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La POTERIE MATHIEU – 27




NOTES sur La POTERIE MATHIEU – 27

– La Poterie Mathieu – Poteria – Potereya Mathei

1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.

1 – Bibliographie:

Voir :
Recherche des Nobles de Lisieux p.137,
St Georges du Mesnil,
Giverville,
Beaurepaire – Agriculture p.75 – 345,
Mémoire des Antiquaires de Normandie Tome 23 p.185 n°1032
Bulletin monumental 1855 p.562 –note-,
A Le Prevost – St Jean de Lecqueraye et St Etienne Lalllier
Formeville II p.100.

2 – Pièces Justificatives:

Labbey de La Roque, Pierre Élie Marie
Recherche faite en 1540, par les élus de Lisieux des nobles de leur élection…
LA POTERIE-MATHIEU.
373. Jean de Livet a fourni avec autres de ce nom en la parroisse de Saint-Gervais-d’Asnieres, n°. 74.
374. Pierre, Antoine, et Adrien de la Houssaye , tînt fourni avec autres de ce nom , en la parroisse de Nouars, n°. 138.

Insinuations

Mathieu de la Poterie était présent à l’érection de la collégiale de Beaumont le Roger en prieuré de l’abbaye du Bec en 1142.
Il donna 2 acres de pré avec un hêtre à cette abbaye pour le repos de l’âme de sa mère Burgonde et confirma les donations de Florus, son frère, aux religieux du Bec.
En 1198 les fiefs de la Poterie et la Lecqueraye, réunis ensemble, payaient 10 livres par an au Trésor comme fiefs de haubert.
Mathieu II de la Poterie confirme en 1202 les donations de son père au Bec. L’année suivante le Roi Jean lui fit rendre son fils qui était prisonnier.
Lors de la conquête par les Français il conserva son fief et ceux qu’il possédait à Lieurei et à Giverville. Il devait service d’un chevalier à l’honneur de Montfort.
En 1215 il confirme les donations de ses prédécesseurs au Bec.
Mathieu III est cité dans un jugement de l’Echiquier de 1235.
En 1255 Jeanne du Teil, veuve de Mathieu de la Poterie, donne au Bec 18 sols de rente.
Mathieu IV fit hommage aux religieux de Ste Catherine de Rouen, d’un fief qu’il possédait à Giverville, nommé aussi la Poterie (1255). En 1278 il n’était plus seigneur de la Poterie passée aux Martel, mais seulement le la Lecqueraye.
En 1298 Richard et Guillaume Martel (famille originaire du Pays de Caux) renoncent à toute prétention au Patronage: de Giverville en faveur des religieux de Ste Catherine.
Vers 1350 les seigneurs et patrons de la Poterie étaient Guillaume Martel et Jean de Mortemer.
A la fin du même siècle, Jean Martel était seigneur de la Poterie-Mathieu et de la Tillaye à Lieurey. Il eut trois filles du nom de Jeanne : la première épousa Jean Pouchin, la deuxième Pierre des Barres et la troisième Jean du Mesnil.
C’est une Jeanne, fille aussi d’un Jean Martel qui, suivant Monsieur Carrel, porta la Poterie dans la maison de Livet par son mariage avec Richard de Livet, seigneur de Bourneville.
Georges, seigneur de la Poterie et de Bourneville fut prisonnier des Anglais. Il épousa Marguerite de la Brière, héritière de Condé sur Risle et de la Thillaye. Sa femme et Richard de Malortie payèrent sa rançon.
Richard II, seigneur de la Poterie, Condé et Bourneville, épousa vers 1483 Gilette de Barville ; de la succession de son beau frère, il eut pour sa part les terres de Frênes et d’Asnières.
Jean rendit aveu en 1518 pour la Poterie-Mathieu.
Richard III seigneur de la Poterie épousa Marguerite de Bailleul.
Il hérita des ¾ du fief de Bailleul.
Gilles fut ensuite seigneur de la Poterie, Bailleul la Vallée et Clères.
En 1584, il céda à ses deux fils Hector et Guillaume, les fiefs de Bailleul. Bientôt après il les reprit en abandonnant la Poterie-Mathieu.
Bailleul et Clères furent décrétés en 1607 et achetées par Jean Igou, seigneur de Bosc-Normand, mais la Poterie resta à la branche de Livet-Barville qui la possède encore.
Du fief de haubert de la Poterie relevait le ¼ de haubert de la Lecqueraye, qui avait sous sa dépendance les fiefs de Bosc-Potier et Bosc-Louvet. (Le Prévost)

