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SERQUIGNY – 27




NOTES sur SERQUIGNY – 27
– Sarqueyum – serquigneum – Sarkineum – Sarquigniacum – Cerquigny

1 – Bibliographie.
2 – Archives ShL.

1 – Bibliographie:

Beaureparie – Agriculture p.75
Delisle – Echiquier p.278
Mémoires des Antiquaires de Normandie Tome 23 p.137 n°800 et p.219 n°1249
Musée des Antiquaires à Caen p.39, °132
Mémoires des Antiquaires de Normandie Tome XXVI p.254 – 327
Viollet le Duc Dictionnaire d’architecture Tome V p.176
A .Leprévost Dictionnaire Tome III 1ère partie p.237 (long article)
Almanach de 1787 p.34
Corps Municipal de Lisieux p.26
Voir d’Aché
Antiquaires de Normandie VI.184
Bulletin Monumental 1864 p.258
Voir Basnage 2p30

2 – Archives ShL:

Sous l’invocation de Notre-Dame

Patronage:
XIVe Dominus loci
Divisée au XVIe en 2 portions

1e portion
Patronage:
XVIe et XVIIIe ; dominus loci
2e portion
Patronage:
XVIe et XVIIIe : dominus loci

Curé de la 1° portion
D’Hally 1764
Pierre 1774
Breschet 1788-1787 (sic)
X.-L. Huet

Curé de la 2° portion
Aubry 1763/1787
En 1231 Guillaume Mauvoisin était seigneur du lieu
Vicaires. — N.-G. Pouplu du Buisson. – R. Bertre.
Prêtre desservant. — C. Toutain
Clerc. — J.-n. Chambellan
Patron. — Le seigneur Du lieu. — P.-R. de la Roque
Seigneurs.— A.-J. d’Arneville-Poligny – P.-M.-G. du Fay – L.-M. Le Michel – P.-R. de la Roque –

Serquigny
Eglise de 1000 à 1090 (porte remarquable)
Pierre René de la Porte, chevalier sieur de Cerquigny
Frère Jean Boursier de Serquigny, religieux ; voir La Charité de Surville

Insinuations:

En octobre 1231 St Louis racheta les droits que Guillaume Mauvoisin et ses hommes exerçaient dans la Forêt de Beaumont le Roger. (Delisle)
Pierre Mauvoisin, seigneur de Serquigny et de Grantchain en 1391 renonce à toutes prétentions sur le Patronage: de St Clair d’Arcey.

Les plus anciens seigneurs de Serquigny sont les Mauvoisin. A la fin du XIIIe siècle, Jeanne Mauvoisin porta cette terre à la famille d’Achey qui la conserva jusqu’au XVIe siècle.
(M. Le Prevost Mémoire sur quelques monuments du département de l’Eure)

Recherche de 1666
Philippe d’Erneville, seigneur de Maubuisson
Jacques d’Achey, seigneur du lieu ancien noble
Pierre d’Achey seigneur de Cerquigny ancien noble

Les noms des paroisses et des seigneurs
Pierre de Mallortie, seigneur de Cerquigny

Etat des Gentilshommes
François Charles d’Acher escuyer
Nicolas d’Erneville escuyer et seigneur de Maubuisson

C’est dans la 1ère moitié du XVe siècle que les fiefs, terre et seigneurie de Marbeuf sont entrés dans la maison d’Aché par le mariage de Marie de Tournebu, dame de Marbeuf avec Jean d’Aché, premier du nom, escuyer seigneur de Beuzeval, qui descendait par sa mère de Mauvoisin et d’Harcourt.
1487 – Jean II d’Aché, leur petit fils, seigneur de Serquigny et de Marbeuf, mari de Louise de Dreux ;
1524 – Charles d’Aché, panetier de François I, marié à Marguerite de Vassy ;
1562 – Jean III escuyer ordinaire de l’écurie du Roy et capitaine du château de Tancarville, mari de Renée Leconte de Nonant ;
1594 – Guy, lieutenant de la compagnie des Gendarmes de Fervaques, mari de Madeleine de Mailloc, seigneur de Fontenay, Azeville, Marbeuf, Cesseville, Le Mont de la Vigne et le Hômme, mort le 30 octobre 1608, après une amputation nécessitée par une blessure reçue 11 ans avant au siège d’Amiens ;
1616 – Jacques, marié à Marguerite de la Luzerne ;
1667 – Gabriel, mari de Catherine de Baudry ;
1680- Pierre François Placide, page du Roy
(Le Prevost – Notes sur l’Eure)

