert – G.-F.-C. Coispel.
146. – Le 27 oct. 1772, Jacques Taupin, fils de Nicolas, marchand, demeurant à Formentin, constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Jacques-Pierre-Nicolas Taupin, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Fait et passé à Formentin, par le ministère du notaire de Cambremer.
339. – Le 23 sept. 1773, Me Robert du Neveu, pbfë, curé à portion congrue de la parr. de Formentin, déclare à Mre Jacques Monsaint, pbre, chanoine prébende, gros décimateur de Formentin et patron présentateur de lad. cure, demeurant à Lx, parr. St-Jacques, qu’en exécution de l’édit de mai 1768, il opte pour la portion congrue de 500 livres en se réservant le presbytère avec ses dépendances, et qu’il abandonne aud. sr chanoine toutes les dîmes quelles qu’elles soient à percevoir dans sa parr. Fait et passé par le ministère de Jacques Le Mire, sergent royal au bailliage d’Orbec, demeurant à Lx, parr. St-Jacques, en parlant à la servante dud. sr Monsaint.
141 . – Le 1er mars 1778, la nomination à la cure ou vicairie perpétuelle de St-Martin de Formentin appartenant au chanoine prébende de Formentin, curé primitif de lad. parr., Mesre Jacques Monsaint, pbrê, chanoine prébende dud. lieu, nomme à cette cure, vacante par la mort de Me Robert Duneveu, pbfê, dernier titulaire, la personne de Me Jean-Baptiste Fortin, pbfê de ce diocèse, vicaire de Bonneville-la-Louvet. Fait et passé en l’hôtel dud. seigr patron, sis à Lx, rue au Char, parr. St- Jacques.
Le lendemain, le seigr évêque donne aud. sr Fortin la collation dud. bénéfice.
Le 3 mars 1778, le sr Fortin prend possession de la cure de Formentin en présence de quatre habitants de la parr.
295. – Le 11 oct. 1782, la nomination à la cure de St-Martin de Formentin appartenant au chanoine prébende de Formentin, Mesre Jacques Monsaint, pbfë, chanoine titulaire de lad. prébende, nomme à cette cure, vacante par la mort de Me Jean-Baptiste Fortin, dernier titulaire, la personne de son neveu, Me Guillaume-Joachim Monsaint, vicaire de Beaufou. Fait et passé à Lx.
149. – Le 14 oct. 1783, M. Guillaume-Joachim Monsaint, pbrë, curé de St-Martin de Formentin et de N.-D. de Cirfontaine, demeurant encore à Formentin, résigne purement et simplement lad. cure de Formentin entre les mains de messieurs les vicaires généraux du Chapitre, afin qu’il y soit pourvu par qui de droit.
Séance tenante, Mre Jacques Monsaint pbre, chanoine prébende de Formentin et, en cette qualité, patron présentateur de lad. cure, y nomme la personne de Me Jean-François-Gabriel Coquerel, pbrë du diocèse de Lx, (parr. St-Germain de cette ville). Fait et passé à Lx.
Le lendemain, Mre Yitrouil de la Grandière, vicaire général du Chapitre, donne aud. sr Coquerel la collation dud bénéfice. Signé : de la Grandière.
Le 20 oct. 1783, le sr Coquerel prend possession de la cure de Formentin, en présence de plusieurs paroissiens.
334. – Le 4 nov. 1784, Mr Jean-François-Gabriel Coquerel, pbfë, curé de St-Martin de Formentin, jouissant d’une santé chancelante, donne sa procuration pour résigner sa cure entre les mains de N.-S.-P. le Pape en faveur de son frère, Me Jacques Coquerel, vicaire de lad. parr. Fait et passé dans la chambre à coucher dud. sr résignant, ayant vue à l’occident sur le jardin.
54. – Le 22 nov. 1784, Me Jacques Cocquerel, pbrë du diocèse de Lx, obtient en cour de Rome des lettres de provision de la cure de St-Martin de Formentin, vacante par la résignation faite en sa faveur par son frère, Me Jean-François-Gabriel Cocquerel, pbrë, dernier titulaire.
Le 20 janv. 1785, Mr Collignon, vie. gl., donne son visa auxd. lettres de provision.
