NOTES sur MONTREUIL L’ARGILLE – 27
La commune absorbe SAINT AQUILIN DES AUGERONS en 1963.
St Aquilin des Augerons Algeron – Augerum
Rôle des Fiefs de la vicomté d’Auge 1620 – 1640:
MONTREUIL-L’ARGILLÉ, en l’élection de Bernai, a une juridiction, et un marché le lundi. La cure, qui a pour patron saint Georges, a deux portions à la nomination de l’abbé de Saint-Evroult. Il peut y avoir cinq cents communians.
1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.
1 – Bibliographie:
Voir:
Odolam-Desnos Tome I p.118, 140, 291, 449 – Tome ii p.173, 176, 431.
(Siège du château Tome 1
Mémoires des Antiquaires de Normandie Tome XXIII p11 n°2-p.7 n°3-p.30 n°201-p.82 n°477-p.87 n°511-p.211 n°1198
Malbranche – Pénitents de Bernay p.78 art.11
Formeville II p.229
Extrait de la Ste Historique 57-59-60
Leuzigneul – d’Hozier 76
Pont St Pierre- Histoire des Grands Officiers de la Cour in 4° Tome II p.334
Fief du Houlme situé à Montreuil l’Argillé –Odolan Desnos Tome I p.XLIV
Epidémies à Montreuil – Annuaire Normand 1864 p.319
PAUMIER Henri : Pour l’histoire du papier. Les moulins des papetiers du Pays d’Auge. Bulletin du Foyer rural du Billot, n°82, juin 2003.
2 – Pièces Justificatives:
Dans son Histoire Ecclésiastique, Orderic Vital dit que vers 1050 «Willermus donavit eidem coenobio (Saint-Evroult) in Monasteriolo très fur nos et unum burgensem». Cette phrase nous révèle qu’à Montreuil-l’Argillé, foyer des Giroie depuis la concession du duc Richard II, coexistaient, avant le milieu du XIe siècle, un château qui avait été construit bien avant la concession du duc Richard II puisque le fils d’Ernauld de Courcevault, ayant été fiancé à la fille d’un chevalier normand nommé Helgon ou Heugon, avait reçu, à titre de dot de sa future épouse, les châteaux (« oppidis ») de Montreuil-l’Argillé et d’Echauffour et un bourg.
Insinuations
Montreuil Largille – En latin Monasteriolum. On conjoncture d’après ce nom qu’un petit monastère a existé dans ce lieu avant la fin du Xe siècle. Vers cette époque, le duc Richard Ier donna Montreuil à Giroie, un de ses barons. Ce fut au XIe siècle une place qui paraît même avoir eu le titre de comté. En 1035 le comte de Brionne vint l’attaquer ; mais il fut battu en rase campagne et mis en déroute. En 1138 les partisans de Geoffroy, comte d’Anjou, la brûlèrent dans une querelle entre les barons de la contrée. Un Guillaume de Montreuil, chevalier d’une grande illustration, se distingua dans une expédition des Normands dans la Pouille.
L’église est construite en grison (grisou ?) et ancienne.
Lieu de naissance de Pierre Vattier, médecin et orientaliste, mort en 1670 ; Boivin Louis, érudit 1724 ; Boivin de Villeneuve Jean, frère du précédent et comme lui très érudit, bibliothécaire du roi ; 1726 Mérimée, peintre. (en fait né à Broglie) (Gadebled).
Texte en latin – Orderic Vital – libro XII – Notitia Galliarum.
Le patronage de l’église de Montreuil avait été donné aux moines de St Evroult par Robert, Hugues et Ernault, fils de Robert de Grandmesnil (Orderic Vital Livre III tome II)
Jean le Picard prêtre, curé de la 1ère portion de Montreuil : de sable au chevron d’argent accompagné de 3 fers de lance de même, la pointe en haut
Tenneguy de la Rouvraye, prêtre, curé de la 1ère portion de Montreuil ; d’azur à 3 mains dextres appaumées d’argent, 2-1.
