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MESNIL-GERMAIN Le

NOTES sur MESNIL-GERMAIN Le

1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.

1 – Bibliographie:

BOISSIERE abbé, Le Mesnil-Germain au XVIIIe siècle, son église, ses curés, ses vicaires..
l’église, Lisieux, Morière, 1951.
CAUMONT Arcisse de, Statistique monumentale du Calvados, t. V, Caen, 1867, p. 697 ss.
CAUMONT Arcisse de: Statistique monumentale du Calvados, réédition FLOCH Tome III, page 697.
CORNU Joseph, Promenades à travers les communes rurales des environs de Lisieux, Lisieux, Emile Morière, 1938.
DETERVILLE Philippe, Le Mesnil-Germain. 1989, pp. 214-217. ill.
DESHAYES Daniel: L’école dentellière de Lisieux et la famille de Mély..Bull du Foyer rural du Billot. N°94, juin 2006.
Editions FLOHIC: le patrimoine des Communes du Calvados page 115
GUILMETH Auguste, Bourg de Livarot, s.l., s.d., In-8°, 72 p. (8 cahiers de 8 p. et 2 cah. de 4 p.)
MELY Fernand de, « Restes d’une fonderie de fer préhistorique, au Mesnil-Germain », BSNAF, 1908, pp. 138-140
MELY Fernand de, Traité au Château du Mesnil Germain (Calvados), qui sous le titre « Le grand Camée de Vienne et le Camayeul de Saint-Sernin de Toulouse.
NORTIER Michel, Contribution à l’étude de la population en Normandie au bas moyen âge (XIVe-XVIe siècles). Répertoire périodique de documentation normande, N° 14; Cahiers Léopold Delisle, XXXIX, 1990, pp. 1-127; n° 478.
H. Pellerin Le Mesnil Germain au XVIII ° siècle 1954.

2 – Pièces Justificatives:

Statistique Monumentale du Calvados – Arcisse de Caumont.
LE MESNIL-GERMAIN.
Le Mesnil-Germain, Ecclesia de Mesnillo Germant, de Mesnillo Germani
L’église du Mesnil-Germain s’élève d’une manière pittoresque sur le sommet d’un coteau et domine un étroit vallon qui va se perdre dans la riante vallée du Mesnil-Durand.
Cette église, que M. Pannier vient de visiter et de décrire, était primitivement romane. La nef et le chœur forment un long parallélogramme percé, au nord et au midi, de fenêtres à arc surbaissé datant du siècle dernier.
Les murs, entièrement récrépis, ne laissent plus voir l’appareil primitif. Le mur septentrional est flanqué de quatre contreforts très-plats. Au midi, il y a absence de contreforts.
Un autre contrefort, placé au chevet, se voit à l’intérieur de la sacristie. Ce chevet était autrefois percé d’une fenêtre.
Le portail occidental, construit en grand appareil, est flanqué de deux contreforts élevés au XVIe siècle. La porte, à plein-cintre, ne date que de la seconde moitié du XVIII, siècle. Le gable était autrefois percé d’une grande fenêtre ogivale de la dernière époque. Au-dessus du gable s’élève un clocher en charpente, surmonté d’une pyramide octogone en ardoise percée à sa base de quatre fenêtres.
Le choeur est orné d’un bel autel, dans le style Louis XV, avec un grand l’étable décoré de pilastres rudentés à chapiteaux composites, Le tabernacle mérite aussi de fixer l’attention, ainsi que le tableau qui orne le rétable.
A l’extrémité de la nef sont placés deux petits autels assez jolis, dont le rétable seulement date du règne de Louis XIV.
L’un de ces autels, consacré à la Sainte-Vierge, est décoré de belles colonnes torses offrant, dans leur partie inférieure et supérieure, des grappes de raisin attaquées par des oiseaux et des limaçons, et dans la partie moyenne une couronne ducale formée de fleurs de lis et de fleurons. L’entablement est composé d’un double cintre. Le cintre inférieur est coupé et décoré d’urnes. Une croix surmonte le cintre principal.
On a conservé trois anciens canons, dans le style Louis XV, avec encadrement couvert de velours rouge et d’ornements en cuivre autrefois argenté.
La voûte du choeur est en merrain, celle de la nef, également en lambris avec entraits et poinçons, a été badigeonnée.
Au fond du vallon se dresse un ancien colombier en bois, de forme octogone, avec tuiles entre les colombages formant des dessins variés. Ce colombier est surmonté d’un double toit. Le toit supérieur, percé de quatre grandes lucarnes et couronné d’un épi, fait saillie sur le toit inférieur de manière à former une espèce d’évent qui laisse pénétrer l’air et la lumière à l’intérieur.
A peu de distance du colombier s’élève une maison moderne en brique, formant équerre, qui probablement remplace un ancien manoir féodal. Derrière cette habitation s’étend un vaste jardin potager, à l’extrémité duquel se trouve un superbe étang. L’eau qui s’échappe de cet étang forme plusieurs cascadelles.
Le coteau marneux qui s’élève au nord est entièrement planté de sapins, et fait une délicieuse décoration au paysage. Sur ce coteau on a tracé de nombreuses allées et ménagé de belles échappées de vue. Cette charmante propriété appartient à M. de Meslv.

CHAPELLE NOIREMARE.- La chapelle Noiremare s’élève à un kilomètre environ de la route impériale de Honfleur à Alençon, sur le bord du chemin de grande communication de Moult à Fervaques.
Cette chapelle, qui était dédiée à saint Laurent, a été bâtie dans la seconde moitié du XVI, siècle. Elle a 36 pieds de long sur 15 de large. Ses murs, construits en grand appareil et en cailloutis, sont flanqués de contreforts saillants et terminés par une corniche en doucine. On voit du côté du nord une fenêtre à plein-cintre, du XVI, siècle, laquelle a été bouchée. Les fenêtres qui s’ouvrent au midi sont sans caractère, ainsi que la porte principale qui fait face au couchant.
Le chevet, soutenu par trois petits contreforts, est droit.
L’ameublement de la chapelle a entièrement disparu. Une petite statue de saint Laurent a été transportée dans le chœur de l’église du Mesnil-Germain.
Il y avait, avant la Révolution, un chapelain dont on voit encore l’habitation.
Un marché se tenait autrefois, tous les dimanches, sur la grande place du village.
L’assemblée avait lieu le 10 août. Cette commune a fait autrefois partie de l’élection de
Lisieux et de la vicomté d’Orbec. La cure était divisée en deux portions dont les titulaires remplissaient l’un et l’autre les fonctions pastorales. Le droit de présentation à l’une de ces portions dépendait de l’abbaye du Bec, tandis que le patronage de l’autre appartenait au seigneur qui était, au XIVe siècle, un sieur de Grandval, et à une autre époque, Jean de Courcy, suivant les pouillés du diocèse de Lisieux.
La seigneurie du Mesnil-Germain s’est trouvée partagée entre plusieurs fiefs dès une époque assez reculée. En 1669, dit M. de Neuville, Jean Dumaine était qualifié seigneur du Mesnil-Germain, paroisse où les héritiers de Guillaume de Grandval possédaient un autre fief. Au XVIe siècle, le titre de seigneur de Mesnil-Germain était porté par les membres de la famille Gosselin anoblie en 1519, dans la personne de Robert Gosselin et de Jean, écuyer de la fourriérie du roi. Le même titre était aussi donné au possesseur du fief de Grandval: ce fief mouvant de la seigneurie de Fervaques était, aux XVe et XVI- siècles, la propriété de la famille du Rouil: Florence du Rouil, héritière de la branche aînée de cette maison, le porta dans celle de Quesnel de Coupigny. En 1616, Gabriel Quesnel de Coupigny, marquis d’Allègre, vendit le fief de Mesnil -Germain autrement dit Grandval, pour la somme de 4,800 livres à Guillaume Anfrey, déjà seigneur en partie de Mesnil-Germain. Le premier fief possédé en cette paroisse par la famille Anfrey se nommait le fief de Tanney: il appartenait, en 1669, à Robin Le Mectoier, et, en 1523, à Pierre Anfrey, frère du sieur de Caudemonne, dont les descendants ayant réuni deux des portions de la seigneurie de Mesnil-Germain en portèrent depuis le nom. Jacques Anfrey sieur de Mesnil-Germain, y fit preuve de noblesse, en 1666.
Cette famille s’éteignit peu après dans la personne de Françoise Anfrey, mariée à René de Bonnechose et mère de Jacques-Charles-Henri-Guy de Bonnechose, seigneur du Mesnil-Durand, dont il eut plusieurs fils, morts sans postérité, et une fille, Agnès-Charlotte-Françoise de Bonnechose Mesnil-Germain, mariée à Guillaume-Louis-Félix de
Bonnechose, sieur de Malouy.
Le manoir de Mesnil-Germain, construction du XVIIIe siècle dépourvue de caractère et d’intérêt, est aujourd’hui la propriété de M. Demély.
La famille de Bonnechose a possédé aussi dans la paroisse de Mesnil-Germain, le manoir de Hamars. Gabriel de Bonnechose, sieur de Hamars, vivait sous le règne de Louis XIII. Dans la recherche de 1666, François de Bonnechose fil preuve d’ancienne noblesse à Mesnil-Germain, de même que Gilles Corday, sieur du lieu.

Inventaire historique des actes transcrits aux insinuations ecclésiastiques de l’ancien Diocèse de Lisieux – PIEL L.F.D.

