Archives de catégorie : Communes

BRETIGNY – 27




NOTES sur BRETIGNY – 27
– de Bretinis – St Ciricus de Brethenis – Bretenix – Brethuys

BRETIGNY Saint Cyr
Vicaire. — Jq. Mare
Seigneurs. J-F. de Pinsun ou Pinson de Lonpré – S.R. de Pinsun ou Pinson de Lonpré

– Archives ShL:

Carnets de Charles Vasseur.
Doyenné de Bernay
Sous l’invocation de St Cyr

Patronage:
XIVe Dominus Rex
XVIe Dominus de Haricuria
XVIIIe le seigneur

Curés:
Le Puisien – de Pinsen
De Pinsun 1757/1787.

Déclaration de 1751
Patron: le comte de Briosne
Curé: Bernard le la Mare

Insinuations:

Les noms des paroisses et des seigneurs :
De Quintanadoine, seigneur de Bretigny

Etat des Gentilshommes
François de Quitanadoine, escuyer seigneur de Bretigny
Louis de Brévedent, escuyer, seigneur de la Houssaye

Jean de Quintanadoine, écuyer, seigneur de Bretigny, d’une famille originaire d’Espagne, (Quintana Duena), transplantée en Normandie, épousa Isabeau de Civille, 8e enfant d’Alonce (mentionné dans un acte de 1530)
Par acte de janvier (25) 1576, Robert le Roux, seigneur de Tilly, épouse Barbe Guilfort, dame des Nonettes, fille de Thomas et de Marie de Quintanadoine
(Les seigneurs de la Rivière Bourdet par O. de Poli)

MENNEVAL – 27




NOTES sur MENNEVAL – 27
– Mennevalis – Meuneval – Maneval

1 – Bibliographie.
2 – Archives ShL.

1 – Bibliographie:

Bulletin Monumental 1861 p.268.270
D’Hozier 529
Bulletin Monumental 1864 p.251
Antiquaires de Normandie IV 394
Beaurepaire – Agriculture p.167

2 – Archives ShL:

Carnets Charles Vasseur

Election et sergenterie de Bernay
70 feux

Sous l’invocation de St Pierre

Patronage:
XIVe Dominus de Garennes
XVIe Dominus de Breaulté
XVIIIe le seigneur

Curés:
20 janvier 1612 mort de Gabriel du Moulin, curé de Manneval né à Bernay
N.De la Vallée 1764 – Vallée 1774
De la Mare 1777/1787
G. Salles.
Vicaire. — G. Salles
Clerc. — Ph. Legoux
Patron.— Le seigneur du lieu.— L.-Jq Groî?in – J -L Lecarpentier – F. Le Villain – C. Bucaille – F. Le Villain du Bochoir, fils. – F-A-E. de Vicefoy – F. de Marchis.

Insinuations:
Lausmosne et l’Espervier fiefs appartenant aux religieux de Bernay, sur Menneval.

Recherche de 1666
Adrian le Vellain, seigneur du Boscnoir, régent au conseil
Louis de Mallevillen seigneur du Tinollent, ancien noble
Jean de Malleville seigneur de Durcoeur
André de Mainteternes, chastemlain de Manneval, issu de Louis, ennobli en 1610

Les noms des paroisses et des seigneurs
Jacques de Lambert seigneur d’Herbigny

Etat des gentilshommes
Jean de Maleville, escuyer, seigneur de Durcoeur
André Le Vilain, escuyer seigneur du Boscnoir

