Archives de catégorie : Communes

MARTAINVILLE – 27




NOTES sur MARTAINVILLE – 27

Martainvilla – Martenvilla

1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.

1 – Bibliographie:

voir :
Montfaut 31
Folleville
Extraits de la Société historique de Lisieux 40
Epaigne
Tourville (A. Le Prevost)

2 – Pièces Justificatives:

Insinuations

Cartulaire de l’abbaye de la Ste Trinité du Mont de Rouen, publié par A. Deville, à la suite du Cartulaire de St Bertin – Documents inédits
Charte de 1030 (dans la table par ordre de date cette charte porte l’année 1033)
Texte en latin

Martainville en Lieuvin – texte en latin
Suivi de
En 1595 Vincent Letellier, écuyer, était seigneur de Martainville et du Mesnil. Le premier passa ensuite à la famille des Hommets (Le Prevost)

Ai XIe siècle Martainville appartenait à des seigneurs appelés d’Omonville ; du temps du duc Robert II, Hersende veuve de Ribaud d’Omonville et son fils Robert et Richard de Luisors, donnèrent à Préaux la dîme de la paroisse. Ce Robert d’Omonville laissa un fils unique qui se nommait Beaudouin d’ Epaignes.
En 1595 Vincent Letellier écuyer, était seigneur de Martainville et du Mesnil. Ce dut être le siècle suivant que la première de ces terres passa dans les mains de la famille des Hommets, qui peu avant la Révolution acheta aussi de Monsieur Desson celles du Mesnil et de Vironnay, qui relevaient toutes deux de la seigneurie du lieu.
L’histoire de la Maison d’Harcourt indique 1/8 de fief nommé Honneteville qui appartenait à Guillaume de Mainbeville en 1462. (Arcisse de Caumont)

Catalogue Joursanvault Tome I -1558 Titres concernant le fief de Honneteville 1410. (Paris-Techener 1838).

Martainville sur le doyenné de Pont Audemer est comme des plus grosses paroisses du canton telle à peu près que le Torp et Epagne, il y a deux portions quoy qu’aujourd’huy elles soient possédées par un seul curé. Il y a aussi à peu près au sud-ouest et à deux ou trois portées de fusil, une des plus magnifiques maisons du diocèse ornée de grands bois de haute futaye qui forment de grandes et belles avenues dont les deux principales qui se coupent à angle droit, vont l’une du costé de l’église d’Epagne et l’autre du costé du Bois Helay ; il y a aussi entre l’église de Martainville et le château une place où il y a un marché le jeudi et le dimanche (Lettre de M. de Cabourg à d’Anville vers février 1725) –Papiers d’Anville cédés par moi à la Société Historique de Lisieux en 1872.

3 – Archives ShL:

Carnets de Charles VASSEUR –
DOYENNE DE PONT-AUDEMER – 27

Sous l’invocation de St Pierre
Divisée en 2 portions

1ère portion:
Patronage:
XIVe :
XVIe dominus loci
XVIIIe :

2e portion:
Patronage:
XIVe :
XVIe : dominus loci
XVIIIe ; le seigneur

Curés:
Le Bourg 1764/1774
Bunel 1785/1787

Chapelle en l’église de Martainville
Patron:
le plus proche du fondateur.

LE TORPT – 27




NOTES sur LE TORPT – 27

Ecclesia de Torpo

1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.

1 – Bibliographie:

Néant

2 – Pièces Justificatives:

Insinuations

Le Torpt était primitivement fief de haubert. Deux parts restèrent fief du Torpt, les deux autres devinrent les fiefs d’Auberville et du Bostenney.
La famille de Gaillon possédait Le Torpt dans le XVe siècle. En 1607 Jean Desson, lieutenant en l’amirauté de France, au siège d’Honfleur. Ses descendants le conservaient encore en 1735 ainsi que Bois Hellain et la Chapelle Bayvel.
Monsieur de Giverville a été le dernier seigneur du Torpt. (A.Canel)
Olim Tome II p.90 – An 1277 – texte en latin