12. – Le 15 janv. 1694, Me Pierre Patin, pbrë, curé de la 1re portion du Mesnil-Germain, obtient en cour de Rome des lettres de provision, dites de per obitum, du prieuré-cure de Saint-Pierre-des-Ifs.

370. -Le 22 juillet 1694, Me Pierre Patin, pbre, curé de la 1 re portion du Mesnil-Germain, et à présent chanoine régulier de St-Augustin, demeurant au prieuré de Ste Barbe, donne sa procuration pour résigner lad. cure entre les mains de N.-S.-P. le pape en faveur de Me Michel Morin, pbfê, curé des Authieux-Soubz-Regnouard.
Le 17 mai 1695, led. sr Morin, ayant obtenu en cour de Rome des provisions de lad. cure du Mesnil-Germain, donne sa procuration pour la résigner en faveur de Me Henry Fergant, pbrë; vicaire de lad. parr.
Le 17 juin 1695, led. sr Fergant obtient en cour de Rome des lettres de provision de ce bénéfice.
Le 22 août 1695, Mre François de Carbonnel de Canisy, vic. gl, donne son visa auxd. lettres de provision.
Le 4 sept. 1695, le sr Fergant prend possession de la cure de St-Jean-Baptiste du Mesnil-Germain, 1 re portion, en présence de Me Jacques Lepetit, curé de la 2e portion, et autres témoins.

224. – Le 5 mai 1696, la nomination à la chapelle de St Laurent de Noiremare, sise en la parr, du Mesnil-Germain, appartenant au seigr évêque de Lx, Me Philippe Desperroys, sous-diacre, titulaire de lad, chapelle-la résigne purement et simplement entre les mains dud. Seigr.
Le 9 mai 1696, Sa Grandeur nomme aud. bénéfice la personne de Me Caesar Clérice, pbrë de ce diocèse.
Le 5 juin 1696, led. sr Clérice prend possession de la chapelle simple de Noiremare, en présence de Mre Louis Osmont, Escr, sr de Malicorne; Pierre Pollin, sr de Noiremare, et autres témoins.

372. – Le 20 nov. 1696, vu l’attestation du sr Fergant, pbfë, curé du Mesnil-Germain, et du sr Maheult, pbfë, curé de Barneville-en-Auge (Basseneville), dispense de bans pour le mariage entre Olivier de Bonnechose, sr de Beauroger, fils de François de Bonnechose, Escr, et de damlle Jeanne Bubois, de lad. parr., du Mesnil-Germain, d’une part, et damlle Angélique Le Mancel, fille de feu Rolland Le Mancel, Escr, sr de Besville, et de damlle Angélique Le Loutrel, de lad. parr de Barneville.

430. – Le 18 févr. 1697, vu l’attestation du sr Buisson, vicaire de Livarot, et du sr Lepetit, curé de la 2e portion du Mesnil-Germain, dispense de bans pour le mariage entre Gaspard Levillain, fils de Pierre, de lad. parr, de Livarot, d’une part, et damlle Léonore de Picquot, fille de feu Pierre de Picquot, Escr, sr du lieu, demeurant au Mesnil-Germain.

295. – Le 23 août 1704, vu l’attestation du sr Lepetit, curé du Mesnil-Germain, et du sr Bellière, vicaire de St-Ouen-le-Hoult, dispense de bans pour le mariage entre César de Marguerie, Esc, sr de Sorteval, fils de François, Esc, sr du Bourg, et de noble dame Claude Anfray, de lad. parr, du Mesnil-Germain, d’une part, et damlle Marie-Françoise
Le Normand, fille de Gabriel Le Normand, Esc, sr du Buschet, conser et procureur du roi au siège du bailliage et vicomte d’Orbec, et de noble dame Marie du Pommeret, de lad. parr, de St-Ouen.

Le Mesnil-Germain – St-Jean-Baptiste.
Curés de la 1° portion. – P. Patin – M. Morin – H. Fergant.
Curés delà 2° portion. – J. Lepetit.
Vicaire. – H. Fergant.
Seigneurs et notables. – F. de Bonnechose.- O. de Bonnechose de Beauvoges – P. de Piquot – P. Pollin – F. de Marguerie du Bourg.- C. de Marguerie de Forteval – J.-B. Lepetit.
Chapelle Saint Laurent de Noiremare. – Chapelains. – P. Desperroye – C. Clérice.
Patron. – L’évêque. De Lisieux.

190. – Le 7 février 1710, la nomination à la 2e portion de la cure du Mesnil-Germain appartenant au seigr du lieu, Messire René de Bonnechose, Esc, sr de la Boullaye, nomme aud. bénéfice, vacant par la mort de Me Jacques Lepetit, pbre, dernier titulaire, la personne de Mes. François de Vaumesle, pbrë, curé du Pontallery.
Le 8 février 1710, le seig. évêque donne aud. sr de Vaumesle la collation de ce bénéfice.
Le 18 février 1710, le sr de Vaumesle prend possession de la cure du Mesnil-Germain, 2e portion, en présence de Me Henry Fergant, pbrë, curé de la 1e portion; Jean Petit, syndic de lad. parr., et Jean Fergant, marchand, aussi dud. lieu.

465. – Le 18 déc. 1710: « Je soubzné François de Vaumesle, pbrë, curé du Mesnil-Germain, remets le bénéfice-cure de la parr. de Pontallery, entre les mains de noble dame Françoise-Elisabeth d’Oraison, patrone présentatrice dud. bénéfice et consens qu’elle en dispose comme elle advisera bien, et y presenter telle personne qu’il lui plaira. » – Signé
«Vaumesle.»

495. – Le 6 avril 1711, Me Jacques-Robert Tabar, pbfë, chapelain titulaire delà chapelle de St-François de Fresné-le-Samson, diocèse de Séez, y demeurant, pourvu de la cure de St-Vigor de Pontallery, prend possession dud. bénéfice, en présence de Me François de Vaumesle, pbfë, curé du Mesnil-Germain; Me Jacques de Mannoury, pbfë, curé de Livarot; Augustin Duquesney, conser du roy, lieutenant de longue robe en la Prévôté générale de Normandie; Me Jean Gautier, sous-diacre, et autres témoins.

380.- Le 20 sept. 1715, reçurent la tonsure et les ordres mineurs:
Me Claude de Corday, de la parr, du Mesnil-Germain;

53. – Le 10 sept. 1710, dispense de bans pour le mariage entre Pierre Ricquier, fils de Philippe et de Marie Campion, de la parr, de St-Germain de Lx, d’une part, et damlle Elisabeth Agis, fille de feu Louis Agis, Escr, seigr de Mélicour et de St-Denis-des-Augerons, et de Renée de Bonnechose, de la parr, du Mesnil-Germain.

224. – Le 21 avril 1717, dispense de bans pour le mariage entre Mre Jacques-Charles-Henry-Guy de Bonnechose, chevr, seigr du Mesnil-Germain, la Boullaye et autres lieux, fils de feu René de Bonnechose, aussi chevr, seigr du Mesnil-Germain, et de feue noble dame Marie-Françoise d’Aufray, de la parr. du Mesnil-Germain, d’une part, et damlle Charlotte Graindorge, fille de feu Mre François Graindorge, chevr, seigr du Theil, et de feue noble dame Charlotte Pollin, dame et patronne du Mesnil-Durand, de lad. parr. du Mesnil-Durand.

481. – Le 9 mai 1721, dispense de bans pour le mariage entre Philippe-Jacques d’Auffrey, Escr, fille de feu Jacques d’Auffrey, Escr, et de dame Elisabeth de Mailloc, de la parr, du Mesnil-Germain, d’une part, et damlle Marguerite des Barres, de la parr, de Chouain, diocèse de Bayeux.

545. – Le 23 sept. 1721, Me Henry Fergant, pbrê, curé de la 1 re portion du Mesnil-Germain, âgé de 74 ans et se trouvant infirme, donne sa procuration pour résigner sond. bénéfice entre les mains de N.-S.-P. le Pape en faveur de Me Pierre Costard, pbrê et vicaire de N.-D. de Montviette, il se réserve toutefois 180 livres de pension. Fait en présence de Me François de Vaumesle, pbrê, curé de la 2e portion de lad. cure de Mesnil-Germain, et autres témoins.

595. – Le 15 oc. 1722, Me Pierre Costard, pbfë, obtient en cour de Rome des lettres de provision de la 1° portion de la cure du Mesnil-Germain, vacante par la résignation faite en sa faveur par Me Henry Fergant, pbre, dernier titulaire.
Le 9 janv. 1722, le seigr évêque donne aud. sr Costard la collation dud. bénéfice.
Le 18 janv. 1722, le sr Costard prend possession delà cure du Mesnil-Germain, 1° portion, en présence dud. sr Fergant, dernier titulaire; Me François de Vaumesle, curé de la 2e portion; Me Nicolas Brunet, pbr curé de Montviette; Mre Philippe-Jacques d’Anffrey, Escr; Mre Jacques-Réné d’Anffray, Escr; Louis-David Mahiet, officier chez le roy; Me Pierre Dufresne, acolyte de Ste Marguerite-des-Loges, et autres.

216. – Le 10 avril 1723, dispense de bans pour le mariage entre Louis de Saffrey, bourgeois de Caen, avocat à la Cour, fils de Me Louis de Saffrey, avocat à la cour et de noble dame Louise de Cabbaze, demeurant à St-Aubin-de-Scellon, d’une part, et damlle Marie Lemonnier fille de feu David, sr de la Bassivière (?) officier chez le roy, et damlle
Anne-Thérèse de Montargis, de lad. parr, de Mesnil-Germain.