Menneval est cité dans la constitution de dot de la duchesse Judith, au commencement du XIe siècle
Florent de Varennes, amiral de France, commandant la flotte de St Louis au voyage d’outre-mer en 1270 (de gueules a une croix d’or et un lion d’argent en premier quartier à la queue fourchée), il était d’une noble famille du Ponthieu.
Mathieu de Varennes, dont la pierre tumulaire est dans l’église, doit être son fils puîné. Son fils aîné se nommait Jean.
Il fut probablement le père de Jeanne de Varennes, qui porta la terre de Menneval dans la famille de Léon par son mariage avec Jean de Léon, seigneur de Montagu.
Leur fille, Jeanne, épousa Roger II, sire de Bréauté et de Neville qui vivait en 1364.
Roger III, seigneur de Neville et de Menneval, chastelain de Bernay, leur petit fils, épousa au commencement du XVe siècle, Marguerite d’Estouteville, fille de Robert et de Marguerite de Montmorency. Il fut chambellan de Charles VI et Charles VII et se distingua au siège d’Harfleur.
Ruiné par ses rançons aux Anglais il vendit pour 8000 livres la terre de Menneval à Jean d’Harcourt en 1413 à droit de retrait.
Le Roi, la retire comme seigneur suzerain en 1415.
En 1548, Henri II autorisa Henri Adrien de Bréauté Ier, à user du droit de rachat stipulé par son aïeul, mais l’état de sa fortune ne lui permettant pas d’en profiter ; il vendit son droit au seigneur de Mainteternes, dont la famille possédait encore Menneval au milieu du XVIIe siècle. (Le Prevost).

Le château de Menneval est bien véritablement un château construit à la fin du dernier siècle, à mi-côte, dans une belle position, avec un vaste parc à l’entour. Il a la forme d’une équerre ; on a sacrifié la régularité pour jouir de la belle vue de la vallée. Il y a une dizaine d’années environ on y a amené une chapelle du XVe siècle, qui, relativement au temps où elle a été exécutée,
Dans le salon, au milieu des portraits de famille, est appendue une lettre autographe du Roy Henry V adressée à Madame la Comtesse d’Auger. On y voit aussi un buste du Prince.
Présente des résultats très satisfaisants. Ce château est habité maintenant par Monsieur le Comte d’ Auger, dont la bibliothèque renferme plusieurs manuscrits et incunables précieux.
Dans le salon, au milieu des portraits de famille, est appendue une lettre autographe du Roy Henry V adressée à Madame la Comtesse d’Auger. On y voit aussi un buste du Prince
Il y avait autrefois une Haute Justice à Menneval.
La terre de Menneval fut possédée par la Maison de Bréauté qui paraît être originaire du Pays de Caux.
Au commencement du XVe siècle on trouve Roger, sire de Bréauté, seigneur de Neuville et de Menneval, châtelain de Bernay, qui épousa Marguerite d’Estouteville, fille de Robert Ive du nom et de Marguerite de Montmorency.

2 avril 1319 avant Pâques, vente par Laurent Lorité et Cardine, sa femme, à Guillaume Flambart de 10 sous tournois de rente sur une maison sise en la paroisse de Menneval (Mairie de Menneval).

SERQUIGNY – 27




NOTES sur SERQUIGNY – 27
– Sarqueyum – serquigneum – Sarkineum – Sarquigniacum – Cerquigny

1 – Bibliographie.
2 – Archives ShL.

1 – Bibliographie:

Beaureparie – Agriculture p.75
Delisle – Echiquier p.278
Mémoires des Antiquaires de Normandie Tome 23 p.137 n°800 et p.219 n°1249
Musée des Antiquaires à Caen p.39, °132
Mémoires des Antiquaires de Normandie Tome XXVI p.254 – 327
Viollet le Duc Dictionnaire d’architecture Tome V p.176
A .Leprévost Dictionnaire Tome III 1ère partie p.237 (long article)
Almanach de 1787 p.34
Corps Municipal de Lisieux p.26
Voir d’Aché
Antiquaires de Normandie VI.184
Bulletin Monumental 1864 p.258
Voir Basnage 2p30

2 – Archives ShL:

Sous l’invocation de Notre-Dame

Patronage:
XIVe Dominus loci
Divisée au XVIe en 2 portions

1e portion
Patronage:
XVIe et XVIIIe ; dominus loci
2e portion
Patronage:
XVIe et XVIIIe : dominus loci

