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RIVIERE SAINT SAUVEUR La




NOTES sur RIVIERE SAINT SAUVEUR La

Création le 21 novembre 1831, Saint Léonard + hameau de La Rivière pris à Ablon

1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.

1 – Bibliographie:

CAUMONT Arcisse de : Statistique monumentale du Calvados, réédition Floch, tome IV, page 328.

Editions FLOHIC : Le Patrimoine des Communes du Calvados page 939.

LECOUTURIER Yves, L’industrie dans le Calvados sous l’occupation, 1940-1944 dans L’Homme et l’industrie en Normandie. Du Néolithique à nos jours. (23e Congrès des Sociétés historiques et archéologiques de Normandie, 1988), BULL. SOC. HISTORIQUE ET ARCH. DE L’ORNE, n° spécial, 1990, pp. 69-74
Mommers à Lisieux, Dives, La Rivière-Saint-Sauveur, Ablon

STATISTIQUE MONUMENTALE DU CALVADOS PAR ARCISSE DE CAUMONT
St.-Sauveur-la-Rivière, Sanctus Salvator de Vasiis.
La paroisse de St.-Sauveur-la-Rivière, qui renferme aujourd’hui 700 habitants environ, n’avait autrefois qu’une chapelle qui est désignée dans le Pouillé sous le titre de capella S. Salvatoris de Vasiis, la chapelle de St.-Sauveur des-Vases ; ce qui prouve que de grands dépôts vaseux, dont une partie a été conquise à l’agriculture, encombraient le rivage. Aujourd’hui, on voit encore devant St.-Sauveur un banc vaseux considérable qu’il serait extrêmement facile de mettre en valeur au moyen d’un endiguement peu coûteux.
L’église actuelle de St. -Sauveur est l’ancienne chapelle, agrandie et refaite presqu’en entier il y a quelques années.
Les parties qui restent de la première construction se trouvent du côté de l’ouest. L’appareil des parties anciennes subsistantes est très-facile à distinguer des constructions modernes, et il peut remonter au XIVe. siècle.
Cette chapelle de St.-Sauveur dépendait de la paroisse d’Ableville dont je vais parler plus loin ; le chapelain était, comme le curé de cette paroisse, à la nomination de l’abbaye de Grestain.

2 – Pièces Justificatives:

Labbey de La Roque, Pierre Élie Marie
Recherche faite en 1540, par les élus de Lisieux des nobles de leur élection…
LA RIVIERE DE HONNEFLEU.
32 2. Hébert Gohorel , dénommé comme noble à la fin du dit rôle, n’a été aucunement oui, parce qu’il n’a pu être aucunement découvert.

1779, 5 février – Englesqueville
Aveu rendu à Alexandre-Anne-Gabriel-Augustin de Cairon, chevalier, marquis d’Esmalleville, seigneur de Penneville, Fréville, Carville, Rabu, Monney, Ter¬nant, Cani, le Vuy, Gruchet, Vaudain, Baudissart, Caniel, Vasouy, Château-Bau¬dry, Caltôt, la Rivière, Beuzebosc, le Reu, les Roches, les Retailles, Bonne¬ville-sur-Touques, Cavelot, etc., à cause de Marie-Madeleine-Gabrielle d’Es¬malleville, son épouse, par Louis Martin, pour terre à Englesqueville, tenue du fief Cavelot.
= Arch. SHL. FL 324.

3 – Archives ShL:

Carnets de Charles VASSEUR –
DOYENNE DE :

Archives SHL – Imprimés :

Jour 1 : « Le Pays d’Auge » (Pont-L’Evêque)
Jeudi 31 août 1837 : annonces légales, ventes de terres, d’un moulin à Crocy, La Rivière Saint-Sauveur……
Jeudi 16 août 1838 : canalisation de la Touque, annonces légales.
Jeudi 23 juin 1870 : communes du secteur, annonces locales.

REPENTIGNY




NOTES sur REPENTIGNY

1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.

1 – Bibliographie:

BODIN Pierre Docteur : Les litres seigneuriales du Calvados, supplément au BSHL n°54 ou Litres Calvados.Doc

CAUMONT Arcisse de : Statistique monumentale du Calvados, réédition Floch, tome IV, page 182.