Charité de Montreuil : d’azur à un St Georges à cheval terrassant le dragon d’or
(d’Hozier 3-4-124-469)
Mémoire pour Messire François Dumont, prêtre, curé de la paroisse de St Georges de Montreuil Largillé, intimé contre Messire Jacques Housset prétendant droit à la même cure,
Appelant
Et encore contre Monsieur l’Archevêque de Cambray
(8 pages In f° sans nom d’imprimeur)
Messire Jean Baptiste de Boschenry ayant été pourvu de la cure de St Aubin d Tenney et ayant pris possession le 8 octobre 1721, résigna celle de Montreuil le 3 septembre en faveur de Messire Louis François Alexandre Léopold de Bernières, simple acolyte qui à son tour céda la 6 août 1723 à Messire Dumont.
Cependant l’archevêque de Cambray, abbé de St Evroult, avait nommé dès le 16 décembre 1722 le sieur Housset à la cure comme vacante.
Une sentence du baillage de Montreuil du 10 janvier 1724 accorda la jouissance à Dumont.
Monsieur de Bernières n’avait que 21 ans et ne pouvait être prêtre dans l’an puisqu’il faut avoir 25 ans. (Bibliothèque de Raymond Bordeaux)
Chapelle St Marc à Montreuil l’Argillé
18 novembre 1509
Collation « capella leprosarice S. Marci in parrochiale ecclesia de Monstereuil » donnée à Messire Georges Gobart, prêtre du diocèse d’Evreux, pourvu en cours de Rome. (Archives de l’Hospice de Lisieux)
Maladrerie de Hourteral (Montreuil ?)
Patron : le roi
Description une maison du XVIe siècle, dite Maison du Baillage.
Origine de la maison Giroye
Odolan-Desnos Tome I p.108
Giroye Tome I p.30-116 à 123- 185
Tome I p.151-213 à 214
Tome I p.138-290.
Orderic Vital p.464 – Gervius – texte en latin.
Guillaume Giroye, comte de Montereul et Eschauffour surprend le comte du Maine qui avait pris le parti de Robert de Bellesme contre le Duc (1028) et le défait.
Guillaume de Montreul suit les fils de Tancrède de Hauteville en Italie.
Guillaume de Montereul, fils de Guillaume Giroye, seigneur d’Eschauffour, maistre du camp de l’armée romaine et porte enseigne de St Pierre, soumit à sa puissance tout le pays de la Campagne (Campanie) avant 1035.
Autrefois Gillebert Crespin, comte d’Eu et de Briosne, seigneur du Sap, voulut joindre à son domaine Montereul aux dépens des Giroyes qui le mirent en fuite et prirent le Sap, dont la possession leur fut confirmée par le duc Robert. Gillebert fier d’être l’un des tuteurs du duc, voulut en rentrer en possession (1039), mais comme il devisait avec Gachelin du Pont Eschenfrey, beau frère des Giroyes, par le conseil de Raoul de Gacé, autre tuteur du duc et connétable de Normandie, Odon le Gros et Robert Giroye le poignardèrent. Robert de Guitot conducteur de ses enfants Beaudouin et Richard, pour avoir trempé en ce mauvais dessein, s’enfuit avec les enfants chez Beaudouin, comte de Flandres, qui mariant sa fille Mathilde au duc Guillaume, fit tant qu’il les reprit an grâce et donna à Beaudouin le Sap et Meulles et à Richard Bienfaite et Orbec.
L’an 1045 Guillaume Giroye, comte de Montereul et baron d’Eschauffour, invité aux noces de Guillaume Talvas, comte d’Alençon, avec la fille du seigneur de Beaumont, est dissuadé par son frère Raoul Mallecouronne, clerc défroqué et grand astrologue ; il va à Alençon, est arrêté comme traître et ennemi juré, puis on lui crève les yeux, on lui coupe le nez, les oreilles et les parties honteuses. Ainsi mutilé il se fait moine au Bec. Ses frères Raoul et Robert ravagent les terres du comte pour le venger et Talvas est chassé par son propre fils. Le Duc Guillaume ayant déclaré la guerre au comte d’Anjou, celui-ci corrompt Giroie gouverneur de St Celerin et de la Roche Dye. Le duc assiège St Celerin ; Giroie meurt empoisonné par accident. Son neveu Armand lui succède ; mais enfin il se rend et le duc pour se l’attacher lui donne Montereul, Eschauffour, St Célerin et toutes les autres terres de ses ayeux (1060).