Curé de la 1° portion
D’Hally 1764
Pierre 1774
Breschet 1788-1787 (sic)
X.-L. Huet

Curé de la 2° portion
Aubry 1763/1787
En 1231 Guillaume Mauvoisin était seigneur du lieu
Vicaires. — N.-G. Pouplu du Buisson. – R. Bertre.
Prêtre desservant. — C. Toutain
Clerc. — J.-n. Chambellan
Patron. — Le seigneur Du lieu. — P.-R. de la Roque
Seigneurs.— A.-J. d’Arneville-Poligny – P.-M.-G. du Fay – L.-M. Le Michel – P.-R. de la Roque –

Serquigny
Eglise de 1000 à 1090 (porte remarquable)
Pierre René de la Porte, chevalier sieur de Cerquigny
Frère Jean Boursier de Serquigny, religieux ; voir La Charité de Surville

Insinuations:

En octobre 1231 St Louis racheta les droits que Guillaume Mauvoisin et ses hommes exerçaient dans la Forêt de Beaumont le Roger. (Delisle)
Pierre Mauvoisin, seigneur de Serquigny et de Grantchain en 1391 renonce à toutes prétentions sur le Patronage: de St Clair d’Arcey.

Les plus anciens seigneurs de Serquigny sont les Mauvoisin. A la fin du XIIIe siècle, Jeanne Mauvoisin porta cette terre à la famille d’Achey qui la conserva jusqu’au XVIe siècle.
(M. Le Prevost Mémoire sur quelques monuments du département de l’Eure)

Recherche de 1666
Philippe d’Erneville, seigneur de Maubuisson
Jacques d’Achey, seigneur du lieu ancien noble
Pierre d’Achey seigneur de Cerquigny ancien noble

Les noms des paroisses et des seigneurs
Pierre de Mallortie, seigneur de Cerquigny

Etat des Gentilshommes
François Charles d’Acher escuyer
Nicolas d’Erneville escuyer et seigneur de Maubuisson

C’est dans la 1ère moitié du XVe siècle que les fiefs, terre et seigneurie de Marbeuf sont entrés dans la maison d’Aché par le mariage de Marie de Tournebu, dame de Marbeuf avec Jean d’Aché, premier du nom, escuyer seigneur de Beuzeval, qui descendait par sa mère de Mauvoisin et d’Harcourt.
1487 – Jean II d’Aché, leur petit fils, seigneur de Serquigny et de Marbeuf, mari de Louise de Dreux ;
1524 – Charles d’Aché, panetier de François I, marié à Marguerite de Vassy ;
1562 – Jean III escuyer ordinaire de l’écurie du Roy et capitaine du château de Tancarville, mari de Renée Leconte de Nonant ;
1594 – Guy, lieutenant de la compagnie des Gendarmes de Fervaques, mari de Madeleine de Mailloc, seigneur de Fontenay, Azeville, Marbeuf, Cesseville, Le Mont de la Vigne et le Hômme, mort le 30 octobre 1608, après une amputation nécessitée par une blessure reçue 11 ans avant au siège d’Amiens ;
1616 – Jacques, marié à Marguerite de la Luzerne ;
1667 – Gabriel, mari de Catherine de Baudry ;
1680- Pierre François Placide, page du Roy
(Le Prevost – Notes sur l’Eure)

Le Parlement de Normandie par arrêt du 29 mars 1783, entre Monseigneur l’Evêque de Lisieux et les Curés: de Serquigny, a déclaré que les Curés: ont bien la faculté de choisir les sujets qu’ils veulent employer pour vicaires, mais que l’Evêque seul a le droit de commettre ces vicaires et qu’il peut les conserver ou les révoquer, quand il le juge à propos. (Manuel du Canoniste – Lucet p.678).