Editions FLOHIC : Le Patrimoine des Communes du Calvados page 535.

BEZIERE, Monographies communales d’Ouilly-le-Vicomte; Rocques et Norolles, Ms. c. 1885, 12 p.,
= Arch. Départ. du Calvados, Br. 9457.

DAVOUST C., Etude de Repentigny, Ms. s.l.s.d. (c. 1987) dactyl.
= Arch. Départ. du Calvados, Br. 13797

STATISTIQUE MONUMENTALE DU CALVADOS PAR ARCISSE DE CAUMONT

Repentigny, Repentigneium.
L’église de Repentigny offre un chevet garni, au centre, d’un contrefort du XIIIe. siècle assez remarquable en ce que la partie inférieure est au moins moitié plus forte que la partie moyenne et supérieure : ce sont deux contreforts superposés l’un à l’autre.
Le choeur est en retrait sur la nef. Toutes les fenêtres sont modernes et des parties de murs ont été refaites. Une chapelle seigneuriale de la fin du XVIe. siècle est accolée au choeur et en communication avec lui, du côté de l’évangile.
La tour s’élève sur la première partie de la nef.
La porte occidentale est carrée, mais garnie de moulures qui annoncent le XVII. siècle.
J’ai remarqué, sur le mur extérieur, une litre portant les armoiries de la maison d’Harcourt.
A l’extrémité du cimetière se trouvent les tombeaux de plusieurs membres de la famille Thierry, de Caen, notamment celui de Mr. Thierry, professeur de chimie et doyen de la Faculté des sciences de Caen, l’ami et l’élève du célèbre chimiste Vauquelin (Nous devons un souvenir à la mémoire du professeur de chimie dont le cours a été suivi pendant vingt ans, à Caen, avec empressement, et où plus de soixante auditeurs recueillaient les paroles du maître. C’est là que nous avons puisé les notions de chimie que nous possédons.
M. Thierry savait donner à ses leçons autant d’intérêt que les plus habiles professeurs de Paris, dont il avait suivi les cours avant d’être lui-même nommé professeur à la Faculté de Caen
); celui de son épouse et celui de son fils, capitaine d’artillerie de marine, mort en juillet 1859.
L’église est sous l’invocation de saint Martin. L’abbaye de Belle-Étoile nommait à la cure.
On comptait 2 feux privilégiés et 25 feux taillables à Repentigny.

2 – Pièces Justificatives:

1673. Archives SHL : 1F640 : 1673 : Repentigny : sieurie de la rivière, vente par¬ Lepeltier.

3 – Archives ShL:

Carnets de Charles VASSEUR –
DOYENNE DE : BEUVRON

– Sous l’invocation de Saint Martin

Curés :
Le Coute (1764-1774)
Le Comte (1739-1787)

PERCY EN AUGE




NOTES sur PERCY EN AUGE

1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.

1 – Bibliographie:

CAUMONT Arcisse de : Statistique monumentale du Calvados, réédition FLOCH Tome III, page 490.

DORANLO Dr R., « Note sur des sarcophages découverts en novembre 1921, à Percy-en-Auge », BSAN, XXXV, 1925; et t. à p.

Charles FOUQUES, « Les chanoines de Sainte-Barbe-en-Auge et les seigneurs de Soquence », PA, 38, N° 9, Septembre 1988, p. 26

Editions Flohic : Le Patrimoine des communes du Calvados, page 1172.

Mesnil Mauger
Annuaire Normand 1853 p.45 – 1865 p.137

2 – Pièces Justificatives:

1217 – Vendeuvre
Richard de Vendeuvre, chevalier, donne en 1217 à Sainte-Barbe-en-Auge et à la chapelle Sainte-Marie-de-Fribois, une pièce de terre située à Percy.
= LECHAUDE d’ANISY, Abbayes du Calvados dans MSAN, t. VII, 1834, p. 108

1484 – Soquence (rattaché à Ecajeul puis Mesnil-Mauger)
Aveu fait à la Cour des Comptes de Rouen
« Au Roi notre souverain seigneur à cause de sa vicomté de Falaise au bailliage de Caen je, Florentin de Chaumont, écuyer, confesse et avoue tenir en plein fief de haubert nomme le fief de Soquence assis en icelle paroisse de Soquence et illec environ et s’étend icelui fief es paroisses de Perchie (Percy) Vielfume (Vieux-Fumé) Mésidon (Mézidon) et Vieuville.