Le Parlement de Normandie par arrêt du 29 mars 1783, entre Monseigneur l’Evêque de Lisieux et les Curés: de Serquigny, a déclaré que les Curés: ont bien la faculté de choisir les sujets qu’ils veulent employer pour vicaires, mais que l’Evêque seul a le droit de commettre ces vicaires et qu’il peut les conserver ou les révoquer, quand il le juge à propos. (Manuel du Canoniste – Lucet p.678).

En octobre 1231 le Roi rachetait les droits de Guillaume Mauvoisin et de ses hommes de Serquigni dans la forêt de Beaumont le Roger par la cession de 160 acres de bois.
(Delisle Agriculture p.349)
Le fort St Marc, camp romain carré, établi au confluent des vallées de Risle et de Carentone, sur le pic de droite, signalé pour la première fois en 1830 dans les Mémoires de la Société de l’Eure : Double enceinte parfaitement carrée occupant environ 1 hectare. Le retranchement a encore 12 pieds de hauteur ; les 4 angles sont aux points cardinaux. (p..245 et suivantes)

Note sur les Antiquités romaines de Serquigny par M. Auguste Le Prevost (p.366 et suivantes)
Recueil de la Société d’Agriculture et de l’Eure Tome I p.830
(Il s’agit de la villa de Maubuisson et de l’aqueduc)

Fort St Marc – Camp romain sur l’autre rive près de Maubuisson ; villa romaine d’une grande richesse, bâtie dit-on par Serquinius, riche romain, dont le nom est resté à la localité. (Guide de Paris à Caen -L. Enault p.106)

Il existe à Cerquigny une villa dont quelques pièces ont été décrites par Monsieur Auguste Le Prevost (Mémoires de la Société des Antiquaires de Normandie Tome VI p ;184) et dans les ruines de laquelle on a trouvé de nombreux placages de marbre blanc, du marbre vert antique, des fragments de statues etc.… qui annoncent un édifice très important, il est à désirer que des fouilles dirigées par le savant qui nous a révélé l’existence de ces curieux débris fassent connaître l’ensemble de la riche maison de plaisance dont ils ont fait partie. (Cours d’Antiquités Tome III p.162)

L’extrémité du coteau qui domine le confluent de la Charentonne et de la Risle en face du village de Serquigny, est occupé par un camp de forme quadrangulaire et d’une contenance de près d’un hectare, connu dans le pays sous le nom de Fort St Marc ; c’était sans doute un poste militaire romain comme l’indiquent les débris trouvés près de là dans la forêt de Beaumont. Sur l’autre rive de la Charentonne, près de Maubuisson, on a découvert des vestiges d’une maison de plaisance vers laquelle un aqueduc portait l’eau de la rivière : ce sont des tuiles romaines, en grande quantité, des fragments de marbre précieux et des statues.
L’église est remarquable par une porte très ornée dans le style du XIe siècle (Gadebled)

A une demie lieue de là, dans la commune de Serquigny, sur la rive gauche de la Charentonne, près des limites des anciens diocèses de Lisieux, d’Evreux et de Rouen, nous avons rencontré une foule de matériaux précieux, en particulier beaucoup de morceaux de marbre blanc et vert antique, ainsi que de petits cube de verre coloré provenant d’une mosaïque qui annoncent d’une manière indubitable l’existence sur ce point d’une habitation romaine décorée avec beaucoup de luxe, et vers laquelle, malgré le voisinage de la rivière, se dirigeait un aqueduc partant de la commune contiguë de Courcelles. Nous avons consigné dans le numéro du Recueil de la Société d’Agriculture de l’Eure tout ce qui nous a été raconté sur les lieux de l’importance des constructions antiques mises à nu et détruites depuis 60 ans. La plus grande partie était située dans les enclos de la terre de Maubuisson, appartenant à Monsieur Gattier, préfet de la Manche, et le reste dans les champs qui s’étendent de ces enclos jusqu’au chemin de l’église de Serquigny au Hameau du Petit Nassandres. C’est surtout dans les pièces de terre appartenant à MM. Ravette et Legrand qu’on a trouvé le plus grand nombre de cubes de verre coloré et des fouilles seraient le plus fructueuses. (Le Prevost – Notice Historique et Archéologique p.46)

CARSIX – 27




NOTES sur CARSIX – 27
– Carresiz – Carresis – Carisis

1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.