1e janvier 1662 mourut âgé de 44 ans à Caen, sa patrie, Jean Louis le Bourgeois, seigneur de Torpt. Son Père, sieur de Beneauville, était conseiller au baillage de cette ville. Il y fut lui-même avocat du Roy et prononça plusieurs plaidoyers éloquents. Le 29 juillet 1655, la ville l’avait élu d’une voix premier échevin et colonel de la milice bourgeoise.
(Il est probable qu’il ne s’agit point de cette paroisse …)

Le Torpt – sur le ruisseau des Godeliers
En 1404 Nicole de Salerne vend au Bec le fief de la Jouerie situé au Torpt.
1455 – Pierre de Bréze, chevalier, sénéchal et maréchal de Normandie, seigneur du Torp au nom de Jeanne Crespin, sa femme (Archives impériales p.305 n°238).
1456 – Guillaume de Gaillon.
1524 – Jehan de Livet.
1558 – Nicolas de Livet pour un tiers.
1566 – par acquêt fait en 1561 de Claude de Lorraine et de Loyse de Brezé, sa femme
– Claude de Georgelyer, écuyer, seigneur du Bois et du Jarryer, conseiller au Parlement de Rouen, tuteur de Claude le Georgelyer, son fils unique, avoue pour un plein fief anciennement appelé la ville du Torp et fief de Varennes, avec les 2/3 du patronage de la cure, l’autre tiers à Thomas de Livet, au droit des héritiers de Jehan de Gaillon, chevalier et dame Marie du Mesnil rury, sa femme
Relevant du fief du Torp, le petit fief de Torp et les vavassories de Sandret et Couillon.
1604 – Jean Desson.
1768 – Antoine de Giverville ¼ de fief de Bosctenney situé sur le Torp et Boulleville avec manoir, chapelle, colombier, moyenne et basse justice.
Pierre d’Escalles, écuyer.
Robert (de gueules au chevron d’argent accompagné de 3 coquilles du même), son fils, épouse Magdeleine de Villeray.
Geneviève, leur fille et héritière épouse en 1625 François de Crémainville, seigneur de la Pinelière, Plancheville en Beauce, les Bordes, Dampierre et en 2e noces (1631) Laurent Sébire, écuyer, seigneur de Montcrocq.
Adrien de Crémainville, son fils (d’azur aux besants d’or en chef du même chargé de 2 tourteaux du champ) meurt en 1681, marié en 1668 à Anne du Bosc, fille de Louis Hervé, seigneur d’Hermival et de damoiselle Colombe le Pain….
Louis Henri de Crémainville, leur fils épouse en 1697 Barbe Guérin de Vaujour, meurt en 1712, laissant une fille unique Marie Magdelaine Louise, morte en juillet 1724, épouse de Jacques Despaigne, sieur du Coudrey et d’Hongreville.
De ce mariage sortit (1) Philippe Louis Hervé Despaigne écuyer, sieur du Bostenney, Maulouvet (indépendant) décédé en 1787, dont il eut 4 fils tous officiers sous Louis XVI, émigrés à l’armée de Condé – ((1) et une fille Catherine Marie Magdeleine, mariée en 1743 à Messire de St Ouen).
Louis Jacques d’Espaigne, seigneur de Bostennei, l’aîné, épousa Marie Françoise Henriette Alexandrine de la Coudre, fille d’Alexandre Pierre Martial, qui acheta à la Révolution une partie du fief de Bostennei pour le rendre à son gendre.
Antoine, Hervé d’Espaigne, fils unique des précédents, la possède encore (d’argent à la bande de gueules, chargée d’une molette d’éperon d’or, accompagné en chef de 3 mouchetures d’hermine 2.1 en pointe de 2 trèfles rangés en fasce de sinople.) (A. Le Prevost).

1277 – Mandement à l’Evêque de Lisieux de faire mettre à exécution un arrêt cassant une sentence rendue dans l’assise de Pont l’Evêque pour Jean dit Œil de Bœuf, contre Raoul d’Essone, mineur, au sujet du patronage de l’église de Notre Dame du Torp – (Olim II f°34 – Archives de l’Empire – Actes du Parlement Tome I p.190).