Le 12 mai 1785, le sr Jacques Cocquerel (1) prend possession de la cure de Formentin, en présence de plusieurs témoins de lad. parr., et de Me Nicolas Galopin, pbrë, curé de St-Pierre-Azifs, « arrivé à la fin de la cérémonie. »
(1) Mr Cocquerel prêta serment en 1791 et resta en qualité de curé constitutionnel de Formentin. Il y passa toute la Révolution, se prêtant à toutes les circonstances et se soumettant à tout ce qu’on exigeait de lui. Après le Concordat il continua de résider à Formentin.
J’ignore à quelle époque il rétracta ses serments et se réconcilia avec l’Eglise ; mais à partir de 1807, nous le voyons aider le nouveau curé dans ses fonctions pastorales. Toutefois on ne le remit jamais dans aucun poste. Il mourut à Formentin le 5 janv. 1819, à l’âge de 75 ans. (Archives du Calvados. – Archives de l’église de Formentin.)
Prébende de Formentin. – Jq Monsaint.
Curés. – R. du Neveu – J.-B. Fortin – G.-J. Monsaint – J-F.-G. Coquerel – Jq Coquerel.
Vicaire. – Jq.Coquerel.
Clercs.- A.-M. Couespel – Jq-P.-N. Taupin.
Patron. – Le prébende de Formentin. – Jq Monsaint.
La Normandie monumentale et pittoresque… Calvados.
Louise de Hautemer, dame de Prie vendit, en 1632, pour acquitter sa part des 100,000 livres dues à sa soeur aînée, la seigneurie du Fournet et Sainte-Eugène, comprenant 250 acres en domaine; Robert Lambert, seigneur de Formentin et du Mesnil-Simon, s’en rendit acquéreur pour 36,000 livres.
Inventaire Sommaire Des Archives Départementales Antérieures à 1790 – M. Armand Bénet.
Calvados. — Série E Supplément.
– 1601-1603 Rentes.—Sentences rendues aux pieds de meubles de Lisieux par Pierre Hue, bailli- vicomtal audit lieu, entre Guillaume Hardy, procureur du bureau des pauvres, et Jean Lambert, écuyer, sieur de Formentin, concernant le paiement des arrérages de 33 écus 20 sols de rente ; significations desdites sentences et sommations d’audiences y relatives. — Accord entre Guillaume Hardy, procureur du bureau des pauvres, et Marie de Cauvigny, veuve dudit Lambert, concernant le paiement desdits arrérages. H. Suppl. 82. — B. 79. (Liasse.) — 7 pièces, parchemin ; 12 pièces, papier. 1009-1051.
– Pierre Morel, écuyer, sieur de Formentin (1654) ;
– Le 10 février 1680, baptême de Marie-Antoinelle, fille d’Hervé Le Bey et d’Anne Cornet ; marraine, Marie Morel, fille de Pierre Morel, écuyer, seigneur de Formentin, trésorier au bureau des finances de Caen ; parrain, Antoine Bachelier, écuyer, trésorier de France aud. bureau.
– 1730. Requête adressée au bailli de Lisieux par Charles Costard de Formentin, chanoine de Lisieux, François Mignot, président de l’Élection de Lisieux et Jacques Le Bas, curé de St- Germain de Lisieux, administrateurs du bureau de Lisieux, pour obtenir l’autorisation de vendre les meubles de Jacques de La Forgue, dont ils sont légataires universels
– 1764, 4 juin, mariage de Guillaume-François-Charles Couespel, chirurgien juré au bailliage de Pont-l’Evêque, veuf de Jacqueline de Lempérière, fils de Thomas Couespel et de Marguerite des Chevaux, demeurant à Formentin, diocèse de Lisieux, et Marguerite-Rose Le Soudeyer, fille de feu Jean-François Le Soudeyer et de Marguerite Le Petit, bourgeois de Houen, présents, Guillaume Du Pont, escuyer, sr du Quesnay, Jacques-Augustin Le Soudeyer, conseiller à Falaise.