1 – Bibliographie:

SEYDOUX Philippe, Châteaux des Pays de l’Eure, (Paris, 1987), pp. 2931 – Château XVIIIe siècle.

Monstre du Baillage d’Evreux p.42.37
D’Hozier 13.240-512
Mémoires des Antiquaires de Normandie Tome XXVIII p.117
Extrait de la Société Historique 128

2 – Pièces Justificatives.

CARSIX (St .Martin)
Curés. – F.-G. Richomme – F.-T. Marais – C.-S. de la Quèze –
Prêtres de la paroisse: M.-A Plessis – J. Hare.
Clerc. Jq. Malherbe –
Patron. Le seigneur du lieu – P.-Ph. du Fay – P.-M.-G. du Fay.
Seigneurs. P.-M.-G. du Fay. – P.-A.-G. du Fay.
Personnat de Carsix et chapelle St-Brice:
Titulaires. P.-C du Fay – P.-M.-G. du Fay.
Patron. Le seigneur du lieu – P.-P. du Fay

3 – Archives ShL:

Carnets Charles Vasseur.
Election de Bernay, sergenterie de Montfort
50 feux

Sous l’invocation de St Martin
Patronage: XIVe, XVIe et XVIIIe Dominus loci

Vicaria ejusdem-Persona ejusdem

Patronage: XIVe Ludovicus de Tibouvilla
XVIe et XVIIIe Dominus loci

Ce persona a été ensuite réuni à la Chapelle St Brice du même lieu.

Curés:
Richomme 1764
La Quere 1785/1787

1180 Robert de Caresis
1184 Guillaume de Carisis

Insinuations:

Duae capellae Anbrincenses apud Carresiz obi consistunt grossos fructus
Patron les héritiers du fondateur

Chapelle St Brice à Carsix, probablement l’une des précédentes – Voir Hôpital de Bernay p.44

St Brice de Carsix ou Fontaine-la-Soret, réunie à l’hôpital de Bernay par arrêt du Conseil privé du 24 janvier 1698 et lettres patentes de mars suivant
(Lechaudé d’Anisy – Mémoires de la Société des Antiquaires Tomer XVII p.167)

Les noms des paroisses et des seigneurs
Guillaume du Fay, seigneur de Carsix

Etat des Gentilshommes
Charles Guillaume du Fay, escuyer et seigneur de ladite paroisse.

Monsieur Champollion n’ayant que très peu de choses à dire sur l’éphémère Louis X, se rejette sur la disparition du petit roi Jean, fils de ce prince et Clémence de Hongrie. On a longtemps prétendu que ce dernier rejeton d’une race épuisée, mourut au bout de sept jours ; aujourd’hui le monde savant penche à croire le contraire et rapporte ainsi cette affaire ténébreuse : …tentative de meurtre de la part de Mahaut, comtesse d’Artois, propre marraine de sa victime future, substitution d’enfant de la part des partisans de la reine Clémence, et enfin enlèvement du vrai Jean, Joamino, qu’on éleva à Carsix en Normandie et que le seigneur de ce fief croyait son fils.
Plus tard, nous retrouvons Joanimo en Italie, apprenant tout à coup sa haute naissance de la bouche même de Rieuzé, le tribun de Rome, qui lui remet une attestation dûment scellée de ses armes et de celles de l’Eglise, huit jours avant sa décapitation.
Le jeune homme, muni en 1354 de cette pièce, parfaitement authentique, aurait divulgué son secret, déclaré ses droits à la couronne de France, réuni ses partisans, levé une petite armée et guerroyé quelque temps contre les Valois, jusqu’à sa défaite en Provence, sa captivité au Château de l’Oeuf et sa mort définitive, sans doute hâtée par le poison selon l’usage du temps ; c’est un nouvel Arthur pour nos annales.
La Revue contemporaine a publié sur ce problème historique une étude de M..Louis Brehaut : Giomino Baglioni – roi de France- 2e série Tome XVII, livres du 15 et du 30 septembre 1860.
(Revue contemporaine Tome 58 2e série 93e de la collection 31 août 1867)