3 – Archives ShL:

Carnets de Charles VASSEUR –
DOYENNE DE PONT-AUDEMER – 27

Election de Pont Audemer, sergenterie du Mesnil
6 feux privilégiés
114 feux taillables

Sous l’invocation de Notre Dame

Patronage:
XIVe : Dominus de Vareumiis
XVIe : Dominus de Vareumiis et dominus senechalis alter.
XVIIIe : le seigneur et le sénéchal alternativement

Curés:
Henery 1764
de Meules 1774
Piel 1775/1787.

SAINT MACLOU la CAMPAGNE – 27




NOTES sur SAINT MACLOU la CAMPAGNE – 27

Maculus de Campania – in Campania

1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.

1 – Bibliographie:

Voir :
Le Neuve Lyre
Bulletin Monumental 1855 p.580
Recherche des Nobles de Lisieux p.122.
Bulletin Monumental 1855 p.580-581.

2 – Pièces Justificatives:

Labbey de La Roque, Pierre Élie Marie
Recherche faite en 1540, par les élus de Lisieux des nobles de leur élection…
SAINT-MACLOU-LA-CAMPAGNE.
328. Philippes Néel, dénommé noble à la fin du rôle , a dit être extrait d’ancienne noblesse , dont il a baillé sa généalogie et déclaration de sa descente. Mais parcequ’il ne l’a aucunement justifiée , le procureur du Roi a requis le dit Philippes Néel être assis.

Insinuations

Saint Maclou
C’était ¼ de fief relevant de Tourville à charge de tenir une fois l’étrier du suzerain montant à cheval.
Fiefs du Mont et de la Neuville
Le Mont ¼ de fief 980 acres non fieffés et 133 fieffés, relevant de la terre d’Aubigny, membre de la baronnie d’Annebaut.
Vendu dans la 2e partie du XVI siècle par Suzanne Despine, femme de Messire Antoine d’Estournel, chevalier de l’Ordre du Roy, seigneur de Plainville, à François de la Haye écuyer, qui rendit aveu en 1579 à Jeanne de Segrestain, comtesse de Pont Audemer et baronne d’Annebaut.
1641 – aveu de François de la Haye, écuyer, à Bernard Pottier de Bletencourt (?), marquis d’Annebaut.
1693 – Laurent de la Haye, neveu de François.
1711 – Etienne d’Ivry, receveur ancien des tailles à Pont Audemer, achète le fief par 33 000 livres.
1736 – François d’Ivri le vend par 65 000 livres à Rémi François de Giverville, écuyer, seigneur de St Maclou.
1758 – Jacques Adrien Levavasseur, écuyer, Maître des Comptes, l’acquière par 81 200 livres
Pierre Adrien, conseiller au Parlement … seigneur. (A. Le Prevost)

Saint Maclou ¼ de fief de haubert relevant de Tourville, appartenait à la fin du XVIIIe siècle à M.M. de Giverville. Saint Maclou était encore le siège des fiefs du Mont et de la Neuville : le 1er appartenait au XVIIe siècle à des seigneurs nommés De la Haie. Peu de temps avant la Révolution la Neuville fut portée en dot par Agnès Baudry à Sébire de Bois. L’Abbé de Caillouet, représenté maintenant par Monsieur le Comte d’Houdebert, pair de France (A. de Caumont).

3 – Archives ShL:

Carnets de Charles VASSEUR –
DOYENNE DE PONT-AUDEMER – 27

Sous l’invocation de St Maclou

Patronage:
XIVe : dominus de Tourvilla
XVIe :
XVIIIe : le seigneur

En 1751:
patron François Remy de Giverville

Curé:
J Fronton
Cagnard 1760/1787.

FATOUVILLE – 27




NOTES sur FATOUVILLE – 27

Fatouville Fastouvilla – Fastovilla
Le 25 juin 1844, rattachement de l’ancienne paroisse de de Fatouville-sur-Mer et de Saint-Ouen de Grestain déjà réunie à celle de Carbec en 1743
Carbec de Carbeca, Grestain de Grestano
et Fatouville ont été réunis en 1844.