– Reconnaissance de rente par Adrien Lambert, chevalier, seigneur de Formentin, conseiller en la grand ‘chambre du Parlement de Normandie (1737).- — Sentence rendue aux assises mercuriales d’Orbec par Jacques François-Charles Desbayes, écuyer, sieur de Bonneval, lieutenant particulier au bailliage, entre Mathieu-Yves Quillet, écuyer, sieur du Vaurattier, officier de Mme la Dauphine, et le chapitre, pour le paiement de 100 livres de rente de la constitution de Jacques Lecomte, sieur de La Coudraye (1740-1761). — 1753. Reconnaissance de 6 livres et 3 chapons de rente par Jean-Baptiste Lenoir, procureur en l’élection de Lisieux, porteur de la procuration de Jean- Baptiste-Louis-Auguste de Lyée, chevalier, seigneur de Belleau, Mesnil-Simon, La Crétinière et autres lieux, fils et héritier de feu Gabriel-Auguste de Lyée, chevalier, seigneur de Belleau, Crépus et La Crétinière, demeurant en son château, en la paroisse de Notre- Dame de Courson, au profit du chapitre de Lisieux, dont ledit Gabriel-Auguste de Lyée s’était obligé de décharger Adrien Lambert, chevalier, seigneur de Formentin et autres lieux, conseiller au Parlement de Normandie, par le contrat de vente par lui faite audit seigneur de Belleau d’une terre et seigneurie située en la paroisse du Mesnil-Simon, passée devant Quetel, tabellion royal au bailliage d’Auge pour les sièges de Cambremer et de Crèvecœur, le 18 janvier 1753.
Notes Du Premier Président Pellot Sur La Normandie – Par G. A. Prevost.
Trésoriers De France Au Bureau Des Finances De La Généralité De Caen.
– Morel de Fromentin; n’a point d’enfans. Pierre Morel, sieur de Formentin, trésorier de France à Caen, était âgé de quarante ans lorsqu’il fut maintenu. (Cham., p. 680.)
Très-Humbles, Très-Respectueuses Et Itératives Représentations Du Parlement Séant A Rouen.
– C’est cette Loi de 1713 dont ils abusent, sur laquelle ils paroissent fonder l’usurpation qu’ils en ont faite.
Faisant exécuter les dispositions de cette Déclaration suivant leurs intérêts, et remettant tels de leurs Droits
La pièce nº. 17 est un billet d’accommodement ou transaction, en date du 30 Juin 1730, par laquelle le Fermier des Aides permet au nommé Miocque, Bouilleur en la Paroisse de Formentin, de bouillir des lies jusqu’au premier Octobre suivant, quoique la Déclaration de 1713 le défende ; mais Miocque a acheté cette permission par 12 livres.
Dictionnaire universel de la noblesse de France – Courcelles, Jean B.
LAMBERT ; maison ancienne, originaire de Normandie, dont la filiation remonte à 1467.
Guillaume Lambert, ll ème du nom, son fils, seigneur de la Motte et vicomte d’Auge, épousa, par contrat du premier avril 1530, Jeanne Trinité, dont sont issus deux fils, qui ont formé deux branches principales, existantes de nos jours; savoir : Pierre Lambert, seigneur de Formentin, dont sont descendus les seigneurs et marquis de Frondeville.
Histoire de Lisieux – Du Bois, Louis.
Registre des Délibérations et Ordonnances faites et arrêtées en l’Hôtel Commun de la ville de Lisieux, par devant le vicomte. Du 29 juin 1567 au 19 mai 1573.
– Mardi 27 août, etc. A esté nommé, pour quartenier de la porte de la Chaussée, le sieur Formentin, qui a accepté.
– Du 1er septembre. Semblable délibération a esté faicte pour les fils du dict de La Couyère, et a déclaré Jehan Lambert, sieur de Formentin, officier de la ville, qu’il respondait desdicts de La Couyère. etc.
Floquet, Amable: Etudes sur la vie de Bossuet.
Pierre-Marie Lambert, sieur de La Motte-Frondeville et de La Boissière, né en 1624, fils de Pierre Lambert, sieur de Formentin, d’une famille noble des environs de Lisieux, fut nommé alors à l’évêché ( in partibus ) de Béryte. Il mourut à Siam, en 1679.
Annales de Normandie Année 2001 51-3 pp. 211-227
Aux archives du Calvados, nous avons mené à la fois une réflexion sur la dispersion des fonds paroissiaux et une recherche systématique pour repérer les restes de cette documentation. Où sont passés les papiers des villages ?
La série G et la série J
– On repère des dépôts concernant Formentin (J 224, délibérations paroissiales concernant le trésor et la taille 1673-1792 et registre des certificats de lecture pour 1679-1680).
Bulletin de la Société de l’histoire de Normandie.
Lambert (Jehan, sieur de Fourmentin, bourgeois de Lisieux, 1575. 246.
Du jeudi, XXII° jour de septembre Mil Vc soixante quinze.(1575).