La Poterie-Mathieu tire son nom d’un de ses anciens seigneurs, Mathieu de la Poterie, vivant à la fin du XIIe siècle et au commencement du XIIIe. Son fief était membre du comté de Montfort.
Au XIVe siècle il appartenait à la famille de Martel.
Jeanne de Martel, la porta en dot à Richard de Livet. Georges, fils de Richard, fut prisonnier des Anglais ; sa rançon fut payée par sa femme et par Richard de Malortie en 1451. Il avait épousé Marguerite de la Bruyère, dame de Condé.
Leur fils Richard, se maria à Gilette de Barville qui lui laissa les seigneuries de Fresnes et d’Asnières. Le dernier seigneur et patron de la Poterie fut Monsieur F.L.Ch de Livet, marquis de Barville, mort en 1830.
Il ne restait que les mottes du manoir seigneurial de la Poterie.
Il existait un autre fief nommé la Peignerie
On prétend que la Poterie a été appelée St Pierre de Véronne (la Véronne a sa source sur cette commune).

Le 11 juin 1376 Henri des Loges, écuyer, fit hommage à Jehan Martel seigneur de la Poterie-Mathieu, des fiefs qu’il tenait de lui à cause de Madame sa femme, savoir : les Castelliers de Morainville, le plein fief de Guiverville et l’Espérande et la Vallée, 8… de fief paroisse de Guiverville, 1/8 de fief dit du Pont-Authou et la vavassorie de la Pilvodière à St Benoist des Ombres. (Archives de l’Eure, Terre de la Poterie-Mathieu f°83) (A. Le Prevost – St Benoist des Ombres).

3 – Archives ShL:

Carnets de Charles VASSEUR –
DOYENNE DE CORMEILLES

Election de Pont Audemer, sergenterie d’Epaigne
3 feux privilégiés, 142 feux taillables.

Sous l’invocation de St Pierre

Patronage:
XIVe : G.Martel et Jean de Mortuomari
XVIIIe : dominus loci

Curés:
Nervu 1764
Deshoulles 1767/1787.
Vicaire. — L. Allairc
Seigneurs. — C.-A. Le Bourgeois de la Siverie – L.-A. Le Bourgeois de la Siverie.

GIVERVILLE – 27




NOTES sur GIVERVILLE – 27

Giverville – Guivervilla – Guiardivilla – Givarvilla – Givervilla.

1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.

1 – Bibliographie:

Voir :
Bulletin monumental 1855 p.580
Basnage I p.30
Formeville II p.131 – 316 n°13.
François Remy de Giverville voir Maclou la Campagne

2 – Pièces Justificatives:

Insinuations

Cartulaire de Ste Trinité du Mont de Rouen – XXVIII p.442 Texte en latin
Et XXIX p.442 texte en latin.

Recherche de 1666
Jean de Giverville, seigneur du lieu, ancien noble
Jacques Liberge seigneur d’Esprande, R. au conseil
Charles et Edouard Lepainteur, seigneurs de Marchères, issus de Nicollas ennobli en 1663, restably en 1665.
Nicollas Marette, seigneur de la Garenne a renoncé à la qualité.