Sur un faux rapport de Roger de Montgommery et de Mabile, sa femme, Ernaud d’Eschauffour et le seigneur de Montereul, avec d’autres sont exilés et se retirent en Pouille (1063).
Pendant que les bannis sont au repos dans les terres étrangères, Ernaud d’Eschauffour, comte de Montereul, fâché de se voir dépouillé de tous ses biens, se rue sur ceux d’autrui et secondé des sieurs de Courville et des Augerons, pille, ravage, emporte Lysieulx et les places voisines. Il prend de nuit le château d’Eschauffour et le brûle, il avait été donné à Montgommery, il brûle le bourg de St Evroult. Enfin le duc traite avec lui et il se retire en Pouille (1063)
Ernaud d’Eschauffour rentre en Normandie. Le duc lui promet de lui rendre ses biens. Mabile, qui les avait, essaie de l’empoisonner, ne pouvant y réussir, gagne Roger de la Goulafrière, chambellan d’Ernaud ; il l’empoisonne à Courville avec le seigneur du lieu et Guillaume Gouet de Montmirail ; les deux derniers en échappèrent, mais Ernaud mourut revêtu de l’habit de moine en signe de pénitence et fut inhumé dans le cloître de St Evroult ; Emme, sa veuve, fille de Turstin de Haldone, retourna en Cotentin où après 30 ans elle se fit religieuse. Guillaume d’Eschauffour, son fils aîné, se retira à la cour de France puis en Pouille où il resta. Son frère Renaud se fit moine à St Evroult, ses sœurs, Pétronille, religieuse à Augiers et Gève à Caen (1065) Leurs biens restèrent dons aux mains de Montgommery.
L’an 1088 Robert Giroie reçoit du duc de Normandie pour ses bons services, St Célerin que ses ancêtres avaient possédé et qui était détenu par la famille de Talvas, toujours révoltée.
Geoffroy, comte de Mortagne, brûle Eschauffour dans une querelle contre Robert de Bellesme de la famille de Montgommery, son cousin.
A l’occasion du mariage de Guillaume Adelin, fils de Henri, Robert Giroie est gracié et remis en possession de Montereul et Eschauffour (1120). Montereul brûle en 1138. (Gabriel Dumoulin)
Ordéric Vital –livre XII ; traduction Guizot Tome IV p.298
« A la prière du beau père de son fils, le comte d’Anjou, le roi Henri pardonna à son cousin Robert de St Ceneri d’avoir récemment passé à l’ennemi contre la foi de ses serments ; Il lui rendit Montreuil et Echauffour vers 1119.
Orderic Vital Livre V traduction Guizot Tome II p.396
Roger de Mont-Goneri, après la chute de la famille de Giroie, posséda pendant vingt six ans tout le patrimoine d’Echauffour et de Montreuil.
Ducarel – Appendices p.230 – note en latin.
Echiquier de Normandie
An 1195 : Paganus de Mosterol.
Orderic Vital – Livre XIII
Au mois de Janvier 1138 Simon le Roux, fils de Beaudouin, entra dans le château d’Echauffour avec la permission de Robert, fils de Giroie …
Dès qu’il eut commencé à ravager le pays, son frère Ribault vint partager ses crimes et le reçut dans la forteresse que l’on appelle le Pont Echenfrey.
Guillaume Freenel et ses six frères, Alain de Thennie et Ernault, sénéchal du comté, ainsi que les habitants de Glos se soulevèrent et brûlèrent le Pont Echenfrey, Montreuil et les bourgs circonvoisins. Alors une fureur cruelle s’empara des deux parties.
Mémoires de la Ste des Antiquaires Tome 23 p.82
28 avril 1419 – texte en latin
Mémoires de la Ste des Antiquaires de Normandie Tome 23 p.87
2 mai 1419 – texte en latin.
Félix le Gris, seigneur et baron de Montreuil et d’Echauffour et châtelain de Montfreville, eut de son mariage, Adrienne le Gris, héritière de tous ses biens, qui épousa le 21 novembre 1585 Gaspard Erard, seigneur de Cisay, fils de Jean et de Marquise de Loisel, qui obtint en 1645 des lettres patentes du roy pour unir les noms d’Erard et le Gris dans sa personne et ses descendants.