En la présence de nous. tabellions royaulx à Rouen, honorable homme Jehan Lambert, sieur de Fourmentin, bourgeois de la ville de Lisieulx, a confessé avoir eu etreceu du garde général de l’artillerie et munitions, par les mains de Me Jehan Regnould, son commis au magasin establi à Rouen, en la presence de honorable homme Me Artus Ygou, controlleur de lad. artillerie en Normandie, le nombre de deux cens livres de pouldre grosse grenée et deux cens livres de pouldre menue grenée et deux douzaines de boullets à moyenne, le tout pour faire mener et conduire en dilligence par ledit sieur de Fourmentin en lad. ville de Lisieulx pour la deffense d’icelle, suivant l’ordonnance de Monsr de Carrouges, chevalier de l’ordre du Roy, gouverneur de Normandie, dabtée de ce jour d’huy.
Signé : LAMBERT
Bayeux et Lisieux : villes épiscopales de Normandie à la fin du Moyen âge – François Neveux
En 1452, Pierre Baignart, chevalier, tenait avec ses « parsonniers » un fief de chevalier à La Roque, Formentin et Léaupartie.
Le Bec-Thomas (origines à 1789) – Charles Leroy.
Marc-Anthoine de Languedoc, alors âgé de 29 ans, avait épousé en l’église Saint-Godard de Rouen, le 17 février 1711, Marie-Geneviève de Formentin, fille de feu M. Robert de Formentin, chevalier, seigneur et patron de Formentin, du Mesnil-Simon et de La Varenne; il mourut, conseiller au Parlement de Rouen, et fut inhumé dans le chœur de l’église d’Annouville, le 29 octobre 1729. Il laissa pour lui succéder, Pierre Marc Antoine, son fils, et sa veuve Marie Geneviève Lambert de Formentin.
Sous la ramure des pommiers en fleurs : regards sur le passé, les monuments – De Jacques Henry.
A la mort du comte Olivier-Félix, qui avait hérité de son père la terre de la Roque, son épouse, née de Médavy, vendit l’ancien domaine seigneurial à son beau-frère, le vicomte Léopold, maire et châtelain de Formentin.
Histoire généalogique de la maison Touchet – Théodore Courtaux.
Le 24 mai 1702, devant Guillaume Jolivet et Anthoine Basire, notaires royaux à Caen, messire Jacques de Touchet, chevalier, seigneur de Courcelles, en qualité de mari de dame Luce Le Roy, héritière de demoiselle Marie Le Roy, tante de cette dernière, fit l’amortissement de dix livres de rente, moyennant la somme de cent livres, à Nicolas Morin, écuyer, seigneur de Grentheville, et à Marie Morel, épouse de ce dernier, fille et unique héritière de messire Pierre Morel, écuyer, sieur de Formentin, conseiller du Roi et trésorier de France au bureau de Caen. (Original en parchemin, signé desdits notaires et produit devant Chérin).
Tradition et modernité : 1744-1994 – Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen.
L’un des hommes les plus savants de France : Amable Floquet (1797-1881) – Amable Floquet, Greffier en Chef de la Cour Royale de Rouen de 1818 à 1843 a été considéré comme « l’un des hommes les plus savants de France » auquel notre Académie ouvrit ses portes en 1829.
Des archives du palais, il a tiré une « Histoire de l’Echiquier et du Parlement de Normandie » sept volumes in octavo de six à sept cents pages chacun auxquels l’Académie des inscriptions et belles-lettres accorda, en 1843, son grand prix Gobert. Il a publié, en outre, le « Journal de Voyage du Chancelier Seguier en Normandie », le « Privilège de la Saint-Romain » et des « anecdotes normandes ».
Après avoir vendu sa charge de greffier, Floquet se retira, en 1844, au château de Formentin dans le Calvados. Toute sa vie désormais sera consacrée à Bossuet. Tel est le personnage qui se flattait de l’amitié de son voisin, M. Guizot et qui mourut le 3 Août 1881. André Gide qui passait une partie de ses vacances au château de la Roque-Baignard à quatre kilomètres de Formentin, avait alors onze ans. Plus tard, dans son roman « Isabelle » il fera revivre M. Floquet sous les traits de Benjamin Floche.
Notice biographique et bibliographique sur messire René Toustain de Billy – par Georges Le Gorgeu.