Le Mesnil-Germain – St-Jean-Baptiste.
Curés de la 1e portion. – H. Fergant – P. Costard.
Curés de la 2e portion. – J. Lepetit – F. Vaumesle.
Clerc. – C. de Corday.
Patron de la 2e portion. – Le seigneur du lieu. – R. de Bonnechose.
Seigneurs et notables. – L. Agis de Mélicourt – R d’Anfrey – P.-J. d’Anfrey – Jq-.de Bonnechose – J. Fergant – D. Lemonnier – J. Petit.

97. – Le 24 avril 1726, dispense de bans pour le mariage entre Louis-David Mahiet, Escr, sr de Martigny, officier chez le roy, fils de feu David Mahiet, Esc, sr du Mesnil, aussi officier chez le roy, et de feu noble dame Catherine de Corday, de la parr, du Mesnil-Germain, d’une part, et noble damlle Françoise-Marie-Barbe Morin, fille de François Morin, Escr, sr de la Poterie-Vaugroult, et de feu noble dame Jeanne Lechevallier, de la parr, de Mondeville.

230. – Le 20 oct. 1726, la nomination à la chapelle de St-Laurent de Noiremare, en la parr. du Mesnil-Germain, appartenant au seigr évêque, Sa Grandeur nomme à ce bénéfice, vacant par la mort de Me Charles Leclerc, pbfë, dernier titulaire, la personne de Me Pierre-François Dufresne, pbfë de ce diocèse. Le 23 oct. 1726, led. sr Dufresne prend possession de lad. chapelle, en présence de Me Henry Fergant, pbfë, ci-devant curé du Mesnil-Germain, Mre Philippe-Jacques d’Anfray, Escr, dud. lieu.

357. – Le 21 janv. 1727, vu l’attestation du sr Dufresne, pbrë, vicaire du Mesnil-Germain, dispense de bans pour le mariage entre Louis-David Mahiet, Escr, sr de Martigny, officier chez le roy, fils de feu David Mahiet, Esr, sr du Mesnil, et de feu noble dame Catherine de Corday, de la parr, du Mesnil-Germain, d’une part, et noble damlle Françoise-Barbe Morin, fille de feu François Morin, Escr, sr de Vaugroult, et de feu noble dame Jeanne Lechevalier, de la parr. de Mondeville, diocèse de Bayeux.

523. – Le 3 mai 1728, vu l’attestation du sr Lautour, pbre, desservant la 1 re portion de la cure du Mesnil-Germain, dispense de bans pour le mariage entre Pierre Desnos et Françoise Sonnet.

538. – Le 17 juillet 1728, Me François Legrand, pbrë, vicaire de Livarot, Me ès-arts en l’Université de Caen, requiert, en sa qualité de gradué, des abbé et religieux du Bec-Hellouin, sa nomination à la cure du Mesnil-Germain, 1° portion, vacante par la mort de Me Pierre Costard, dernier titulaire, décédé le 26 janvier dernier. Dom Pierre Delauney, pbrë, religx de lad. abbaye, répond que ce n’est pas aux religieux du Bec qu’appartient la nomination aud. bénéfice, mais à Mr l’abbé. Cette réponse étant prise pour refus, led. sr Legrand proteste se pourvoir devant qui de droit.
Le 21 juillet 1728, par suite de la précédente réquisition, le seigr évêque donne aud. sr Legrand la collation de la cure du Mesnil-Germain.
Le 27 juillet 1728, en conséquence de la nomination faite par le seigr abbé du Bec, le seigr évêque de Lx donne à Me Jacques Roussel, pbrë de ce diocèse, la collation de la cure de S4 Jean du Mesnil-Germain, 1° portion, vacante par la mort de Me Pierre Costard, dernier titulaire.
Le 31 juillet 1728, led. sr Roussel, Me ès-arts, demeurant à Heurtevent, prend possession de lad. cure du Mesnil-Germain, en présence de M François Vaumesle, curé de la 2e portion; François-Charles Galais, pbfë, vicaire de Heugon; Claude-Philippe Carré, Escr, sr des Bois, de la parr, de Heurtevent, et Charles Labbey, Esc, seigr de la Mauvinière (?), de la parr. de Louvières, diocèse de Séez.

865. – Le 9 mars 1730, Me César-François Gosselin, acolyte du Mesnil-Germain, fils et héritier de feu François et d’Anne Lemarquand, demeurant en lad. parr, du Mesnil-Germain, constitues-en sa faveur une rente de 150 livres, afin de parvenir aux ordres sacrés. Cette rente hypothéquée sur une ferme, nommée la Terre de la Mare, et appartenant, moitié aud. sr acolyte, moitié au sr Guillaume Gosselin, son frère, est encore garantie par Louis Dubosc, Escr, conseiller, notaire-secrétaire du roy et du Parlement de Rouen, et autres cautions. Fait à Livarot, en présence de Jean Duval et de Jean Pigis, bourgeois dud. lieu.

906. – Le 26 juin 1730, la nomination à la 2e portion de St-Jean-Baptiste du Mesnil-Germain appartenant au seigr du lieu, Mesre Jacques-Charles-Henry-Guy de Bonnechose, chevr, seigr et patron du Mesnil-Germain, Grandval, Martigny, Cardonnet et autres lieux, nomme à lad. 2e portion, vacante par la mort de Me François de Vaumesle, dernier
titulaire, la personne de Mesre Adrien de Corday, pbrë du diocèse de Bayeux. Fait à Fervaques, en présence de M9 Pierre Férey, bachelier de Sorbonne, curé dud. Fervaques, et autres témoins.
Le 14 juillet 1730, le seigr évêque donne aud. sr de Corday la collation dud. bénéfice.
Le 16 juillet 1730, le sr de Corday prend possession de la 2e portion de la cure du Mesnil-Germain, en présence de Me Jacques Roussel, pbfë, curé de la 1 re portion; Me Antoine Lautour, pbfë, desservant lad. parr.; Me César Gosselin, sous-diacre, demeurant aud. lieu, et autres témoins.

919. – Le 5 sept. 1730, dispense de bans pour le mariage entre Alexis de Vaumesle, sr de la Gosselinaie, fils de feu Gilles-Raoul de Vaumesle, sr des Parcs, et de dlle Catherine Pollin, de la parr, du Mesnil-Germain, d’une part, et damlle Jeanne Gravelle, fille de feu Robert Gravelle, Escr, sr de Grandmont, officier chez le roy, et de damlle Marie Douézy, de la parr, de Crouttes et demeurant en celle de Vimoutiers.

942. – Le 26 fév. 1728, Pierre Blondel, demeurant en la parr, des Loges, constitue 150 livres de rente en faveur de Me Pierre Dufresne, acolyte de lad. parr., afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Me Pierre Dufresne, pbrë du Mesnil-Germain.

496. – Le 27 fév. 1738, Me Nicolas Patin, pbrê, pourvu delà cure du Mesnil-Germain, 1re portion, demeurant à Ste Marguerite-des-Loges, constitue 150 livres de rente en faveur de Me Claude Patin, acolyte, son frère, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est garantie par Augustin Du Quesney, capitaine invalide, seigr du Quesney, demeurant à Pontallery.

553. – Le 12 févr. 1738, Me Jacques Roussel pbfë, curé de la 1 re portion de Mesnil-Germain, et pourvu de la cure de Bretteville-sur-Dive, au diocèse de Séez, donne sa procuration pour résigner sad. Cure de Mesnil-Germain entre les mains de N. -S. -P. le pape en faveur de Me Nicolas Patin, pbrë du diocèse de Lx. Fait et passé à Lx..
Le sr Roussel avait desservi cette paroisse pendant dix ans.
Le 4 mars 1738, led. sr Patin obtient en cour de Rome des lettres de
provision dud. bénéfice.
Le 9 août 1738, le seig1 évêque donne son visa auxd. lettres de provision.
Le 25 août 1738, le sr Patin prend possession de la 1re portion de Mesnil-Germain, en présence de Mre Jacques-Charles-Henry de Bonnechose, chevr, seig r et patron de lad. parr.; Louis Moullin, conser du roy, trésorier général de France au bureau des Finances, à Caen; Me Jean Thomas, pbfe, curé de Ste Marguerite-des Loges; Mre Adrien de Corday, pbrë, curé de la 2e portion du. Mesnil-Germain, et autres témoins.

470. – Le 8 févr. 1743, Me Pierre-François Dufresne, pbrë, titulaire de la chapelle de St-Laurent de Noiremare, sise en la parr. Du Mesnil-Germain, demeurant en la parr. d’Ecajeul, remet purement et simplement sond. bénéfice entre les mains du seigr évêque qui en est le collateur ordinaire. Fait et passé à Lx.
Le 1 er mai 1742, led. seigr évêque nomme a cette chapelle, ainsi vacante, la personne de Me René Lehoult, pbrë de ce diocèse.

357. – Le 28 mars 1746, le seigr évêque donne une attestation de bonne vie, moeurs et doctrine à Me Adrien de Cordey, pbrë, curé de la 2e portion du Mesnil-Germain.