1604, 25 juin
Aveu par Charlotte des Ursins, de la baronnie de Ferrières…
 » Item, damoiselle Magdelaine de Bonnechose, veuve de feu David de Bernières, vyvant escuyer, sieur de Percy, tient de lmoy en ma dicte baronnie, branche et membre du dict Aucquainville, un quart de fief assis au dict lieu d’Aucquainville et aux environs, à cause du quel la dicte de Bonnechose m’est tenue pour elle et ses soubz tenantz en foy et hommaige, en garde noble le cas offrant, et en dix jours de garde en mon chasteau de Chambrais en temps d’ost, ainsy que les aultres tenantz noblement de ma dicte baronnie en la dicte terre d’Aucquainville, avecques relliefs, XIIIe, aydes féaulx et coustumières quand ilz eschient et le cs s’offre, et aultres charges et subjecions, ainsy que les aultres tenantz noblement en ma dicte branche d’Aucquainville.
= Auguste LE PREVOST, Mémoires et notes, t. II, p. 83 sq.

Insinuations

Voie de Jort à Percy et à Mézidon
Une chaussée antique dont l’étendue est peu considérable aujourd’hui, mais qui mérite d’être signalée, est celle qui a été reconnue par Monsieur Legrand entre Jort et la campagne de Percy ; elle passait la Dive à Vendeuvre et se dirigeait vers Mézidon au N-NE laissant à droite l’église de Grizy et à gauche le village d’Escures, dans lequel Monsieur Galeron a trouvé des médailles romaines et les vestiges d’une enceinte retranchée. C’est depuis Grizy jusqu’au-delà d’Escures que cette chaussée m’a présenté le plus d’intérêt, elle conserve presque constamment dans cet espace, un niveau plus élevé que le sol environnant (1) et se compose de fragments de pierres calcaires d’une petite dimension comme le chemin Haussé de Vieux à Escures, dont elle n’est d’ailleurs qu’un embranchement.
(1) cette élévation est généralement de 1 pied ½ à deux ; et est de 3 pieds sur les hauteurs de Grizy, on trouvera dans ma Statistique Monumentale du Calvados une description détaillée de cette voir romaine.

Recherche de 1666
Jean Deschallon seigneur du Val, issu de Jean, ennobli en 1524
Laurens le Boucher, seigneur de Rougère issu de Jean, ennobli en 1571
Jullien de Picot, seigneur de Percy et François de Picot, son frère, anciens nobles.

16 août 1424 bataille de Verneuil où fut tué Jean de Morel, seigneur de Percy, du Mesnil etc ; c’était un guerrier distingué sous Charles VII et Charles VI. Il avait épousé en 1396 Jeanne de Touchet. (Lange)

3 – Archives ShL:

Carnets de Charles VASSEUR –
DOYENNE DE :
Diocèse de Seez, élection de Falaise, sergenterie de Jumel
40 feux
Le Mont Herault, fief à Percy sur Dives
Ban 1272 – Ricardus de Perciaco