Les noms des paroisses et des seigneurs :
Les Chartreux de Gaillon assis

Etat des gentilshommes
Louis de Giverville, escuyer seigneur dudit lieu
Edouard le Painteur, escuyer, seigneur de Marchère
Charles Marette, escuyer, sieur de la Garenne

Jean Louis de Giverville fut assis à la taille par Montfaut en 1463

Monseigneur Guillaume de Trousseauville, chevalier, seigneur du Mesnil-Guillaume se présenta en habillement d’hommes d’armes, lance fournie, et deux archiers, le tout à six chevaux (Montres du baillage d’Evreux)

En 1066 au moment où la flotte normande appareillait pour l’Angleterre, Guillaume d’Echauffour et son fils donnèrent Giverville à l’abbaye de la Trinité du Mont Ste Catherine à Rouen. Guillaume le Conquérant confirma. Guillaume fils d’Ernault de Montreuil donna également la dîme et l’église de Giverville.
Enfin Roger de Montgommery renonça au même moment en présence du Duc Guillaume à tous les droits qu’il pouvait réclamer sur Giverville.
(Les deux chartes sont données) Confirmation du pape Adrien IV en 1156.
En 1255 Mathieu de la Poterie, écuyer, reconnaît devoir faire hommage de son fief de Giverville aux religieux de Ste Catherine.
En 1301 Mathieu de la Poterie s’oblige à acquitter le service d’un chevalier en l’ost que lesdits religieux devaient au roi pour leur fief.
En 1298 Richard et Guillaume Martel, écuyers, renoncèrent à toutes présentations sur le Patronage: de Giverville.
Il paraît qu’il y eut dans cette commune un autre fief de la Poterie. En 1456, Georges de Huet, seigneur de cette Poterie reconnut que son fief de Giverville relevait du fief des religieux.
En 1671 Jean de Giverville reconnut que par pure grâce sa femme avait été enterrée dans le chœur de l’église, mais on reconnut aussi qu’il y possédait un banc.
En 1698 l’abbaye de Ste Catherine était supprimée et réunie aux Chartreux de Gaillon, ceux-ci au XVIIIe siècle eurent le Patronage: et seigneurie de la paroisse, qu’ils vendirent vers 1770 au Sieur de Giverville (A. Leprévost).

3 – Archives ShL:

Carnets de Charles VASSEUR –
DOYENNE DE CORMEILLES

Election et sergenterie de Bernay
180 feux

Sous l’invocation de Notre-Dame

Patronage:
XIVe Abbas St Katherine Roth
XVIe …..
XVIIIe les chartreux de Gaillon

Curés:
Lefebvre 1764
L.G.Aubert 1774
J.T.Barbey 1781/1787
Jq. Boivin.
Vicaires. — Jq. Boivin – F. Ricquier –
Prêtre de la paroisse. — P. Petit

Giverville avait été donné à l’abbaye de la trinité du Mont Ste Catherine par Guillaume d’Eschauffour, et son fils, et confirmé par Roger de Montgommery en 1066. C’est pourquoi l’abbesse payait de décimes 67 livres 10 sols.

Ban 1272 Radulphus de Gubervilla

FRENEUSE SUR RISLE – 27




NOTES sur FRENEUSE SUR RISLE – 27

Freneuse –Fresnosa – Fraxinosa

1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.

1 – Bibliographie:

Voir :
Bulletin monumental 1869 p.188
Formeville II p.117

2 – Pièces Justificatives:

Insinuations

Fresneuse sur Risle sur la Risle et le ruisseau de la Salle.
En 1259 procès entre l’évêque d’Avranches et le seigneur d’Harcourt, sur le plan de l’Epée dans le fief de Freneuse. L’évêque eut gain de cause (Olim 1 p.101)
En 1317 Guillaume d’Harcourt, évêque de Lisieux, fit un accord avec Jean de la Mouche, évêque d’Avranches, touchant le Patronage: de St Victor d’Epine et St Ouen de Freneuse –Histoire de la Maison d’Harcourt IV P.1230).
Le hameau des Catelets vers Pont Autou, a des vestiges de retranchements militaires.
Freneuse relevait par foi et hommage des évêques d’Avranches à cause de leur baronnie de St Philbert. La paroisse eut aussi des seigneurs particuliers qui prenaient son nom. Leur manoir de la Motte-Freneuse n’existe plus et ils ont laissé peu de souvenirs. (Le Prevost)