330. – Le 28 mars 1748, Me Nicolas Patin, pbrë, cure de la 1 re portion de St-Jean-Baptiste du Mesnil-Germain de ce diocèse et pourvu de la cure d’Ouézy, diocèse de Séez, donne sa procuration pour résigner lad. cure du Mesnil-Germain entre les mains de N.-S.-P. le pape en faveur de Mesre Adrien de Cordey, pbrë, curé de la 2e portion dud. lieu de Mesnil-Germain. Led. sr de Cordey intervient pour accepter la résignation faite en sa faveur, et le sr Patin se joint à lui pour supplier Sa Sainteté « de vouloir bien accorder un bref de compatibilité desd. deux portions dud. bénéfice-cure en faveur dud. sr de Cordey, résignataire, pour par luy jouir desd. deux portions.
Le 20 avril 1746, led. sr de Cordey obtient en cour de Rome des lettres de provision de la lre portion de lad. cure. Ces lettres l’autorisent à jouir à la fois des deux portions, à la condition d’avoir un vicaire pour l’aider à remplir les fonctions de son ministère.
Le 10 août 1746, le seigr évêque donne son visa auxd. lettres de provision.
Le 16 août 1746, le sr de Cordey prend possession de la 1 re portion de la cure du Mesnil-Germain avec toutes les cérémonies accoutumées, en présence de Messire Jacques-Charles-Henry-Guy de Bonnechose, chevr, seigr et patron du Mesnil-Germain et autres lieux, demeurant en son manoir seigneurial du Mesnil-Germain; Mesre François-Thomas
de Graindorge, chevr, seigr et patron du Mesnil-Durand et autres lieux, demeurant en son manoir seigneurial du Mesnil-Durand; Charles de Graindorge, chevr, seigr de la Nollard, demeurant aussi au Mesnil-Durand; Me Jean-Louis Lecoq, pbrë, curé de Ste Marguerite-des-Loges; led. Me Nicolas Patin, curé d’Ouézy, demeurant présentement au Mesnil-Germain; Me Henry des Parcs Fergant, avocat en parlement de Paris, postulant au bailliage présidial de Caen, y demeurant, parr. St-Pierre; Me François Daufresne, ancien notaire apostolique, demeurant à Lx, parr. St-Jacques, et autres témoins.

55. – Le 22 juillet 1748, dispense de bans pour le mariage entre noble homme Jérosme-François de Souvigny, Escr, sr de Courgeron, fils de feu noble homme Charles de Souvigny, Escr, sr de Courgeron, et de noble dame Marie-Marguerite du Buisson, de la parr, de Courgeron, diocèse de Séez, d’une part, et damlle Anne-Françoise Rioult, fille de feu Jean-Louis Rioult, ancien capitaine d’infanterie, et d’Anne de Montreuil, de la parr, du Mesnil-Germain.

Le Mesnil-Germain – St-Jean-Baptiste.
Curés de la 1 re portion – P. Costard – F. Legrand -. Fergant – J. Roussel – N. Patin.
Curés de la 2e portion. – F. Vaumesle.- A. de Corday.
Vicaire. – Dufresne.
Prêtres de la paroisse. – A. Lautour D.- P. Dufresne.
Clerc. – G. -F. Gosselin.
Patron de la l ro portion. – l’abbé du Bec.
Patron de la 2e portion. – Le seigneur du lieu. – J. C.-II.-G. de Bonnechose.
Seigneurs et notables. – J.-C.-II.-G. de Bonnechose – P.-J. d’Anfray — D. Mahiet du Mesnil. – L.-D. Mahiet de Martigny -J.-L.Rioult -A. de Vaumesle.- G.R.de Vaumesle.
Chapelle Saint-Laurent de Noiremare. – Chapelains. – C..Leclerc – P. -F. Dufresne – R, Lehoult – Patron. – L’évêque de Lx.

313. – Le 18 janv. 1752, dispense de bans pour le mariage entre Simon-Nicolas Ribot de Mont-Rôty, bourgeois de Paris, fils de Simon et d’Angélique-Suzanne Salmon, ayant demeuré en la parr, du Mesnil-Germain pendant huit mois, et demeurant présentement en la parr, de St-Désir de Lx depuis cinq mois, d’une part, et Suzanne Paisant, fille de Jean-Baptiste, originaire de la parr, de St-Germain de Lx, et demeurant aussi en celle de St-Désir.

293. – Le 15 mai 1752, dispense de bans pour le mariage entre Mre Guillaume-Louis-Félix de Bonnechose, chevr, seigr et patron de S’- Pierre de Mallouy et de la Boulaye, fils majeur de feu Mre Louis de Bonnechose, Escr, sr de la Boulaye, et de noble dame Marie-Anne de Fautereau, demeurant en la parr, de St-Germain de Lx, d’une part, et damlle Agnès-Charlotte-Françoise de Bonnechose, fille de Mesre Jacques-Charles-Henry-Guy de Bonnechose, chevr, seig r et patron des fiefs et terres du Mesnil-Germain, Ferrières, Thenney, Grandval, Cardonnet et autres lieux, et de feue noble dame Charlotte de Graindorge du Theil, de la parr, du Mesnil-Germain.

313. – Le 9 juillet 1753, la nomination à la chapelle de St-Laurent de Noiremare, en la parr, du Mesnil-Germain, appartenant au seigr évêque de Lx, Sa Grandeur nomme aud. bénéfice, vacant par la désertion de Me René Le Honlt, pbrë, dernier titulaire, la personne de Me Guillaume Le Prêtre, pbre de ce diocèse.
Le 2 janv. 1754, le sr Le Prêtre prend possession de lad. chapelle, en présence de Jacques Le Mercier, huissier pour les tailles, demeurant à Lx, parr. St-Jacques; Louis et François Pollin, pensionnaires de Sa Majesté, demeurant à Livet-le-Baudoin, et autres témoins.

374. – Le 19 nov. 1754, dispense de bans pour le mariage entre Louis-Jean-Charles Morin, Escr, sr des Champeaux, commensal de la maison du roy, fils de Jean-Baptiste Morin, sr des Champeaux, ci-devant lieutenant de cavalerie dans le régiment de Moutis, et de feue dlle Marie-Magdeleine Dubois des Estres, de la parr. du Mesnil-Germain, d’une part, et dlle Catherine-Françoise Langlois de Longuemare, fille du feu sr Langlois de Longuemare, lieutenant de cavalerie au régiment de Lénoncourt, et de dame Marie Maignet, originaire de la parr. du Douet-Artus et demeurant au Sap depuis un an.

177. – Le 14 févr. 1756, dispense de bans pour le mariage entre Jean-Baptiste Petit, sr de la Villette, fils de feu Noël et de Marie Bordeaux, de la parr. du Mesnil-Germain, d’une part, et damlle Marie-Anne-Aimée Charavel, fille de Me Robert Charavel, bailly vicomtal et juge-gruyer « de la duché de Broglie », et de damlle Françoise-Louise de Nollet Malvoue, de la parr. d’Orbec. – Il y avait eu d’abord opposition à ce mariage par la mère du futur.

126. – Le 14 juill. 1759, vu l’attestation du sr Bodeau, curé de Fervaques, et du sr Caboulet, vicaire du Mesnil-Germain, dispense de bans pour le mariage entre Jacques-Réné-Charles d’Anfray, Escr, sr d’Anfreville, fils majeur de feu Jacques-Réné et de dame Marie-Catherine Vaumeile, de la parr, du Mesnil-Germain, d’une part, et damlle Marie-Françoise Pottier, fille majeure de feu Michel Pottier et de Marguerite Desperiers, de la parr. de Fervaques.

311. – Le 7 avril 1768, Mesre Adrien de Corday, pbrë, curé des deux portions de la cure de St-Jean-Baptiste du Mesnil-Germain, donne sa procuration pour résigner lesd. deux portions entre les mains de N.-S.-P. le pape en faveur de Me Jean -Baptiste-Jacques Badouet, pbfe de ce diocèse et vicaire de lad. parr, depuis six ans. Il se réserve toutefois une rente viagère de 700 livres à prendre sur les revenus desd. portions qu’il a desservies, la 1° depuis 20 ans et la 2e depuis 38 ans.
Fait et passé au Mesnil-Germain, au manoir seigneurial de Mesre Jacques-Henry-Guy de Bonnechose, chevr, seigr et patron honoraire de la 1° portion, et seigr et patron présentateur de la 2e et grande portion, lequel donne son consentement à lad. résignation.

37. – Le 11 nov. 1756, Jean-Baptiste-Jacques Badouet, fils de Jacques et de Marie-Charlotte Roberge, de la parr, de St-Pierre-des-Ifs, tonsuré trois jours auparavant, reçoit les ordres mineurs.
Le 25 avril 1768, led. sr Badouet, pbrë, obtient en cour de Rome des lettres de provision des deux portions de la cure du Mesnil-Germain, vacantes par la résignation faite en sa faveur par Mesre Adrien de Corday, pbrë, dernier titulaire.
Le 5 juill. 1768, le seigr évêque donne son visa auxd. lettres de provision.
Le 19 juill. 1768, le sr Badouet prend possession des deux portions de la cure du Mesnil-Germain, en présence de Me Louis Levillain, curé de Lessard; Me Philippe Fleuriot, pbrë, demeurant en la parr, des Monceaux; Me François Hue, curé du Mesnil-Simon; Mesre François de Bonnechose, chevr, sr des Essarts, demeurant au Mesnil-Germain; Me Antoine-Charles Le Bret, avocat, demeurant à Lx, parr. St-Germain, et- autres témoins.