STATISTIQUE MONUMENTALE DU CALVADOS PAR ARCISSE DE CAUMONT
Percy, Perceium, Perceum, Percheum.
L’église de Percy présente un type très-simple et assez élégant d’église rurale du XIII, siècle ; elle a , sous ce rapport, intéressé tous les architectes et les antiquaires auxquels je l’ai montrée, notamment M. Parker, d’Oxford ;
Mr. Verdier, architecte du gouvernement, et M. A. de Blois, de Quimper, président de la Société archéologique du Finistère.
Cette église se compose d’une nef et d’un choeur du premier style ogival, au point de jonction desquels une tour a été édifiée au XVII siècle.
La façade occidentale de la nef offre aujourd’hui une porte en ogive dont l’archivolte, ornée de cannelures profilées comme au XIIIe siècle, repose de chaque côté sur une colonnette à chapiteau garni de feuilles ; une lancette bouchée occupe le centre du fronton au-dessus de la porte.
Du côté du nord, les murs latéraux sont couronnés d’une corniche taillée en biseau portant, en guise de modifions, des têtes de clous et autres figures ordinaires sur tes monuments du XIII, siècle. Des dents de scie garnissent d’autres parties de la corniche.
Le choeur est terminé par un chevet droit, percé de trois lancettes inégales, selon la disposition assez habituelle au XIIIe siècle dans le département : chacun des murs latéraux du choeur est aussi percé de trois lancettes Une sacristie moderne est appliquée sur le mur latéral nord, à proximité du sanctuaire.
La tour, très-lourde, est centrale, comme je l’ai dit, terminée en bâtière et probablement du XVle siècle; mais la base qui la supporte date du temps de l’église. Une chapelle appliquée au sud, entre choeur et nef, porte les caractères du XVe ou du XVIe siècle ; les arceaux de la voûte sont prismatiques et présentent au point de croisement, des écussons sans armoiries. C’était, selon toute apparence, une chapelle seigneuriale.
L’église avait une voûte en bois ornée de peintures appliquées; mais, depuis quelques années, on a plâtré cette jolie voûte du choeur et refait celle de la nef en bois neuf.
On a aussi empâté sous le badigeon les moulures très fines qui décoraient le poinçon de la voûte du choeur et qui peut-être dataient du XIIIe siècle, ce qui serait d’autant plus remarquable que les boiseries sculptées de cette époque sont bien rares.
M. Pépin a lu ainsi qu’il suit l’inscription de la cloche :
L’AN 1786 IAY ÉTÉ BÉNIE ET NOMMÉE JENEVIÈVE PAR Mire JEAN
BAPTISTE LE CRHIST CHANOINE RÉGULIER
DE LA CONGRÉGATION DE FRANCE, PRIEUR DE Ste BARBE EN AUGE
ET VISITEUR DE SON ORDRE ET NOBLE DAME
JENRViÈVE ALEXANDRINE HENRIETTE DUPARC ROZEY PATRONNE DE
PLAINVILLE. — PASTORE DNO ANTONIO REMIGIO
NOUVELET CANONICO REGULARE CONGREGATIONIS GALLICANE
LA VILLETTE DE LISIEUX M’A FAITE.

On conserve au presbytère une croix en bois entourée d’une lame de cuivre et ornée de dessins; elle a été trouvée
derrière le choeur.
On conserve aussi au presbytère un bas relief, en albâtre, trouvé dans l’église et que M. Pépin a dessiné. Il représente Jésus-Christ en croix. Deux anges reçoivent dans des coupes le précieux sang qui sort des mains.
Deux autres anges, au bas de la croix, reçoivent dans un calice le sang qui s’écoule des pieds.
L’église de Percy est sous l’invocation de saint Gervais.
L’abbaye de Ste-Barbe nommait à la cure. La paroisse faisait partie du diocèse de Séez.

Château:
— Tout près et à l’ouest de l’église, on voit le château de Percy, ancienne maison seigneuriale, qui conserve encore un certain caractère par son architecture, de la fin du XVI, siècle ou du commencement du XVIIe. Le toit est encore couronné de deux épis assez remarquables.

Voie romaine:
– Le chemin haussé, signalé par M. Le Grand comme venant de Vendeuvre par Escures, et que j’ai moi-même exploré plusieurs fois, passe au milieu de la rue de Percy et au pied du chevet de l’église. On a trouvé à plusieurs reprises, sur le bord de cette ancienne voie, des tombeaux dont quelques-uns renfermaient des armes (sabres) que je n’ai pas vues. Il y a lieu de penser que ces sépultures pouvaient remonter à l’époque carlovingienne ou mérovingienne.

Percy-en-Auge. – A l’ouest de la commune, une grande étendue de territoire porte le nom de « Castelet ». (Cad., B, 39-72 et 95-104).