Le premier auteur de cette famille des Toustain, sieurs du Millouet, que nous connaissions, est Guillaume Toustain, écuyer, sieur de Formentin, vicomte d’Auge en 1417, à l’époque de l’invasion anglaise ; Guillaume Toustain épousa Marguerite de Castillon.
3 – Archives ShL:
– Analyses Et Transcriptions De Documents Originaux, Aveux De Fiefs – Carnet de Charles Vasseur.
– 1599 9 décembre – Jehan Lambert escuyer, sieur de Formentin, conseiller du Roy et Vicomte d’auge.
– 1613 9 octobre – Autre aveu rendu à Maistre Adrian de la Porte licencier es droits, seigneur du fief, terre et sieurie du Castellier, lieutenant général au bailliage vicomtal de Lisieux, par noble et discrète personne Marguerin Thiron, chanoine prébendé de la prébende du Prey, Noble homme Jean Lambert conseiller du Roy, sieur de Formentin, vicomte d’Auge et plusieurs autres, pour un terrement nommé des Seize Acres avec les mêmes redevances que le précédent.
– 1630 13 mai – Devant Robert Lambert, escuyer sieur de Formentin, conseiller du Roy, vicomte d’Auge condamnant Robert Vidée comme représentant Jean Thierry obligé par contrat de fief du 9 avril 1459 à 30 sols et 2 chapons de rente, à payer 28 années de ladite rente à Maître Jean Train, licencié aux lois, avocat, représentant par transport du 1er juillet 1602, Noble Homme David de Limay, escuyer, sieur de Bezu et de Drumare, tuteur et gardien de Samuel et Charles Dits de Limay, escuyers ses enfants.
– 1758 – Formentin – Papier pour faire la recette sur les payant taille de la paroisse de Formentin, de la somme de 840 livres pour le principal à taille de lad. paroisse de 40 sols par le droit de quittance attribué au sieur receveur, de 2 sols 3 deniers pour motif du timbre des douze quittances ordonneez estre à la charge des collecteurs plus de 21 livres pour le droit de collecte et 4 livres 16 sols pour le sceau de présent papier de cette recette, le tout revenant à 868 livres 2 sols 3 deniers à quoy ils ont été fixez pour l’année 1758, par le mandement de monseigneur l’Intendant de la Généralité de Rouen du 20 octobre dernier .
Exempts: M. le Curé de Formentin pour son bénéfice; Monsieur de Formentin, conseiller de grande chambre au Parlement de Rouen fait valoir environ 300 £ de sa terre .
– 1770 26 novembre – Messieur Adrien Lambert, chevalier, seigneur de Formentin, conseiller honoraire au Parlement de Normandie.
Inventaire des enveloppes du n° 1 au n° 96 au 14 décembre 2010.
Enveloppe n°3:
– Georges Halley (mercerie et bonneterie en Mme Davy (mercerie) à Formentin Lisieux 01/07/1928
gros à Lisieux)
– L’Hermite & Cie (alimentation à Lisieux) Mr Davy (épicier) à Formentin Lisieux 15/02/1928.
FONDS Arthème PANNIER :
NE 12.1 – 1er carton « Communes ». Formentin : église, cloches.
Archives NEDELEC Communes.
com.26.6. 1 Formentin Eglise et presbytère de Formentin
com.26.6. 2 Formentin Notes historiques
com.26.6. 3 Formentin Château de Formentin
com.26.6. 4 Formentin Vie de la commune
Fonds Etienne Deville – Carton n° 09.
C9/9 – 2 notes sur le Fournet – Formentin.
Fonds Ancien 1F.
– 1F374 : 25 juillet 1742 : François Thorel de Formentin s’oblige à fournir à Pierre Borel de Bonnebosq 1300 banneaux de marne moyennant 30 livres
– 1F354 : 22 novembre 1744 : Charles Jéhanne d’Annebault reconnaît devoir à Jean Le Lieure de Formentin la somme de 50 livres.
– 1F7 : 1792 : Formentin – Extrait des actes de décès de Formentin pour Marie-Anne Havron, femme de Jean Baptiste Toussaint Phihon (?) Extrait délivré le 16 prairial an 9.( cachet de la commune de Formentin)
« Etat des estimations que nous avons faite le may 1792 de toutes les maisons a demeurer seulement de tous les propriétaires et fermiers tenant domicile dans la paroisse de Formentin pour l’impartition de l’impôt mobilier de l’année dernière 1791.