Grestain, Greslanum, N.-D., abbaye de Bénédictins, vers 1050, par Herluin de Conteville, ou Courteville (époux de Herlewe, mère de Guillaume, duc de Normandie), et son fils Odon, évêque de Bayeux, supprimée en 1757 et la mense conventuelle unie au petit séminaire de Lisieux, diocèse de Lisieux, auj. Ëvreux, comm. Fatouville-Grestain, cant. Beuzeville, arrond. Pont-Audemer, Eure.
Arch. Calvados, G (fonds petit sémin. de Lisieux).
— Invent. arch. Eure, H, 336-48, p. 63-5.
— Bibl. Arras, ms. 355.
— Bibl. Avranches, ms. 149. — Bibl. Caen, ms. 292, f. 112-35.
— ALIX, Fragment de l’Obituaire de N.-D. de Grestain, dans Bull. soc. anliq. Norm., XXXIII (1918), 313-8.
— BEAUNIER-BESSE, VII, 198, l’égUse et les bâtiments claustraux qui étaient en mauvais état, furent démolis avant la Révolution.
— DE BLOSSEVTLLE, Dict., 103 (fondée en 1040, suppr. en 1775).
— C. BRÉARD, L’abbaye de N.-D. de Grestain ; Rouen, 1904, in-8°.
— CANEL, Essai historique et archéologique sur l’arrondissement de Pont-Audemer ; Rouen, 1833, 2 in-8°.
— CHARPILLON, I, 157-60. — CHEVALIER, Topo.
— DEMAY, Sceaux, 2800.
— DUGDALE, VII, 1090. — FISQUET, 359.
— FOUQUTER, Recherches historiques sur BeuzeviUe et son canton ; Ëvreux, 1878, in-8°.
— Gallia christ., XI, 842.
— JOANNE (1872), enceinte de l’abbaye de Grestain (xie s.).
— LÉCHAUDÉ D’ANISY, II, 1-3. — LÉON X, 10937.
— LONGNON, – II, table.
— MABTLLON, Ann., TV, 438 ; VI, 542.
— MIGNE (près Honfleur), t. 201, c. 81 (év. Arnoud de Lisieux vers 1175) ; t.
— Mgr. de Brancas et l’abbaye de Grestain (1757-8), dans BuH. soc. Tiisi. Lisieux, XVL 10-5. — MONTROND, 353. — Neustria pia (1040).

1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.

1 – Bibliographie:

Voir : Bulletin de la Société Historique n°5 p.57
Extraits de la Société Historique de Lisieux 113
Tourville
Equainville
Triqueville – A. Le Prevost

2 – Pièces Justificatives:

Labbey de La Roque, Pierre Élie Marie
Recherche faite en 1540, par les élus de Lisieux des nobles de leur élection…
FATOUVILLE.
345. La damoiselle , veuve de Brice le Terrier , a été plusieurs fois approchée et representée pour défaillante; pour quoi le procureur du Roi a requis qu’elle soit assise.
346. Durand de Thieuville, Sr. de la Houssaye, pour lui et la damoiselle sa mere, pour justifier sa généalogie , a produit plusieurs lettres et écritures, dont la copie est demeurée au greffe; dont la Ire., datée de l’an 1296, fait mention du mariage de Jean de Thieuville, écuyer, avec damoiselle Jeanne de Manneville, fille de Messire Guillaume de Manneville, cher. ; et par les autres, il a dit avoir fourni sa descente depuis son bisayeul.

Insinuations

Etat des fiefs de la vicomté d’Auge vers 1559
Hellie de Nollent, seigneur de Fatouville, Troune, Beaumouchel et Gonneville près de Honfleur, et autre fief, soy disant noble, porte en ses armes 3 rozes de gueules une fleur de lys au meilleur e, champ d’argent.

Recherche des Elus de Lisieux 1524
Paroisse de St Benest de Hesbertot
Olivier Nollent, seigneur de Fatouville a baillé sa généalogie de noblesse
Paroisse de Fatouville
Thibault de Trulley na fourny sa généalogie