Le Mesnil-Germain – St-Jean-Baptiste.
Curé unique. – A. de Corday – J.-B.-Jq Badouel.
Vicaires. – Jn Caboulet – J.-B.-Ji Badouel.
Prêtre de la paroisse. – G. Leprestre.
Patron de la 2° portion. – J.-II.-G. de Bonnechose; il consent à la réunion des deux.
Seigneurs et notables.- Jq-H. d’Anfray -Jq-R.-O. d’Anfray – Jq-C.-lH -G. dj Bonnechose — F. de Bonnechose des Ëssarts -J.-B. Morin – L.-J.-C. Morin -J.-B, Petit.
Chapelle Saint-Laurent de Noiremare. – Chapelains. – R Lehoult, – G. Leprestre -Patron. -L’évêque de Lx.

216. – Le 5 févr. 1771, dlle Antoinette Thorel, fille majeure, demeurant à Lx, parr. S’-Jacques, constitue 150 livres de rente en faveur de Me Thomas Beuzelin, acolyte de lad. parr., afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Cette rente est hypothéquée sur une terre, nommée Le Désert, sise au Mesnil-Germain, et appartenant à lad. demlle. Fait et passé à Lx, en l’étude de Me Jacques-Louis Daufresne, notaire royal.

42. – Le 25 févr. 1783, dispense de bans pour le mariage entre Me Pierre-Charles Milcent de la Beuvinière, ancien procureur au bailliage d’Orbec, veuf de Charlotte Landry, et fils de Charles et de dame Françoise Le Normand, de la parr. d’Orbec, d’une part, et demlle Jeanne Graville, originaire de la parr. du Mesnil-Germain et demeurant en celle d’Orbec.

330. – Le 23 mars 1784, Me Jean-Baptiste-Jacques Badouel, pbrë, curé des deux portions de la cure de St-Jean-Baptiste du Mesnil-Germain, étant malade d’une attaque d’hydropisie, donne sa procuration pour résigner entre les mains de N.-S.-P. le pape en faveur de de Me Ursin -Jacques Bardel, pbrë de ce diocèse et son vicaire depuis dix-huit mois, à savoir: la 1° portion de lad. cure et aussi la 2e portion dont il est titulaire depuis seize ans en vertu d’une dispense d’incompatibilité obtenue en cour de Rome. Fait et passé au manoir presbytéral du Mesnil-Germain, en présence de Me Jacques Dufresne, pbrë, curé du Mesnil-Durand, et de Me Pierre- Charles Mariolles, pbrë, curé de Lessard.
Le 12 avril 1784, led. sr Bardel obtient en cour de Rome des lettres de provision des deux portions de lad. cure réunies en un seul et même bénéfice.
Le 12 juillet 1784, M. Rambaud donne son visa auxd. lettres de provision.
Le 15 juillet 1784, le sr Bardel prend possession de la cure du Mesnil-Germain, en présence de Me Pierre-Gabriel Bénard, pbre, pourvu de la cure de Ste Marguerite-des-Loges, y demeurant; du sr Jean-Baptiste Foucques des Jonquets, vivant noblement, demeurant à Lx, parr. St-Jacques, et autres témoins.
Me U.-J. Bardel, originaire de St-Julien-le-Faucon. prêta le serment schismatique le
30 janv. 1791, et resta cure constitutionnel du Mesnil-Germain avec, son confrère de la 2° portion rétablie. En l’an II, ils avaient cessé les fonctions ecclésiastiques et continuaient de résider dans la paroisse. M Bardel rétracta ses serments avant la lin de la Révolution et fut dénoncé, en janv. 1802, pour célébrer la messe et chanter les vêpres au manoir du Mesnil-Germain; mais le Concordat le tira d’affaires. Après avoir été successivement curé
dans plusieurs paroisses, il fut nommé, en 1814,à Sainte-Marguerite-des-Loges. Il y mourut en 1823, à l’âge de 72 ans. (Archives du Calvados. – Archives de l’évêché de Bx. – Ordo de Lx.)

290. – Le 18 oct. 1784, la nomination à la 2e portion de la cure de St-Jean-Baptiste du Mesnil-Germain appartenant au seigr du lieu, Mesre Guillaume-Louis-Félix de Bonnechose, ancien chevau-léger de la garde ordinaire du roy, chevr, seigr et patron de St-Pierre de Malou (Malouy?), seigr et patron, au droit de son épouse, noble dame Agnès-Charlotte-Françoise de Bonnochose, de Grandval, Ferrières et le Mesnil-Germain, demeurant à Lx, parr. St-Germain, nomme à lad. 2e portion, vacante par la mort de Me Jean-Baptiste Badouel, dernier titulaire, la personne de Mre Louis-Charles du Faguet des Varennes, pbrë du diocèse de Lx, titulaire de la chapelle St-Jacques et St-Philippe de la parr. de St-Martin-
d’Ouilly. Donné à Lx, au cabinet de Me Jacques Delivet, avocat, sis Grande-Rue, parr. St-Germain.
Le 25 oct. 1784, le seigr évêque donne aud. sr du Faguet des Varennes la collation dud. bénéfice.
Le lendemain, le sr des Varennes prend possession de la cure du Mesnil-Germain, 2e portion, en présence dud. sr de Bonnechose, patron présentateur; Me Urbin-Jacques Bardel, curé de la 1° portion; Me Sylvestre Gallot, originaire de St-Jacques de Lx, curé de Tours, diocèse de Bayeux; Me Jean-Louis Mottey, pbrë, tous deux demeurant à Lx, parr.
St-Jacques; Me Pierre-François Le Mercier, avocat au parlement de Paris, demeurant à Paris, quai et parr. St-Paul.

Le 2 janv. 1786, le sr Jaraot prend possession de la cure de Pontalery. En 1803, il était revenu à Pontalery et l’évêque de Bayeux le nomma a la cure de Mesnil-Germain. Il y mourut en 1820, à l’âge de 66 ans: il avait été le dernier curé de Pontalery. (Archives du Calvados. — Archives de l’évêché de Bayeux. – Archives municipales de Pontalery. – Archives de l’église de Livarot.)

13. – Le 19 févr. 1786, la nomination à la 2e portion de la cure de St-Jean-Baptiste du Mesnil-Germain appartenant au seigr du lieu et, à cause de la garde-noble non relevée, à Mgr Louis-Stanislas-Xavier, fils de France, frère du roy, duc d’Anjou, d’Alençon, de Vendôme et de Brunoy, comte du Maine, du Perche et de Senonches, S. A. R. nomme à lad. cure, vacante par la mort de Me Jean-Baptiste-Jacques Badouel, dernier titulaire, la personne de Me Louis-Charles du Faguet des Varennes pbrë du diocèse de Lx. Donné à Versailles. Le 22 juillet 1786, M. de Collignon, vic. gl, donne aud. sr des Varennes la collation dud. bénéfice.
Le 9 août 178(5, le s r des Varennes prend possession de lad. 2e portion du Mesnil-Germain, en présence de L Ursin-Jacques Bardel, curé de la l°re portion, et autres témoins. (Mr des Varennes avait été déjà nommé à cette cure en 1784.)

Curé des deux portions. – J.-B.-Jq Badouel.
Curé de la 1° portion. – U.-Jq Bardel.
Curé de la 2° portion. – L.-C du Faguet des Varennes.
Vicaires. – P.-C Mariolle – U.-Jq Bardel.
Patron delà 2e portion. – Le seigneur du lieu.- G. -L.-F. de Bonnechose de Malou.-L.-S.-X. de France.
Seigneur. – A. de Vaumesle de la Gosselinay.
Chapelle de Noiremare (Saint-Laurent). – Chapelain. – G. Leprêtre.

ANFRAY ou ARFFREY, seigneur du Mesnil, élection de Lisieux, maintenu le 29 juin 1666: de gueules, à huit besants d’or en orle; à l’écusson de sable, chargé de trois croissants du second émail, et bordé du même.
Jacques Anfray, seigneur du Mesnil-Germain: de gueules à l’écu d’azur bordé d’or, chargé de trois croissants d’or et accompagne d’une orle de huit roses d’or posées quatre à dextre et quatre à senestre; (d’Hozier)

Collection De Répertoires Sommaires Des Documents Antérieurs A 1800 Conservés Dans Les Archives Communales
LE MESNIL- GERMAIN
I. Dioc. de Lisieux. Baill. d’Orbec. – Maîtrise d’Argentan Gr. à sel de Lisieux. Gén. et int. d’Alençon; él. et subd. de Lisieux.
II. Distr. de Lisieux; canton de Fervaques (Arrêté du 1er mars 1790).
III. 4 arr. communal (Arr. de Lisieux); canton de Fervaques ( Loi du 28 pluviôse an VIII); canton de Livarot (Arrêté du 6 brumaire an X). Pop.: 240 hab. ( 1911). Sup.: 86 hect. 63 a. 85 c.
ADMon Gale. Délibérations, depuis 1841.
ÉTAT- CIVIL. Baptêmes, mariages et sépultures, depuis 1718.
Voir aux Archives du Calvados les délibérations du Comité de surveillance de Mesnil- Germain. 13 brumaire- 5º jour complémentaire an II ( Reg. )

Dictionnaire Topographique Du Département Du Calvados – G. Hippeau
Mesnil-Germain (Le), Canton de Livarot. – Mesllinum Germani, XIV° s° (pouillé de Lisieux, p. 54 ).
Par. de Saint-Germain, aujourd’hui Saint-Jean-Baptiste; deux cures;
patr. le seigneur du lieu et l’abbé du Bec.
Dioc. de Lisieux,
doy. de Livarot. Génér. d’Alençon,
élect. de Lisieux, sergent. d’Orbec.
Fief de Grandirai, mouvant de la seigneurie de Fervaques.