– 1F515 : 1794 : Antoine Gosset, Formentin
Archives Etienne Deville 9F. Minute, papier.
– 1529, samedi 29 mai – Le Pré-d’Auge, Meulles – Noble homme Claude Le Louveulx, seigneur de La Lozière et de Soussay et maistre Guillaume Le Louveulx, seigneur de Formentin, vendent à noble homme Robert de La Rivière, seigneur du Pré-d’Auge, le fief, terre et seigneurie de l’Epée, sise au Pré-d’Auge et paroisses de Manerbe, Saint-Désir, La Boissière et Saint-Ouen-le Pain, moyennant 1300 livres ts. en principal, et dix écus d’or de vin. Passé à Lisieux, en l’Hostellerie du Beuf. Le même jour, les frère Le Louveulx achètent le fief de Lyvet, à Meulles.
– 1535, 5 janvier – Formentin – Fondation pieuse par Noël Dupuys, hermite, quatre messes basses aux vendredis quatre temps de l’an – Dossier Fondations pieuses – Copie
– 1544, 22 mars – Formentin – Accord entre Jehan Grippierre, prêtre, chanoine de Lisieux, vicaire général de monseigneur le révérendissime cardinal d’Annebault, évêque et comte de Lisieux et faisant fort pour icellui seigneur, et noble homme Jehan Labbey, seigneur de La Roque-Baignard, au sujet de la tenure de la terre de Formentin.
– 1564, samedi 2 décembre – Formentin – Robert Lambert, sieur d’Herbigny, bourgeois de Lisieux, remet aux mains de Pierre Hamel, avocat en cour laie, une vergée de terre avec un bâtiment à usage de tasserie sis à Formentin, que lui avait vendue Guillaume Le Court, le 22 mars 1540.
– 1580, 24 janvier – Formentin – Accord entre Me Jean Lambert, curé de Formentin et Me François Chouart, prêtre, chanoine, prébendé de Formentin, représenté par son neveu Pierre Chouart, prêtre, chanoine de Lisieux, abbé du Val-Richer, au sujet de la perception des dîmes de Formentin.
– 1582, vendredi 30 novembre – Formentin – Accord entre frère Julien Laisné, licencié en théologie, curé de Formentin, et vénérable et discrète personne Me François Chouart, prêtre, chanoine prébendé de la prébende de Formentin en la cathédrale de Lisieux représenté par son oncle Pierre Chouart, prêtre, chanoine de Lisieux, abbé du Val-Richer, devant l’official de Lisieux, au sujet de la portion congrue par lequel le prébendé s’oblige faire bailler audit Lazisné, outre les menues dîmes et oblations ordinaires avant la pension dud. prébendé, le nombre de 28 écus d’or au soleil et un tiers sol, faisant la somme de 85 livres par chacun an, en deux termes Noël et Saint-Jean Baptiste, à prendre sur les grosses dîmes de la paroisse de Formentin.
– 1598, 14 août – Formentin – Jehan Maillet, procureur fiscal au bailliage vicomtal de Lisieux reconnaît avoir reçu de Marie Mauduit, dame de Formentin, le franchissement et rachat d’une rente.
– 1600, 4 mars – Lisieux – Jehan Lehéricher, fils et héritier de Robert Lehericher, de la paroisse de Formentin, y demeurant, confesse et reconnaît avoir vendu à Alexis Barbas, marchand tanneur demeurant paroisse Saint-Germain, une maison consistant en une petite cave, une boutique avec la chambre et le grenier, le tout, l’un sur l’autre, et situé dans l’enclos de cette ville, paroisse Saint-Germain, au devant de la Halle au blé, bornée d’un côté par la rue de la Halle, laquelle maison, led. Lehéricher l’avait acquise de Robert Girart, tenue de la Comté de Lisieux en la faisance de demi livre de poivre à la recette d’icelle comté, moyennant 318 livres tournois.
Passé en la maison de Robert Levasseur, en présence de Claude Legrand, marchand tanneur, de Lisieux, et Pierre Grip, aussi tanneur, de la paroisse de Manerbe.
– 1604 – 22 juillet – Formentin – Demoiselle Marie de Camigny veuve de noble homme Jehan Lambert, sieur de Formentin, reconnaît avoir reçu de Gilles de Giverville, sieur du Breuil, le franchissement d’une rente.