– d’argent à la fasce de gueules (La Chesnayes Tome VII p.473)
Echauffour et Montreuil Largillé baronnies et Normandie étaient échues au marquis de Pont Saint Pierre du chef de Marie Anne Dorothée d’Erard le Gris sa mère. Il les a vendues l’an 1740 à Jacques René Cordier de Launay, trésorier de l’extraordinaire des guerres, contrôleur des chevau-légers de la garde du Roy, mort le 16 février 1760 Il avait été marié à Thérèse de Croezer, morte le 25 mai 1771, dont 1° Claude René ; 2° N. mariée au comte d’Azy ; 3° N. mariée à S. de Villette, trésorier de l’extraordinaire des guerres ; 4° Anne Prospere, mariée le 13 octobre 1736 à Jean François Joseph d’Eskergue de Toulongeon, comte de Champlitte, brigadier des armées.
Claude René, né à Paris le 30 janvier 1715, seigneur de Vallers Villerhiers et Blenne, en Gâtinois, Echauffour en Normandie, seigneur et patron de la Verrieu en Hurepoix, marié le 21 août 1740 à Marie Madeleine Masson de Plissay, fille de Jean et Pélagie Partiet, d’où 1° Louis Guillaume né en 1746, marié le 25 février 1784 à Pétronille de la Lande, fille de Messire Raymond et de N. de la Lande ; 2° Charles, Michel, chevalier de Valéry, né le 11 janvier 1754 ; 3° Marie Joseph de la Verrière né le 9 mars 1756 ; 4° Renée Pélagie, mariée en 1763 à N. marquis de Sade ; 5° Jeanne Prospère née en 1751, chanoinesse d’Alix morte en 1779 ; 6° Pélagie Françoise, née en 1760 mariée en 1783 à N. de Warin Villers au Tertre. (Waroquier Tome VII)
Sur la cloche de Dampierre refondue en 1832, on lisait :
L’an 1718 j’ai été bénite par Vénérable et discrète personne Maistre Jacques Butteux, prêtre, curé du lieu et nommée Françoise par Messire Michel de Roncherolles, chevalier, marquis du Pont Saint Pierre, Montreuil, Eschauffour, comte de Gisay, baron d’Escony, Dampierre, Gamaches, seigneur châtelain de la Ferté, vicomte de Riouvier, grandvoyer de Picardie, seigneur haut justicier d’Artois, premier baron de Normandie, conseiller d’honneur né au parlement de ladite province et par Noble Dame de Morvilliers et Seronville en partie veuve de Messire Jacques de Campuley, chevalier seigneur de Menerval, Gaillonnet, Neufmoulin et autres lieux.
Roncherolles est situé dans Vexin à 6 lieues de Rouen.
Michel est né le 20 avril 1669, fils de Claude, marquis de Pont St Pierre et de Catherine le Veneur. Il épousa par contrat du 24 février 1702 Marie Anne Dorothée Erard le Gris, marquise de Montreuil, d’Echauffour, comtesse de Cisey en morte le 29 janvier 1739, âgée de 53 ans, fille unique de Gaspard Erard le Gris, marquis de Montreuil et de Anne Dorothée du Buat : d’argent à 2 fasces de gueules. (D. Dergny – Les cloches du Pays de Bray p.197)
Echauffour et Montreuil l’Argillé étaient échues au marquis de Pont St Pierre du chef de Marie Anne Dorothée d’Erard le Gris, sa mère. Il les vendit vers l’an 1740 à Jacques René Cordier de Launay, trésorier de l’extraordinaire des guerres, allié à Anne Thérèse Croezer dont 1° Claude René Cordier, président à la cour des Aides de Paris, dit Monsieur de Montreuil et qui possède à présent ces terres. Il a épousé le 22 août 1740 Marie Madeleine Masson de Plissey (Expilly)
27 juin 1743 la bataille d’Ettingen fut tué Michel Marie François, dit le Chevalier de Roncherolles, né le 3 octobre 1719, reçu de minorité chevalier de Malte, exempt des gardes du corps. Il était le 3e fils de Michel de Roncherolles, marquis de Pont St Pierre, etc., premier baron de Normandie, baron d’Ecouis, conseiller d’honneur, né au parlement de Rouen et Marie Anne Dorothée Erard le Gris, marquise de Montreuil et d’Echauffour, comtesse de Cisay. (Lange).