Arrêt maintenant la confiscation de la terre de Freneuse (Fresnosa) que réclamait Mathieu de la Mare (de Mara) chevalier, dont la mère et le frère avaient passé en Angleterre lors de la conquête de Normandie -1260- Olim I f°21 (Inventaire des Archives Tome I p.45 ,0510 – Actes du Parlement)

Enceintes romaines au hameau des Catelets
Freneuse relevait des évêques d’Avranches à cause de leur baronnie de St Philbert. Elle eut cependant des seigneurs particuliers dont le manoir la Motte-Freneuse n’existe plus. (A.C)

3 – Archives ShL:

Carnets de Charles VASSEUR –
DOYENNE DE CORMEILLES

Election de Pont-Audemer et sergenterie de Montfort
2 feux privilégiés 142 feux taillables.

Sous l’invocation de St Ouen

Patronage:
XIVe episcopus Abrincensis
XVIe Ratione barona St Philiberti supra Rislam
XVIIIe l’évêque d’Avranches

Curés:
J.P Grenet 1764/1774
P.Moutier 1785/1787
Vicaire. P.Moutier
Prêtres de la paroisse. J.-B.-N. Gannel d’Amfréville.
Clercs. —Jh.Gilles – F. G. Gilles.

CONDE SUR RISLE – 27




NOTES sur CONDE SUR RISLE – 27

Condé sur Risle –Condetum supra Rislam

1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.

1 – Bibliographie:

Voir :
Mémoires des Antiquaires de Normandie 1864 Tome 25 p.295
Beaurepaire –Agriculture p.75
Mémoires des Antiquaires de Normandie Tome XXVIII p.120
St Jean de Lecqueraye – A Le Prevost
Ste Historique de Lisieux 79
Enceinte romaine – Bulletin Monumental 1855 p.539

2 – Pièces Justificatives:

Labbey de La Roque, Pierre Élie Marie
Recherche faite en 1540, par les élus de Lisieux des nobles de leur élection…
CONDE-SUR-RISLE.
352. Jean et Louis, dits Poisson, et un autre Jean Poisson, pour justifier la généalogie par eux baillée de leur extraction de noblesse, commençante à Guillaume Poisson, vivant en 1308, ont produit plusieurs lettres et écritures, dont la copie est demeurée au greffe. Le procureur du Roi a requis qu’ils vérifient leur descente ou qu’ils soient assis. V. 381.

Insinuations

Guillaume, évêque de Lisieux en 1220, confirme les donations faites dans son diocèse à l’abbaye du Bec (ainsi avaient fait Jean en 1134 et Jourdain en 1218)…………texte en latin…………

Le même Guillaume confirme en 1221 tous les biens et entre autres eccl. De Ponte Episcopi

2e texte en latin confirmation à l’abbaye du Bec par une bulle du pape

Jean et Louis dits Poisson et un autre Jean Poisson, descendants de Guillaume Poisson, vivant en 1308, vivaient noblement en 1540.

Maladrerie de St Antoine à Condé sur Risle, réunie à l’hôpital de Pont Audemer le 13 juillet 1696 (Lechaudé d’Anisy – Mémoires de la Ste des Antiquaires Tome XVII p.171)

L’Ortier, fief dépendant du marquisat d’Annebaut, situé que Appeville-Annebaut avec une extension sur Condé, avait une chapelle dédiée à Ste Marguerite. ( A.Carrel).