– 1611, 16 septembre – Mesnil-Simon – Accord entre Geoffroy Huard, receveur de la terre et sieurie du Mesnil-Simon, Jean Lambert, écuyer, Robert Lambert, sieur de Formentin, François Leproulx et Guillaume Huchon, au sujet des biens et aînesses au Mesnil-Simon.
– 1734, 6 juillet – Formentin – Aveu de Joseph Heroult à Me Adrien Lambert, seigneur de Formentin, pour une pièce de terre aud. lieu, faisant partie du ténement de Roubuisson .
– 1734, 6 juillet – Formentin – Aveu de Joseph Heroult à Me Adrien Lambert, seigneur de Formentin, pour une pièce de terre aud. lieu, faisant partie du ténement de Roubuisson.
– 1735, 19 février – Formentin – Pierre Miocque, fils Jacques, demeurant en ma paroisse de Formentin, vend à Messire Adrien de Lambert, chevalier, seigneur de Formentin et autres lieux, conseiller de grande Chambre en parlement de Normandie, demeurant à Rouen, rue de la Seille, paroisse de Sainte-Croix Saint-Ouen étant maintenant en son château de Formentin une ferme nommée le Lieu Fossier, consistant en quatre pièces de terre à Formentin et à Manerbe, moyennant 2386 livres.
– 1742, 25 juillet – Formentin – François Thorel, mailleron, demeurant à Formentin, s’oblige à fournir à Pierre Borel, écuyer, sieur des Essards, demeurant à Bonnebosq, 1300 banneaux de marne, moyennant 30 livres
– 1744 – Archives SHL. 1F354 :
22 novembre 1744 : Charles Jéhanne d’Annebault reconnaît devoir à Jean Le Lieure de Formentin la somme de 50 livres.
– 1744, 26 décembre – Formentin – Guillaume Surrirey, demeurant à Hotot, reconnaît avoir reçu de Toussaint Lhermitte, demeurant à Formentin, la somme de 11 livres 2 sols pour deux années de rente .
– 1744, 26 décembre – Formentin – Michel Viel, demeurant à Formentin, reconnaît avoir reçu de Toussaint Lhermitte, demeurant à Formentin, la somme de 19 livres 13 sols 4 deniers pour une années de rente .
– 1763 – 1768 – Formentin – Pièces relatives à des baux à ferme de pièces de terre à Formentin, Le Fournet, Saint-Eugène et Saint Ymer ( Saint-Hymer ), consentis par Jean Labbé, demeurant à Bourgeauville et François Hauvel, à Jean-Baptiste Bellanger, laboureur à Formentin .
– 1788, 3 novembre – Formentin – Par devant Jean-Baptiste Pouchin, notaire royal au bailliage d’Auge, pour le siège de Bonnebosq, Jacques Le Lièvre, fils Jean et non son héritier, mais héritier de feu Jean Le Lièvre, fils Charles, son grand-père, demeurant le comparant en la paroisse du Pré-d’Auge, reconnaît avoir vendu, cédé et abandonné aux sieurs Pierre-Marc-Antoine et Jacques Taupin, frères, marchands laboureurs, demeurant à Formentin, deux pièces de terre sises aud. lieu, la première en cour et plant avec deux corps de logis près le chemin de Dives, aux quatre chemins, la seconde à prendre dans le Champ Thorel, moyennant 1600 livres et une rente foncière de quarante livres à prendre sur Charles Pierre David ayant épousé Madeleine Perrée .
Cartulaire lexovien, N° 22, f° 20 – Cité par H. de FORMEVILLE .- Histoire, II, p. 317.
1382 – 13 janvier – Formentin – La lettre de 26 livres de rente, pour la fiefferme de Fourmentin que paie de présent Pierre Baignard, écuyer, sieur de la Roque.
Les Bulletins Shl Et Leur Sommaire.
Numéro 25, 1920-1923.
M. le Marquis de Frondeville – Une charte d’inféodation de Richard de Formentin à Jean d’Asnières.
Numéro 27, 1926-1930.
M. le marquis de Frondeville – Les seigneurs de La Roque et de Formentin aux XIVe et XVIIIe sièclesCarnets de Charles
Carnets Charles VASSEUR.
Description de l’église et des cloches
Note sur Jean Baptiste de Lambert
Document en latin 9 juin 1418 (Mémoire de la Ste des Antiquaires)
Voir le site: j.y.merienne.pagesperso Villes et villages du Calvados