En octobre 1231 le Roi rachetait les droits de Guillaume Mauvoisin et de ses hommes de Serquigni dans la forêt de Beaumont le Roger par la cession de 160 acres de bois.
(Delisle Agriculture p.349)
Le fort St Marc, camp romain carré, établi au confluent des vallées de Risle et de Carentone, sur le pic de droite, signalé pour la première fois en 1830 dans les Mémoires de la Société de l’Eure : Double enceinte parfaitement carrée occupant environ 1 hectare. Le retranchement a encore 12 pieds de hauteur ; les 4 angles sont aux points cardinaux. (p..245 et suivantes)

Note sur les Antiquités romaines de Serquigny par M. Auguste Le Prevost (p.366 et suivantes)
Recueil de la Société d’Agriculture et de l’Eure Tome I p.830
(Il s’agit de la villa de Maubuisson et de l’aqueduc)

Fort St Marc – Camp romain sur l’autre rive près de Maubuisson ; villa romaine d’une grande richesse, bâtie dit-on par Serquinius, riche romain, dont le nom est resté à la localité. (Guide de Paris à Caen -L. Enault p.106)

Il existe à Cerquigny une villa dont quelques pièces ont été décrites par Monsieur Auguste Le Prevost (Mémoires de la Société des Antiquaires de Normandie Tome VI p ;184) et dans les ruines de laquelle on a trouvé de nombreux placages de marbre blanc, du marbre vert antique, des fragments de statues etc.… qui annoncent un édifice très important, il est à désirer que des fouilles dirigées par le savant qui nous a révélé l’existence de ces curieux débris fassent connaître l’ensemble de la riche maison de plaisance dont ils ont fait partie. (Cours d’Antiquités Tome III p.162)

L’extrémité du coteau qui domine le confluent de la Charentonne et de la Risle en face du village de Serquigny, est occupé par un camp de forme quadrangulaire et d’une contenance de près d’un hectare, connu dans le pays sous le nom de Fort St Marc ; c’était sans doute un poste militaire romain comme l’indiquent les débris trouvés près de là dans la forêt de Beaumont. Sur l’autre rive de la Charentonne, près de Maubuisson, on a découvert des vestiges d’une maison de plaisance vers laquelle un aqueduc portait l’eau de la rivière : ce sont des tuiles romaines, en grande quantité, des fragments de marbre précieux et des statues.
L’église est remarquable par une porte très ornée dans le style du XIe siècle (Gadebled)

A une demie lieue de là, dans la commune de Serquigny, sur la rive gauche de la Charentonne, près des limites des anciens diocèses de Lisieux, d’Evreux et de Rouen, nous avons rencontré une foule de matériaux précieux, en particulier beaucoup de morceaux de marbre blanc et vert antique, ainsi que de petits cube de verre coloré provenant d’une mosaïque qui annoncent d’une manière indubitable l’existence sur ce point d’une habitation romaine décorée avec beaucoup de luxe, et vers laquelle, malgré le voisinage de la rivière, se dirigeait un aqueduc partant de la commune contiguë de Courcelles. Nous avons consigné dans le numéro du Recueil de la Société d’Agriculture de l’Eure tout ce qui nous a été raconté sur les lieux de l’importance des constructions antiques mises à nu et détruites depuis 60 ans. La plus grande partie était située dans les enclos de la terre de Maubuisson, appartenant à Monsieur Gattier, préfet de la Manche, et le reste dans les champs qui s’étendent de ces enclos jusqu’au chemin de l’église de Serquigny au Hameau du Petit Nassandres. C’est surtout dans les pièces de terre appartenant à MM. Ravette et Legrand qu’on a trouvé le plus grand nombre de cubes de verre coloré et des fouilles seraient le plus fructueuses. (Le Prevost – Notice Historique et Archéologique p.46)

CARSIX – 27




NOTES sur CARSIX – 27
– Carresiz – Carresis – Carisis

1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.

1 – Bibliographie:

SEYDOUX Philippe, Châteaux des Pays de l’Eure, (Paris, 1987), pp. 2931 – Château XVIIIe siècle.