Barreterie (La), h -.Bissonnet (Le), H – Bodinièbes (Les), H. – Bois-Matière (Le), H. – Boudellières (Les), H. – Bruyère (La), H – Bruyères (Les), H – Carrières (Les), H.- Champ-De-Bataille (Le), H. C Du Mesnil-Germain.Campus Batalie, 1219 (Ch. De Sainte-Barbe, N° 183).- Champ-Vallée (Le), H, C » Du Mesnil-Germain.
Campus De Valle, 1172 (Ch. De Saint-André-En-Gouffern, N° 157). – Chapelle-Noire-Mare (La), H.- Chichouerie (La), H. – Cour-Au-Vilain (La), H – Cour-Bordeaux (La), F – Cour-Buhot (La), H. – Cour-Dais (La), H. – Cour-De-La-Vigne (La) – Cour-De-L’équillon (La), H – Cour-Des-Champs (La), H – Cour-Des-Pièges (La), H – Cour-Du-Bourg (La), Q. – Cour-Du-Carrefour (La), F.- Cour-Du-Bourg (La), Q. –
Cour-Du-Carrefour (La), F. – Cour-Du-Four (La), h – Cour-Du-Presbytère (La), F – Cour-Esnot (La), h – Cour-Fougy (La), h. – Cour-Hamon (La), h – Cour-Lauzet (La), h. Cour-Manable (La), h – Cour-Maquerel (La), h – Cour-Morin (La), h.- Cour-Pierre (La), h. – Cour-Pierre-Levée (La), h – Cour-Saint-Nicolas (La),h. – Cour-Sonnet (La), h – Cour-Taillefer (La), – Fieffés (Les), h. Les Fiefs,1868 (Simon). – Fief-Hahars (Le) – Forges-.Mézières (Les), h. comm. du Mesnil-Durand et du Mesnil-Germain. – Galants (Les), vill. – Gibebvière (La), h – Hamars (Les), vill – Haute-Chaussée (La), h. – Lieu-Bordeaux (Le), h – Lieu-Courtonne (Le) – Liel-des-Amis (Le), vill. – Lieu-Poussé (Le), h. – Lieux-Amiset (Les), h – Martigny h. – Orins (Les), h – Pintières (Les), h – Taillefer, h –

Armorial Général de France – G.A Prevost.
55. – Jacques Anfrey, écuier, sr du Mesnil-Germain: De gueules à un écusson d’azur chargé de trois croissans d’or et bordé de même accosté de huict roses d’or posés en pal quatre de chaque costé.
345. – N…, curé du Mesnil-Germain: D’azur à un croissant d’argent accompagné de 3 besans de même 2 en chef et un en pointe.
355. – N. Dumesnil-Germain, sic: D’azur à un lion d’or.

Monstres générales de la noblesse du bailliage d’Évreux en 1469
Jehan Dumaine, seigneur du Mesnil Germain, présenta à faire le service pour et en lieu de lui Jehan le Grant, armé de trois quartz de curasse, salade et demye lance, ung paige avec lui, montez à deulx chevaulx.
Ci Apprès Enssuit les noms de plusieurs nobles et noblement tenans en lad. viconté d’Orbec, et les lieux ou l’en dit qu’ils sont demourans et résidens, hors dud. bailliage, lesquieulz ne se sont présentés ausd. monstres;
Les hoirs Guillamme de Grantval, pour ung fief assis au Mesnil Germain.
Raoul Lemectoier, pour un fief nommé Tenney, assis au Mesnil Germain.

Histoire de l’ancien évêché comté de Lisieux – H. de Formeville.
Arrière-fiefs de la Sergenterie d’Orbec.
– Le Mesnil-Germain. – Guy de Tonnercort y tient du seigneur de Ferières un quart de fief.
Mesnil-Germain, 70 feux.

Recherche faite en 1540, par les élus de Lisieux des nobles de leur élection.
MESNIL-GERMAIN.
32. Me. Guillaume Huart, prêtre, accusé de dérogeance, tant par sa confession que autrement, a été suffisamment atteint de marchander des boeufs et vaches, pour peupler un herbage qu’il a dit lui estre échu de la succession de son deffunt pere. Pourquoi le procureur du Roi a requis qu’il soit assis.
33. Richard Auffrey, Sr. de Tanney, a fourni de sa généalogie et noblesse avec le Sr. de Caudemoine, sur l’article de la parroisse d’Aucainville.

Nobiliaire Universel De France- M. De Saint-Allais.
État Des Pages De La Petite Écurie.
Pour être reçu page du Roi à la petite écurie, il fallait faire preuve de noblesse depuis l’an 1550, sans aucun anoblissement.
Charles-François-Désiré de Bonnechose, Mesnil-Germain, mort page du Roi en la petite écurie, à Compiègne, le 13 septembre 1773.

Nobiliaire de Normandie, Volume 1 – Gabriel O’Gilvy
La Chesnaye des Bois
Jean de Bonnechose, vivant en 1292. Il cite un extrait du jugement des commissaires des francs-fiefs, du 4 mai 1471, en faveur de Jean de Bonnechose, Ecuyer, Soigneur de Guéville, et «Jean, son frère. Seigneur de Vieuxpont, imposés, dit-il, de 33 écus, les déchargeant du franc-fief comme nés et réputés nobles. Ici, La Chesnaye des Bois a devancé la fréquente habitude des Magny, quand cette société généalogique en commandite parle, pour de l’argent, de quelque famille normande. L’arrêt en question n’est pas maintenu; c’est un anoblissement bel et bon en vertu de la Charte des francs-fiefs et nouveaux acquêts de 1470. La Chesnaye des Bois classe ensuite cette famille, sous les noms et qualités: de la Boulaye, Seigneurs de Bonnechose et du Mesnil-Germain, El. de Lisieux, ancienne noblesse.

Recueil Des Travaux De La Société Libre De L’Eure.
Jehan Dumaine, seigneur du Mesnil Germain, présenta à faire le service pour et en lieu de lui Jehan le Grant, armé de trois quartz de curasse, salade et demye lance, ung paige avec lui, montez à deulx chevaulx.

Mémoires et notes pour servir à l’histoire du département de l’Eure. 2
Marie de Sanson, épousa Joachin de Gonsselin, écuyer, seigneur de Martigny, Compaingreville, Manherbe, fils de Jean, écuyer, seigneur du Mesnil-Germain. Et de Magdeleine Le Mary; leur contrat est du 22 janvier 1573.
 » Item les hoirs Jouachyn Gosselyn, vivant escuyer, tiennent de moy, ung quart de fief nommey le Mesnil-Germain, assis en ladicte paroisse, à cause du quel ilz me sont tenus en foy et houmaige, relliefs, XIIIe, avec dix jours de garde en mon château de Chambrais en temps d’ost, ainsy que les aultres nobles de ma dicte baronnie, et aussy me font par chacun an unze livres de rentes sieurialle, à cause du dict fief, avec les p. 100. aydes coustumières, charges et subjections devant declarez.
 » Item, les héritiers de feu Charles de Lyée, vyvant escuyer, tiennent de ma dicte baronnie en la branche d’Aucquainville, ung demy fief de haubert, nommey le fief de Thonnencourt, assis en la dicte paroisse de Thonnencourt et du Mesnil-Germain, à cause du quel ilz me sont subjectz en foy et hommaige, droict de garde noble, le cas offrant, avecques vingt jours de garde en mon chasteau de Chambrais en temps d’ost, ainsy que les aultres tenantz noblement en ma dicte baronnie en la dicte branche d’Aucquainville avecques reliefz, XIIIe, aydes feaulx et coustumières quant ilz eschient et le cas s’offre, et aultres charges et subjections, ainsi que les aultres tenantz noblement en la dicte branche d’Aucquainville.
Le fief de Grandval, assis en la parroisse du Mesnil-Germain et aux environs, tenu par les représentants le sieur de Goupigny, tenu par ung quart de fief.
Le fief de Thenney, assis en la dicte paroisse, tenu par les représentants Richard Anfrey, tenu par un quart de fief.

Bulletin de la Société des Antiquaires de Normandie. 16. 1892.
Résistance à l’Occupation Anglaise dans le pays de lisieux De 1424 à 1444
Par le vicomte Louis Rioult de Neuville
Dans le cours de l’hiver de 1432 à 1433, un complot fut tramé pour remettre Lisieux au pouvoir du roi de France. Guillaume de Grantval, gentilhomme des environs, seigneur d’un des fiefs du Mesnil-Germain, était le chef ou un des principaux moteurs de cette entreprise, qui échoua misérablement; le 17 janvier, il fut mis à mort comme traître.
Jean Fastolf, chevalier, ne dédaigna pas de se faire livrer le fief du Mesnil-Germain, dans la dépouille de Guillaume de Grantval dont nous avons rapporté la généreuse entreprise et la fin tragique, sur la modique estimation de 28 livres, 6 sols, 9 deniers de revenu, à valoir sur 1560 salus d’or de rente que le roi d’Angleterre lui avait promis.

Archaeological News – Bates, William N.
Publication date 1909-01-01
Une fonderie de fer préhistorique. -Dans B. Soc. Fourmi. Le P. 1908, pp. 138-139, F. de Mely rend brièvement compte de la découverte d’une fonderie de fer préhistorique de 1,50 m. sous la surface au Mesnil-Germain, canton de Livarot. Environ 200 kg. de fer dans les porcs brisés a été retiré et il en reste autant. Le fer ne se trouve pas plus près que la forêt d’Ouche, à 50 km. lointain, mais il a probablement été amené à cet endroit pour être fondu car il y a ici une banque pleine d’os fossiles qui ont fourni du phosphate abondant pour la réduction du minéral.

Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790. Calvados – Archives départementales du Calvados
1456-1687. – Maladreries de Livet et de Noiremare.
– Bail à rente devant Thomas Lecarpentier, tabellion royal à Lisieux, par Guillebert Bardouf, écuyer, seigneur du fief du Bouley, en la paroisse de Livet, à Robin du Gardin, de 2 pièces de terre tenues dudit fief jouxte la maladrerie de Livet et le fief de Belleau et, d’autre part, la maladrerie de Noiremare, aboutant au chemin de la chapelle de Noiremare au moutier de Livet (1456). – Vente devant Georges Levacher et Jean Mallet, tabellions en la sénéchaussée de Lisieux, par Perrin Paisant le jeune, de la paroisse du Mesnil-Germain, à Henri Lemarquand, de la paroisse de St-Germain de Livet, de 5 pièces de terre sises audit St-Germain.
1529-1687. – Maladrerie du Mesnil-Germain. – Vente devant Michel Lailler et Yves Delaunay, par Roger Taillefer à Élienne Taillefer, son frère.de 12 acre de terre sise au Mesnil-Germain, aboutant le bosquet aux malades (1529). – Donation devant Jean Coppie et Nicolas Varin, tabellions, par Jean Lamy Chéron et Isabeau, sa femme, veuve au précédent de Colin Goupil, à Robert Le Chevalier, époux de Madeleine, leur fille, d’une pièce de terre nommée le champ de la Chapelle, sise au Mesnil-Germain (1537).

1723-1732. – Baptêmes, mariages, sépultures.
– Le 4 février 1727, mariage, par le curé de Bellengreville, de Louis-David Mahiet, écuyer, sieur de Martigny, officier chez le roi, fils de feu David, écuyer, sieur du Mesnil, et de feu noble dame Catherine de Corday, de la paroisse du Mesnil-Germain, et noble demoiselle
Francoise-Marie-Barbe Morin, fille de feu François Morin, écuyer, sr de Vaugroult, et de noble dame Jeanne Le Chevalier, de Mondeville en présence de Robert Morin, éc, sieur de Vaugroult, d’Elisabeth de Montjean, son épouse, d’Anne Le Chevallier, et de Bernardin et Claude île Cordey.
– Le 23 mai 1679, fiançailles de Robert de Cordé, écuyer, sieur de Rambour. fils de feu Jacques de Cordé, sieur du Bois, et de Marie Pollin, du Mesnil-Germain, évêché de
Lisieux, et Anne Daumesnil, fille desd. Robert Daumesnil et Françoise Ernault, en présence de François Le Bourgeois, écuyer, sieur de La Varende, Jean Daumesnil, écuyer, sieur du lieu, etc. Le 2 juillet, leur mariage (le marié signe Cordey).

L’abbaye du Bec propriétaire de la baronnie du Hauzey et les habitants de Saint-Pierre-du-Boscguerard – Charles Leroy
En 1235, Richard d’Harcourt cède à l’abbaye du Bec 52 acres 16 perches de terre, aux Hautes-Terres près Bosc-Guérard, exempte de toutes coutumes, avec 63 sdls de rente sur la Prévôté de Brionne. L’abbaye abandonne en contre échange le manoir du Hamel à Livarot et la terre de Mesnil Germain sauf le patronage de l’église.

Gazette des beaux-arts. 31 = A. 27. 1885.
Château du Mesnil-Germain.
Une des pièces les plus élégantes de la fabrication est certainement l’épi qui se trouve sur le colombier du château du Mesnil-Germain.
Placé sur un édifice du xve siècle, il a dû être brisé en partie, puis replacé au XVIe siècle. Composé de quatre pièces d’enfilade, nous y retrouvons le moyen âge et le plus beau moment de la Renaissance.
La terre dont sont faites les différentes pièces n’est pas la même, et leur aspect est si différent qu’il semble qu’on nous ait conservé cet épi pour nous faire voir les progrès de la fabrique du XVº au XVIe siècle. Il est bien curieux d’étudier ici l’union du sentiment italien et de l’art français: à côté du vase où le goût français est dans toute sa pureté, les pièces qui le couronnent et le supportent se ressentent étonnamment des della Robbia. Ces fines têtes d’anges aux ailes peu déployées viennent de sortir de l’art byzantin; dans le couronnement elles alternent avec des feuillages et des fruits italiens.
Il y a là un mélange de vernis et d’émaux bien intéressant qui caractérise l’époque de transition par laquelle nous passons.
Le morceau du haut, en terre blanche, représente un affreux bonhomme, tenant un bâton à la main, avec un œil crevé, luttant contre un dragon qui l’enserre de ses replis. L’embase et le couronnement sont en terre rouge, les têtes d’anges ont leur collerette allongée, ce qui les distingue déjà de celles de l’épi de Belleau. Si ces trois pièces ne sont couvertes que d’un émail encore imparfait, si surtout l’émail stannifère blanc est impur, nous allons voir s’étaler sur la panse du vase toutes les splendeurs de la palette de l’artiste émailleur.
La terre ici est blanche et sonore. Les draperies qui partent de la tête des chérubins, dont la collerette est tout à fait lancéolée par en haut, se détachent largement en blanc sur un fond bleu vermicellé, admirablement glacé. Les anses élégantes et fines se terminent par des têtes de lions précieusement sculptées; six longues larmes élégantes, accusées par une ligne d’émail brun, descendent le long de la panse, dont la forme peu amincie par le bas nous donne les premières années de la Renaissance. D’ailleurs nous allons voir se
modifier cette forme ovoïde, et, comme dans les premières pièces du Molay et du Pré d’Auge, les fleurs de lys ont été une précieuse indication pour nous. Maintenant l’ovale du vase et celui de la collerette des petits chérubins vont devenir caractéristiques.

La conquête du Canada par les Normands – Vaillancourt, Émile
TAILLEFER, Pierre, soldat, compagnie de la Grois, né à Saint-Germain du Mesnil-Germain, (Calvados), en 1664, de Guillaume et de Suzanne Campion; épousa, le 7 mai 1699, à Montréal, Jeanne Hunault; inhumé le 16 mars 1734, à la Rivière-des-Prairies. – 1 enfant.

Histoire du privilège de Saint Romain – Floquet, Amable.
En Vertu Duquel Le Chapitre De La Cathédrale De Rouen Délivrait Anciennement Un Meurtrier, Tous Les Ans, Le Jour De L’ascension;
1762. PIERRE NICOLAS, âgé de 48 ans, jaugeur, de la paroisse du Mesnil-Germain, diocèse de Lisieux.
Le 27 mars 1759, il exerçait ses fonctions de jaugeur, à Livarot, dans un cabaret à l’enseigne du Soleil, lorsqu’un individu, qu’il ne connaissait pas, vint l’insulter, le maltraiter et le provoquer à se battre. Nicolas refusa, mais une heure après, comme il conduisait son cheval à la forge, il fut attaqué plus violemment encore par cet individu, qui voulait le frapper de son bâton. Nicolas lui tira un coup de pistolet, dont il mourut trois jours après.

3 – Archives ShL:

Fonds Caillaux
3F 87 – 1679-1812 – Mesnil-Germain, chemin de l’église au village aux Allaires: vente de terres
3F 141 – 1778-1817 – Mesnil-Germain (le): cessions de rente et de biens
BADOUET famille
BADOUET Jean Baptiste Jacques curé
3F 170 – 1652-1805 – Mesnil-Germain: achats de terre et rentes LEBRET famille
3F 171- 1720-1812 – Mesnil-Germain: achats, partages de biens LEBRET famille

FONDS COTTIN 2019
6 – dans Carton le Père Jules:
Livrets Reunis par F. de MÉLY [1851-1935 – Archéologue et critique d’art. – Maire du Mesnil-Germain, Calvados]

Fonds Revues – Brochures
Br 167 Mesnil-Germain (le) au XVIIIème siècle. BOISSIERE Abbé Jules

Fonds Enveloppes
Enveloppe n° 14
Promenades à Travers Les Communes Rurales Des Environs De Lisieux
3ème série: Le Mesnil-Germain.

FONDS Claude LEMAITRE – 2017
46 Découvertes Archéologiques – Classeur vert.
Ferme préhistorique au Mesnil-Germain (Une) par Fernand DU MELY 2007
Livarot l’antique: extrait du bulletin de la Société Historique de Livarot

Archives NEDELEC Communes
com.48.7.1 Mesnil-Germain Le Château et site
com.48.7.2 Mesnil-Germain Le La Cour du Mesnil-Germain
com.48.7.3 Mesnil-Germain Le Chapelle des Mares
com.48.7.4 Mesnil-Germain Le Notes historiques
com.48.7.5 Mesnil-Germain Le Eglise 1843-2007
com.48.7.6 Mesnil-Germain Le Vie de la commune

Les Bulletins SHL.
Numéro 83 Premier semestre 2017
Benoît Noël: Fernand de Mély (1851-1935), histoire d’art, châtelain et maire du Mesnil-Germain (Calvados)

Archives Érudits – NE12
PANNIER Arthème: voir 2e carton.

SAINT VICTOR D’EPINE – 27




NOTES sur SAINT VICTOR D’EPINE – 27

St Victor d’Epine – Sr Victor Despins, de Spinis, St Victor de la Haye d’Espines.

1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.