Recherche de 1540
St André d’Hébertot
277 – Olivier de Nollent, seigneur de Fatouville et Messire Roger de Nollent, seigneur spirituel et temporel de Trouville, frères, ont produit plusieurs lettres et écritures, dont la copie est demeurée au greffe, qui justifient leur descente de Jean de Nollent, leur bisayeul, qui fut seigneur de St Léger sur Bonneville, et épousa damoiselle Marguerite de la Harusse, duquel Jean ; le nom et état de noblesse est justifié par la première des dites lettres, datée de l’an 1406.
319 – Messire Robert Nollent a dit être de noblesse ancienne et s’est aidé des généalogies, lettres et écritures que Olivier de Nollent, seigneur de Fatouville, son parent, a baillées en la paroisse de St Benoist. (Il habitait Honfleur)
Fatouville
345 – La damoiselle veuve de Brice le Terrier a été plusieurs fois approchée et représentée pour défaillante, pourquoi le procureur du Roi a requis qu’elle soit assise.
346 – Durand de Thiéville, seigneur de la Houssaye, pour lui et la damoiselle sa mère, pour justifier sa généalogie a produit plusieurs lettres et écritures dont la copie est demeurée au greffe, dont la première datée de 1296 fait mention du mariage de Jean de Thieuville, écuyer, avec damoiselle Jeanne de Manneville, fille de Messire Guillaume de Manneville, chevalier, et par les autres, il a dit avoir fourni sa descente depuis son bisaïeul.

Messire Jacques de Nollent, chevalier, seigneur de Fatouville, ayant épousé Noble dame Léonore Louise de Nollent, fille de feu François de Nollent, écuyer, seigneur de St Aubin. 1750.

Anne Mauduit, écuyer, sieur de Fatouville et de la Bataille, seigneur haut, moyen et bas justicier de la paroisse d’Estreville. (Il est probable qu’il ne s’agit pas de la paroisse de Fatouville). 1705

Feugrai, fief appartenant au XIIe siècle à Mathieu de Feugrai qui accompagna le duc Robert en Palestine.
En 1649 M.M. de Nollent étaient seigneurs de Fatouville (A. de Caumont)

Nolant, seigneur de Fatouville, auteur dramatique né à Rouen ou près de Séez, dans la 1ère moitié du XVIIe siècle, publia de 1682 à 1692 une suite de comédies imprimées dans le théâtre italien de Gherardi, Paris 1700. Il était conseiller au Parlement de Normandie et mourut vers 1700. (voir Querard – La France Littéraire Tome III)

Fatouville sur la Vilanie et le Joble
On trouve dans une charte du cartulaire de Préaux, relative à Graimbouville Robertin Fasteville, dans une autre Hugo de Fastovilla
Richard de Villequierr, vers 1135, donna à St Gilles, la dîme de son moulin de Jobles, dépendant d’un fief qu’il appelle « Fesdum Boelei » ou 20 sols de rente.
Le hameau de Feugray accompagna le duc Robert en Terre Sainte.
Carbec, Grestain et Fatouville ont été réunis en 1844. (Le Prevost)

Coupure de presse du Journal de Honfleur 13 novembre 1867 concernant le phare de Fatouville

Coupure de presse du Journal de Honfleur des 26 juin 1864 et 3 juillet 1864 reprenant la description de l’église.

La chapelle de la léproserle de la Madeleine de Grestain, au doyenné de Touques, diocèse de Lisieux, fut réunie à l’hôpital de Honfleur, le 13 juillet 1696, en vertu de lettres patentes du Roi, datées de ce jour.

L’ABBAYE NOTRE DAME DE GRESTAIN
Ordre de Saint Benoît – Ancienne Observance
Abbés commendataires. — N. Thirel de Boismont. – C. de Tuly-Blaru.
Chapelain. — B Richard.

3 – Archives ShL:

Carnets de Charles VASSEUR –
DOYENNE DE PONT-AUDEMER – 27

Election de Pont Audemer – sergenterie du Mesnil
4 feux privilégiés
90 feux taillables
Sous l’invocation de St Martin

Patronage:
XIVe : dominus loci
XVIe :
XVIIIe le seigneur

Curés;
Viger 1764/1774
Vauquelin de la Brosse 1776/1787
Charité de Surville

Carbec
Sous l’invocation de St Martin

Patronage : XVIe et XVIIIe : abbas loci

Curés : Danisy 1764
Du Haut 1774
Picquot 1774/1787

Insinuations

4 feuillets détachés de la St. Monumentale concernant la maison Houel et la description de l’église.