CARTES POSTALES
Percy-en-Auge – Café Le Monnier – « où se retrouvaient des soldats du ‘camp de Percy’ (ERGM). » (Fillionédit. Lisieux)
Percy-en-Auge – La cantine (Schneider, édit. Cliché Fillion)
Percy-en-Auge – Souvenir de l’Inauguration du Monument, le 12 juin 1922 – Le Défilé (Fillion, édit. Lisieux)
Percy-en-Auge – Intérieur d’une ferme (Fillion, édit. Lisieux)
Percy-en-Auge – Le Haut du Bourg – « Encore un bistrot en 1936 » (Enseigne peinte: Café,cidre,vins E. Bohère) – (Edit. Soulé)

Voir le site: Mézidon-Canon et son Canton PERCY EN AUGE

Voir le site: j.y.merienne.pagesperso Villes et villages du Calvados

MORTEAUX COULIBOEUF

NOTES sur MORTEAUX COULIBOEUF
Fusion de Morteaux et de Coulibœuf en 1857

1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.

1 – Bibliographie:

CAIRON Jean-Alain : Le peuplement et l’occupation du sol dans le canton de Morteaux-Coulibeuf jusqu’au XVIIIe siècle, BSHL.
CAUMONT Arcisse de : Statistique monumentale du Calvados, réédition FLOCH Tome IV, pages 674 et 684.
Editions FLOHIC : le patrimoine des Communes du Calvados page 1199.
L’EXPLOITATION ANCIENNE DES ROCHES DANS LE CALVADOS : HISTOIRE ET ARCHEOLOGIE. Serv. dep. d’Archéologie 1999. page 44.

2 – Pièces Justificatives:

1591, 3 juin – Crocy
A Crocy, devant les tabellions royaux du lieu en la vicomté d’Argentan, soussignez, avant midy, furent pntz(?). Estienne Bourget de la parr. de Beaumais et Colas Selon de la parr. de Morteaux gardains establiz aux biens causes et querelles des enfans soubagés de deffunct Jehan Le Roy fils Françoys en la présence et du consentement de Richard Esnault, Jehan Bourget, fils hylaire, Guille Badouet, Jehan BadouetJehanne parentts et amys desd. souba. Lesquels gardains aud. nom, confecceent avoir faict alleu à Michel fresnel et Guille. Louvet du mestier de massonerie de la parr. de Crocy, prnt. et acceptant pour raccomoder et reparer depuys le bas jusquez au hault Revestir (?) et rediffier la massonnerie necessaire à faire à lung des coings de la maison desdits soubages assise en la parr. de Beaumais, au hameau de Sasprey avec ce rempatter le gable du bout de haut de la maison estant en décadence et ruyne suyvant le devys qui en a esté ce jourd’huy faict p,ce. des tabellions et parentz dessusdits pour par lesdits manouvriers faire lad. maconnerie seullement et fut cest alleu faict pour la soe. de cinquante solz ts. que led. Bourget gardain en a pntment. payez aud. massons qui ont promist faire lad. besongnedevers le jour et feste de St. Jean Bapte. proch. ven…. led. Bourget aud. nom querra les mattériaux et fera le fonctt. (?), quil accomodera ainsi quil sera requis Et encore lesd. gardains presence desdits parentz ont pareillement faict alleu à Jehan Houssaye du mestier de couvreur en chaulme de lad. parr. de beaumoyst pnt. a ce acceptt. pour recouvrir lad. maison tout de neuf des deuxx costez davec du gleu ledit alleu faict aud. Houssaye pour quarante cinq soulz ts. de quoy il sest tenu content et bien payé dud. bourget gardain aud. nomparce que ledit bourget gardain sera subject querir le gleu et faire la fourniture aud. Houssayeen faisant lad. besoingne quil a promiz aire et rendre preste dedans la notre dame my aoust prochain veant
Et ce faict lesd. manouvriers avec lesd. parents susdits ont estimé pour les matteriaulx de pierre chaulx sablon et terrze quils accomoderont pour faire la réparation delad. massonnerie aussy pour le so… tant des massons que du couvreur à la somme dung escu sol et en tant que pour le gleu quil acconvient fournir pour recouvrir lad. maison ils lont estimé à deux escuz dix soulz ts. en ce comprins la vieille descouverture dont ils ont faict le pnt. alleu…
= AD 14. Tabel. de CROCY. n.c. registre 38:. « C’est le registre des contractz et marchez mobils faitcts et passez devant théodore henry martin paynel tabellions royaux jurez… et establiz en la vicomté d’argentan es pties de crocy merry et les environs… »

3 – Archives ShL:

Carnets de Charles VASSEUR –
DOYENNE DE :