1 – Bibliographie:

Voir :
Annuaire Normand 1835 p.19, 24, 25
Bulletin Monumental 1864 p.259
Formeville II p.117
Voir Freneuse

2 – Pièces Justificatives:

Insinuations

Les noms des paroisses et des seigneurs
Monsieur Lévesque d’Avranches

St Victor d’Epine
Le village du Chemin-Chaussé est ainsi nommé à cause de la voie romaine de Brionne à Cormeilles. (Gadebled)

La porte de l’église de St Victor d’Epine est, comme celle de Serquigny, ornée d’une série de têtes plates ou becs-d’oiseau, mais sans autre ornement.
(Mémoire sur quelques monuments du Département de l’Eure et particulièrement de l’arrondissement de Bernay, par Auguste Le Prévost – Extrait du tome IV des Antiquaires de Normandie – Caen 1829)

D’après Monsieur l’Abbé Lebeurier, l’église de St Victor d’Epine serait romane. Elle était percée de 6 petites fenêtres romanes. On les a bouchées pour en pratiquer de plus grandes au XIIIe siècle. (2 juillet 1863)

3 – Archives ShL:

Carnets de Charles VASSEUR –
DOYENNE DE CORMEILLES

Sous l’invocation de St Victor

Patronage:
XVIe, XVIe et XVIIIe Episcopus Abrincensis

Curés:
Caille 1764
J.-F. Lecordier 1763/1787
Vicaire. — P. Labigne
Clerc. — N. Lecompte

SAINT PIERRE DES IFS – 27




NOTES sur SAINT PIERRE DES IFS – 27

St Pierre des Ifs – Ecclesia Aquosis – St Petrus de Aquosis

1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.

1 – Bibliographie:

Voir :
Formeville I et II p.53
A . Le Prevost Tome III 1ère partie p.190.

2 – Pièces Justificatives:

Insinuations

On y voit le fief de l’Epiney, plein fief de haubert relevant du Roi, qui s’étendait sur St Georges du Vièvre, St Etienne Lallier et la Poterie Mathieu. Le seigneur nommait à la chapelle St Thomas-St Nicolas, et était seigneur et patron de la paroisse.
L’Epiney était une dépendance des domaines de M.M Choiseul-Gouffier. (A.C)

L’espiney en Vièvre, plein fief de haubert à St Pierre des Ifs avec droit de Patronage: des chapelles de St Nicolas et de St Thomas de l’Espiney appartenait le 18 juin 1602 à Robert Cavelier seigneur de Villequier, général en la Cour des Aydes, fils de Robert, notaire et secrétaire du Roi. (Compte rendu de Louviers).

Extrait d’un feuillet 263 d’un cartulaire du Bec retrouvé par Monsieur le Metayer, servant de couverture à un livre en décembre 1859 – texte en latin (Lu par M. R. Bordeaux)

3 – Archives ShL:

Carnets de Charles VASSEUR –
DOYENNE DE CORMEILLES

Election de Pont Audemer, sergenterie de Montfort.
3 feux privilégiés, 143 feux taillables.

Sous l’invocation de St Pierre

Patronage:
XIVe, XVIe et XVIIIe siècle ; abbas de Becco

Curés:
Chrétien 1764
Le Bagne 1764/1787.
Notable.—J.-B.-N. Patin

Chapelle de St Nicolas de l’Epine sur St Pierre des Ifs – Ecclesia S. Nicolai de Espineto – Capelle St Nicolai de Espineto

Patronage:
XIVe Matheus Campion
XVIIIe le seigneur.

On trouve dans le pouillé de 1648 que la chapelle de la maladrerie de St Thomas était à la nomination du plus proche du fondateur, et que celle de St Nicolas d’Espinet était à la nomination du plus proche héritier d’un certain nommé le Cavelier, bourgeois de Rouen à cause de l’acquisition.

Maladrerie de St Thomas Patronage: : les habitants du lieu.
La chapelle léproserie de St.-Thornas-d’Epinay, au doyenné de Cormeilles, diocèse de Lisieux, paraît, suivant le pouillé de M.Le Prévost, avoir été voisine de la chapelle de St.Nicolas de !’Epinay, sur St.Pierre­ desIfs, à l’aquelle elle fut réunie vers la fin du XVII. siècle. Depuis cette réunion elle porta les doubles noms de St.Thomas-St.-Nicolas-de-l’Epinay.

SAINT JEAN DE LA LEQUERAYE – 27




NOTES sur SAINT JEAN DE LA LEQUERAYE – 27
Saint Jean de la Léqueraye – La Lecqueraye – Lesquereya – Lescheron – St Joannes de Lesqueri

1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.

1 – Bibliographie:

Voir :
Montfaut p.29
Recherche de 1540 p.139 – Jean Lemure, seigneur de la Lecqueraye B-85
Congrès archéologique 1867 p.512
Bulletin monumental 1869 p.190
Journal de Lisieux 8 janvier 1870 – Auvray de la Lecqueraye

2 – Pièces Justificatives:

Labbey de La Roque, Pierre Élie Marie
Recherche faite en 1540, par les élus de Lisieux des nobles de leur élection…
SAINT-JEAN DE LA LECQUERAYE.
378. Antoine Gastel, Sr. de Vitry, pour lui, et pour Michel, et ses autres freres, a baillé sa généalogie, depuis son bisayeul, Nicolas Gastel, qui épousa damoiselle Isabeau de Bonneboscq; et , pour la justifier, a produit plusieurs lettres et écritures, et entr’autres une sentence, de l’an 1481, des commissaires des francs-fiefs, par laquelle Jean Gastel, un de ses ancêtres, est déchargé de la cotisation aux dits francs-fiefs, comme ayant été trouvé personne noble.

Insinuations

Les chanoines de Lisieux possédaient le fief de l’église ; Laudière, Bois-Lambert et Beaupotier (Bosc Pottier) étaient aussi des fiefs. (A.C)

Ricardus de Lescheria sacerdos
Henricus Louvet de Lalescheria
Henricus Louvet de Eslescreia (Echiquier de Normandie)
Robert de Lalesccreia – Robertus de Laschercia XIIe siècles

Le fief appelé aussi Beaufour était en 1376 à Jean Martel, chevalier seigneur de la Poterie Mathieu. Il reçoit hommage de Hue de Bettencourt, écuyer, pour 3/8 de fief. La Lecqueraie, le Mesnil et Lescrassonnière et en 1385 pour Manviel ½ fief à St Jean acheté par Hue de Jean de Montroty et de sa femme pour 200 livres.
Pierre Perre, écuyer, fait hommage à Jean Martel du Bosc-Louvet 1/8 de fief à St Jean.
En 1372 Jean Martel marie sa fille aînée à Jean Pouchin, écuyer, seigneur de Condé.
(A. Le Prevost)

Requête au Parlement par Louis Jacques Matthieu d’Irlande, écuyer, appelant en sentence rendue en baillage au Pont Audemer le 19 juillet 1746 ; défendeur de Lettres de relèvement et demande nouvelle, contre Messire Victor Alexandre Blin, seigneur de la Lecqueraye, bailli de St Philbert sur Risle, conseiller du Roi, élu en l’élection de Bernay, héritier de Messire Simon Pierre Blin, seigneur des Manoirs, son oncle, en son vivant bailli de St Philbert sur Risle, intimé appel et …..demandeur en lettres de Restitution et demande nouvelle
en présence de Dame Marie Madeleine Motte, veuve de feu Messire Simon Pierre Blin, seigneur des Manoirs, ajournés en la Cour. (48 pages 4° – Rouen Pierrre Seyer 1780)
communiqué par M. Pannier le 9 novembre 1869.

« Le Mont Roty est vue éminence de terre de près de lieue et demie où l’on monte de tous costez et sans vallée profonde des deux costez excepté du costé de St Jean de la Leucraye où il y a une gorge et une petite vallée … qui va se dégorger proche de Launey où est la fin de ce mont et ensuite dans la vallée ou gorge qui conduit à Livet.
….Quand on est sur l’éminence on voit fort loin de tous costez dans le pays de Caux même et dans le Roumois.
…. Cette éminence que l’on regarde dans le pays comme la place la plus élevée de toute la Normandie. Dans son élévation cette éminence est assez égale et il y a si peu de différence qu’elle ne vaut pas la marquer. Il y a pourtant un endroit un peu plus élevé où l’on observe encore d’anciens fondements soit d’un château soir plustost selon l’ancienne tradition d’un ancien temple dédié autrefois à Rote où les anciens idolâtres sacrifiaient très souvent et y allumaient tant de feux et de lumières qu’on en voyait la lueur ou splendeur de sur le coste de la Bonille. Ce sont d’anciennes traditions qui se communiquent dans le pays de père en fils. Ce Rot vient de Rotomagus, ancienne divinité. (Mémoire de M. Barbe le curé de St Etienne Laillier à Anville pour la carte du diocèse)
Papiers de d’Anville cédés par moi à la Ste Historique de Lisieux en 1872.

St Jean de la Lecqueraye – l’église est détruite : la cure valait 4000 livres de revenu en 1770.
(A. Carrel II p.341)

3 – Archives ShL:

Carnets de Charles VASSEUR –
DOYENNE DE CORMEILLES

Election de Pont Audemer, sergenterie de Montfort
2 feux privilégiés – 73 feux taillables.

Sous l’invocation de St Jean

Patronage:
XIVe
XVIe Archidiaconus de Lieuvino ecclesia lexovii
XVIIIe L’archidiacre du Lieuvin

Curés:
G.Rotoure 1764
J.F.Rotoure 1766/1787
Vicaire. — P. Moutier.
Notable. — J. Lucas.

En 1195 Ricardus de Leschereia sacerdos