Les Roncherolles ont formé plusieurs branches, celle des barons puis marquis de Pont St Pierre, comtes de Cisey, marquis de Montreuil, comte du Plessis de Dampierre, premiers barons de Normandie etc … éteinte en 1839 ; d’argent à deux fasces d gueules (Isidore Cantrel – Catalogue des gentilshommes du baillage de Vire en 1789).
Monstreuil
Jean de Chaulieu, seigneur de Maremonde, ancien noble,
Charles de Chaulieu, seigneur de Lesisgneul ancien noble,
Claire de Hestoc, veuve de Nicollas de Chaulieu, sa fille
Jacques et Charles de Chaulieu enfants mineurs de défunt Jacques, anciens nobles,
Jean d’Aureville ancien noble,
Jean Duval ancien noble,
Nicollas d’Escorches, seigneur du lieu ancien noble,
Messire Henry de la Rouvraye, curé de Monstreuil, ancien noble,
Jacques le Picart, seigneur de Pinchonnière a renoncé à la qualité.
Les noms des paroisses et des seigneurs de l’élection de Bernay
Montreuil
La demoiselle Legrix marquise dudit lieu …bourg chargé.
Le Filleul, baron de Montreuil prend part aux assemblées pour l’élection des députés aux états généraux de 1789.
Pierre Vattier orientaliste né en 1623 à Montreuil l’Argillé. Il s’appliqua dans sa jeunesse à l’étude des lettres, de l’histoire naturelle et de la médecine ; l’estime qu’il conçut pour les ouvrages Avicenne lui fit apprendre l’arabe afin de pouvoir les lire dans l’original et il acquit bientôt une connaissance parfaite de cette langue. Reçu docteur en médecine il alla s’établir à Paris où il devint médecin de Gaston d’Orléans et fut pourvu en 1658 de la chaire d’arabe au Collège de France qu’il remplit avec distinction jusqu’à son décès arrivé le 7 avril 1670.
22 avril 1724 – Mort de Louis Boivin né à Montreuil l’Argillé le 20 mars 1649, élève des jésuites, érudit, nommé membre de l’Académie des Inscriptions et Belles Lettres en 1701. Il n’a publié que des Mémoires lus à l’Académie.
29 octobre 1726 mourut Jean Boivin de Villeneuve, né à Montreuil l’Argillé le 18 mars 1663, frère de Louis, qui fut son tuteur et le mit au collège du Plessis à Paris. Admis en 1705 dans l’Académie des Inscriptions il fut nommé au bout de 3 mois professeur de grec au collège royal. En 1721 il succéda à Huet à l’Académie Française.
Douesy, conseiller au Parlement de Rouen, exilé le 12 septembre 1771 à Lanouette près Montreuil l’Argillé (Hippeau – Gouvernement de Normandie V.49)
SAINT AQUILIN DES AUGERONS
St Aquilin des Augerons Algeron – Augerum
Insinuations
Le Prévost (I p141) texte en latin se rapportant à une donation confirmée par le seigneur d’Augeron, vassal de la famille Giroie en l’an 1050
Les noms des paroisses et des seigneurs
Les religieux de St Evroult
Etat des Gentilshommes
Alexandre Lemichel ; escuyer, sieur d’Avrilly
3 – Archives ShL:
Carnets de Charles VASSEUR –
DOYENNE DE MONTREUIL.
Election de Bernay, sergenterie de Chambraye
160 feux
Sous l’invocation de St Georges
1e portion: de la cure
Patronage:
XIVe, XVIe, XVIIIe : abbas St Elbrulfi
2e portion:
Même patronage
Curés:
1e portion
Housset 1763/1787
2e portion
Gasnier 1760/1787
SAINT AQUILIN DES AUGERONS
Patronage:
XIVe, XVIe et XVIIIe siècke : abbas St Elbrulfi.
Curés:
le Boulanger 1764
Lamdey 1774.
Neuville 1778/1787