BROGLIE – 27




NOTES sur BROGLIE – 27

Adigard des Gautries Jean, Lechanteur Fernand. Les noms des communes de Normandie – X
505. — Broglie (ch.-l. c, E.), accrue de Saint-Vincent-la-Rivière en 1845,
a pris son nom actuel en 1742, lors de L’érection en duché, au profit de la famille de Broglie, d’origine italienne, de la terre de
Chambrais ; — le nom de la localité se prononce bro-gli, alors que celui de la famille à laquelle elle doit sa dénomination moderne
conserve la prononciation bro^ye : Gambrense [1000 env.] : A. d. G., NL Etire 911-1066, dans Ann.de Norm., IV, 1954, p. 55 ;
[Ace] Cambrest [A], Chamhrescum [B] [1155-1158] : expédition secondaire ou cop. du temps [A] et fragment probable de l’ofig. [B], Arch/ Eure, H, 438 ; — Deïisle et Berger, E.A. Henri H, n° 65, t. I, p. 168.
Formé sur n. h. gallo-romain Gambarius.
Le hom primitif a d’ailleurs coexisté assez longtemps dans l’usage avec le nouveau : c’est ainsi qu’on trouve encore en 1808 « Chambrais ou Broglie ».

CHAMBRAYS (de Cambrosis, de Cambrosiisn Canbrest, Cambresini, Cambresinum et Cambrai) devenu BROGLIE en 1742
Saint Aquilin des Augerons rattaché à Broglie en 1963.

1 – Historique du château.
2 – Archives ShL.

Note de l’Echiquier de Normandie sur l’appointement de Chambrays 9 mars de l’an 1416 entre Johan Cornewaille, Rauf Cromwelle et Johan Héron chevaliers représentant le Duc de Clarence d’une part et d’autre part Jacques de Neville escuyer et Guillem de La Verque, députés du seigneur de Ferrieres. (Reddition du château et contraintes)

18 septembre 1449 – Siège du château par les Comtes de Dunois, de Clermont et de Nevers, le Seigneur de Laval, le seigneur de Cullant, le seigneur de Blanville, le seigneur de Vernieul, de Gaucourt et de Bresay, les baillis de Berry et d’Evreux et plusieurs autres chevaliers. Le Comte de Clermont fait composition avec les anglais qui étaient dedans, qui s’en allèrent corps et vie sauve.

Le Seigneur de Chambrays assista à la conquête de l’Angleterre.

1- Historique du château:

Broglie dont le nom ancien est Chambrais appartenait dès le commencement du 11eS. à la Maison de Ferrières..Il y avait au 12eS. un château-fort.

En 1449 le fameux Comte de Dunois le reprit sur les Anglais. En 1589, le château et le bourg furent pillés par un corps de troupes protestantes. La Ligue s’y rétablit à deux reprises. Le Duc de Montpensier vint assiéger le château en 1589 et l’emporta d’assaut. En 1653, le domaine sortit de la Maison de Ferrières puis en 1716 passa par acquisition dans l’illustre famille de Broglie.
La Baronnie de Ferrières ayant été érigée en Duché en 1744, Chambrais prend le nom de Broglie.

L’ancien château fut remplacé par un vaste château « moderne ».

Augustin, Jean Fresnel, physicien et géomètre, célèbre par ses travaux sur le lumière et la construction des phares, naquit à Broglie en 1788, il meurt en 1827 à Ville d’Avray..

Description du château et du bourg

1258 – Arrêt portant que Gauquelin de Ferrières réclame à tort une indemnité pour les détériorations subies par ses manoirs et moulins de Chambrais pendant le temps où ils ont été sous la garde du Roy. Lesquelles détériorations ne sont pas prouvées.

16 mai 1318 – Mandement au Bailli de Rouen de porter au prochain échiquier la plainte de Jean de Quenvrecheys lequel avait été attaqué; blessé et mutilé à Chambrays par Richard du Bos, escuyer, en présence de plusieurs personnes, qui conformément à la coutume, auraient dû lui porter secours et qui n’en avaient rien fait.