Monstre du Baillage d’Evreux p.42.37
D’Hozier 13.240-512
Mémoires des Antiquaires de Normandie Tome XXVIII p.117
Extrait de la Société Historique 128

2 – Pièces Justificatives.

CARSIX (St .Martin)
Curés. – F.-G. Richomme – F.-T. Marais – C.-S. de la Quèze –
Prêtres de la paroisse: M.-A Plessis – J. Hare.
Clerc. Jq. Malherbe –
Patron. Le seigneur du lieu – P.-Ph. du Fay – P.-M.-G. du Fay.
Seigneurs. P.-M.-G. du Fay. – P.-A.-G. du Fay.
Personnat de Carsix et chapelle St-Brice:
Titulaires. P.-C du Fay – P.-M.-G. du Fay.
Patron. Le seigneur du lieu – P.-P. du Fay

3 – Archives ShL:

Carnets Charles Vasseur.
Election de Bernay, sergenterie de Montfort
50 feux

Sous l’invocation de St Martin
Patronage: XIVe, XVIe et XVIIIe Dominus loci

Vicaria ejusdem-Persona ejusdem

Patronage: XIVe Ludovicus de Tibouvilla
XVIe et XVIIIe Dominus loci

Ce persona a été ensuite réuni à la Chapelle St Brice du même lieu.

Curés:
Richomme 1764
La Quere 1785/1787

1180 Robert de Caresis
1184 Guillaume de Carisis

Insinuations:

Duae capellae Anbrincenses apud Carresiz obi consistunt grossos fructus
Patron les héritiers du fondateur

Chapelle St Brice à Carsix, probablement l’une des précédentes – Voir Hôpital de Bernay p.44

St Brice de Carsix ou Fontaine-la-Soret, réunie à l’hôpital de Bernay par arrêt du Conseil privé du 24 janvier 1698 et lettres patentes de mars suivant
(Lechaudé d’Anisy – Mémoires de la Société des Antiquaires Tomer XVII p.167)

Les noms des paroisses et des seigneurs
Guillaume du Fay, seigneur de Carsix

Etat des Gentilshommes
Charles Guillaume du Fay, escuyer et seigneur de ladite paroisse.

Monsieur Champollion n’ayant que très peu de choses à dire sur l’éphémère Louis X, se rejette sur la disparition du petit roi Jean, fils de ce prince et Clémence de Hongrie. On a longtemps prétendu que ce dernier rejeton d’une race épuisée, mourut au bout de sept jours ; aujourd’hui le monde savant penche à croire le contraire et rapporte ainsi cette affaire ténébreuse : …tentative de meurtre de la part de Mahaut, comtesse d’Artois, propre marraine de sa victime future, substitution d’enfant de la part des partisans de la reine Clémence, et enfin enlèvement du vrai Jean, Joamino, qu’on éleva à Carsix en Normandie et que le seigneur de ce fief croyait son fils.
Plus tard, nous retrouvons Joanimo en Italie, apprenant tout à coup sa haute naissance de la bouche même de Rieuzé, le tribun de Rome, qui lui remet une attestation dûment scellée de ses armes et de celles de l’Eglise, huit jours avant sa décapitation.
Le jeune homme, muni en 1354 de cette pièce, parfaitement authentique, aurait divulgué son secret, déclaré ses droits à la couronne de France, réuni ses partisans, levé une petite armée et guerroyé quelque temps contre les Valois, jusqu’à sa défaite en Provence, sa captivité au Château de l’Oeuf et sa mort définitive, sans doute hâtée par le poison selon l’usage du temps ; c’est un nouvel Arthur pour nos annales.
La Revue contemporaine a publié sur ce problème historique une étude de M..Louis Brehaut : Giomino Baglioni – roi de France- 2e série Tome XVII, livres du 15 et du 30 septembre 1860.
(Revue contemporaine Tome 58 2e série 93e de la collection 31 août 1867)