Fourmetot était le siège des fiefs nobles suivants :
le Hamel, portion du fief de Condé sur Risle, dont il démembré en 1334, après la mort du possesseur Jean de Poisson. Il donnait le titre de seigneur honoraire de la paroisse et relevait de Condé, comme arrière-fief par foi, hommage avec treizièmes et relief.
Le château est moderne (A.C)

Condé sur Risle – Camp romain sur la bruyère des Parquets ; de forme à peu près carrée, mais divisé en deux parties inégales dont la plus étendue renferme à son centre une enceinte circulaire d’environ 25 pas de diamètre. Il a environ 660 pas de tour. Les fossés ont encore dans quelques parties, au moins 12 pieds de profondeur.
Condé relevait des sires de Condé et était dans l’origine un plein fief de haubert qui fut ensuite partagé entre trois filles. Les deux premières parts restèrent fief de Condé, l’autre se nomma le fief du Buisson qui était sur St Christophe.
Jean Poisson les possédait l’un et l’autre. En 1384, les deux parts du fief de Condé furent divisées entre ses quatre filles ; le premier lot porta le nom de Condé, le deuxième de fief à la Dame, le troisième celui de Rouillard, le quatrième du Hamel ou Fourmetot. Les trois derniers tenaient par parage de celui de Condé, qui reportait tout au roi.

Par alliance avec la Dame de Condé, cette seigneurie passa dans la maison de la Brière ou Bruyère. Avant 1451 Marguerite de la Bruyère la porta en dot avec la Tillaie à Georges de Livet, seigneur de Bourneville, la Poetrie(?) etc … Richard, son fils, lui succéda et au XVIe siècle il était remplacé par la famille du Fay. Robert du Fay y réunit en 1572 le fief à la Dame auquel était incorporé le fief du Coudray, assis dans la paroisse. Cette famille les vendit l’un et l’autre en 1640 à Guy Duval de Bonneval, qui acheta aussi le fief du Buisson, avec son annexe le fief du Piedeloup, décrété sur Monsieur de Giverville. En 1654 Monsieur de Bonneval obtint des lettres patentes portant union de ces différents fiefs, érigés en 1677 en marquisat sous le titre de Marquisat de Bonneval, terre et seigneurie de Condé. En 1691 ce même seigneur acheta le fief de Rouillard qui dès lors resta uni à Condé.
Le Hamel relevé de Condé comme arrière-fief.
La terre de Condé n’avait été érigée en marquisat qu’en faveur de Monsieur de Bonneval et ses héritiers légitimes ; elle revint à son premier état en passant par vente en 1700 dans les mains de Monsieur S.Paul-Voisin. La famille Choiseul-Gouffier posséda ensuite jusqu’à la Révolution la seigneurie de ce lieu.
Il y avait encore à Condé, la Vavassorie de la Fontaine-Halbout, relevant du fief de Rouillard et le fief d’Ecouché-Gaillon appartenant à l’abbaye du Bec
Le manoir n’existe plus.
Il y avait jadis à Condé une maladrerie de St Antoine incorporée à l’hospice de Pont Audemer au XVIIIe siècle.
On voit encore des vestiges de son église.

3 – Archives ShL:

Carnets de Charles VASSEUR –
DOYENNE DE CORMEILLES

Election de Pont Audemer sergenterie de Préaux
3 feux privilégiés – 165 feux taillables

Sous l’invocation de St Martin
Trois portions :

1ère portion:
Patronage: XIVe, XVIe et XVIII e : abbas Becco

2e portion:
Patronage: XVIe et XVIIIe : abbas Becco

3e portion:
Patronage: XVIe et XVIIIe abbas Becco

Curés:
Dupuis 1764
Turpin 1769/1787
Vicaire. – L.-A. Bayvel.
Chapelle St Antoine réunie au commencement du XVIIIe siècle p l’hôpital de Pont Audemer. C’était une maladrerie.