Ferrières et Chambrais sortirent de la Maison de Ferrières vers 1507 par Françoise de Ferrières qui épousa Antoine d’Arces, seigneur de la Bastie, Vice-roi d’Ecosse. De là elle passe à la Maison des Ursins, puis à celle de Conflant, dont un membre, Eustache, la vendit le 25 janvier 1653 à Charles le Conte de Nonant, seigneur de Bouffey et vicomte de Beaumont le Roger ; vendue le 28 avril 1682 par Jacques du Plessis, Marquis de Chastillon à Arnauld de Pomponne et le 6 septembre 1716 à François comte de Broglie et à Thérèze Gillette Locquet de Granville, sa femme.

Lettre de Charles de Navarre et Comte d’Evreux relative à 200 livres levées en la sergenterie de Chambrais pour la fortification de la tour du châtelet dudit lieu.

– Est cité Guy de Graville capitaine de Chambrais le 8 août 1371.
– Recherche de 1666
– Noël Allard sieur de la Houssaye, condamné
– Nicollas de St Aubine, sieur de Losardière, condamné
– Adrien de Vattetot, ancien noble
– Gentilshommes d’illustres familles :
– Monsieur le Baron de Ferrières
– Etat des Gentilshommes : Monseigneur de Pomponne, ministre d’Etat. Il fut employé dès l’âge de 24 ans en qualité de négociateur, il devient ministre en 1671 ; les intrigues de Colbert et de Louvois parvinrent à l’éloigner de son ministère en 1679, retiré dans ses terres il écrivit ses mémoires.

En mai 1737 – Journal de Verdun
Monsieur Nicolas Simon Arnault, marquis de Pomponne, brigadier des Armées de Roy, et ci-devant Lieutenant général au Gouvernement de L’Ile de France, mourut le 9 avril 1737 à Paris âgé de près de 75 ans.

2 – Archives ShL:

– Dossier « Broglie » dans « Lieux A à L » sortie ShL du 12/10/2003 (+ Château de Blanc-Buisson).

– Charles Vasseur : Doyenné d’Orbec. « Doy. D’ORBEC.DOC »

Sous l’invocation de Saint Martin
Curés:
L.Fournier ou Le Fournier 1764/1774
C.Toutain 1782/1787
Vicaires. J.-B.-P Guitton – C.-Ph.Talion – G. Toutain – F. P. Vivien.
Prêtre de la paroisse. P.-F. Frécour.
Clercs. M-J.-M. de Broglie – N-R.Fouquet – P.-R. Levavasseur.
Patron. Le seigneurdu lieu. V.-F. de Broglie.

Une chapelle St Jean existe à Chambrays

Insinuations
Description de l’église de Broglie 1860

La léproserie de St Symphorien sous Ferrières réunie le 13 juillet 1696 à l’hôpital de Chambrais.

Charles Vasseur : Doyenné de Montreuil
7bis – St Aquilin des Augerons Algeron – Augerum

Patronage:
XIVe, XVIe et XVIIIe siècle : abbas St Elbrulfi.

Curés:
Le Boulanger 1764
Lamdey 1774.
Neuville 1778/1787.

Insinuations:

Le Prévost (I p141) texte en latin se rapportant à une donation confirmée par le seigneur d’Augeron, vassal de la famille Giroie en l’an 1050

Les noms des paroisses et des seigneurs
Les religieux de St Evroult

Etat des Gentilshommes
Alexandre Lemichel ; escuyer, sieur d’Avrilly.

BOURNAINVILLE – 27




NOTES sur BOURNAINVILLE – 27

Bournainvilla – Burnevilla – Bornainvilla

Archives ShL:

Carnets de Charles VASSEUR – Doyenné de Moyaux –

Sous l’invocation de Saint Rémi

Curé. — L.-J. Blondel
Vicaire.— F.-L. Riquier
Clerc. — F.-L. Riquier

Patronage:
XIVe Abbas et Couventus de Becco
XVI et XVIIIe Abbas de Becce

Ce patronage fut donné à l’abbaye moitié par Guillaume II Crespin, moitié par Richard, fils de Rémi… avant 1155.

Insinuations

Description de l’église du 5 octobre 1859

Nouvelle cloche de Bournainville bénite le 2 mai 1860

Les noms de paroisses et des seigneurs de l’élection de Bernay
Bournainville
De Mesières

Les archives de l’hospice de Lisieux nous donnent le nom d’un curé de Bournainville en 1614 : Nicolas de Bigards.