NOTES sur L’HOTELLERIE- 14334.
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Une loi du 21 juin 1841 a réuni à l’Hôtellerie une partie des deux anciennes paroisses de St.-Pierre et de St. Hippolyte de Canteloup.
Archives du Calvados
Canton actuel : Lisieux. Arrondissement actuel :Lisieux. Code INSEE : 14334
Histoire administrative : L’Hôtellerie intègre une partie des communes de Saint-Hippolyte de Canteloup et de Marolles par la loi du 25 juin 1841. Une autre partie de la commune de Fontaine-la-Louvet (Eure) est intégrée à L’Hôtellerie par la loi du 5 février 1850.
L’HOTELLERIE
I. Dioc. de Lisieux. Baill. d’Orbec.- Maîtrise d’Argentan.- Gr. à sel de Lisieux.
Gén. et int. d’Alençon; él. et subd. de Lisieux.
II. Distr. de Lisieux; canton de Moyaux (Arrêté du 1 mars 1790) .
III. 4 arr. communal (Arr. de Lisieux); canton de Moyaux (Loi du 28 pluviôse an VIII); canton de Lisieux ( 1° section) (Arrêté du 6 brumaire an X) . Pop.: 204 hab. (1911). Sup.: 574 hect ?
La commune actuelle de l’Hôtellerie a été constituée par la réunion à l’ancienne commune de l’Hôtellerie , de parties des territoires de la commune supprimée de Saint- Hippolyte- de- Canteloup, de la commune de Marolles ( Loi du 25 juin 1841) et de partie de la commune de Fontaine- la- Louvet ( Loi du 5 février 1850 ) .
ADMon Gale. ― Délibérations et enregistrement des lois et décrets Février 1791 -an VIII ( Reg., fol.1-49).
La suite des actes depuis l’an VIII n’a pu être contrôlée. Un registre destiné à recevoir diverses déclarations depuis 1790.
ÉTAT- CIVIL. Baptêmes, mariages et sépultures, depuis 1603. Lacunes : 1691-1692.
IMPOSITIONS. Des matrices (depuis 1791) auraient été brûlées pendant l’invasion allemande en janvier 1871.
CULTES. D’anciens titres de la fabrique, cote P. 1 du même inventaire, n’ont pu être retrouvés .
Voir aux Archives du Calvados les délibérations du Comité de surveillance de L’Hôtellerie. 15 brumaire-30 fructidor an II ( Reg. )
1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.
1 – Bibliographie :
CAUMONT Arcisse de : Statistique monumentale du Calvados.
Editions FLOHIC : le patrimoine des Communes du Calvados page 1017.
MOREL, Monographie communale de L’Hôtellerie, Ms. 1886, 27 p.= Arch. Départ. du Calvados, Br. 9426
L’Hôtellerie, Le Manoir de Blanche de Castille, CDMPA, pp. 100-101
2 – Pièces Justificatives:
Dictionnaire Topographique Du Département Du Calvados C. Hippeau.
HÔTELLERIE (L’), canton de Lisieux (1er section), accrue d’une portion du territoire de Saint-Hippolyte-de-Canteioup en 1841. – Hospitalaria, 1195; l’Ostellerie,
1225 (cH. de L’hospice de Lisieux, n° 26). – Sanctus Nicolaus de Hospitalaria, capella leprosaria, XIV° s. (pouillé de Lisieux, p. 24).
Par. de Saint-Nicolas, patr. l’évêque de Lisieux. Dioc. de Lisieux, doy. de Moyaux. Génér. de Rouen, élect. de Pont-Evêque, sergent, de Beuvron.
Champ-de-Foire (Le); h. – Mont-Giron, h. Mons Gerron, 1280 (cart. de Friardel). –
Mont-Rôti (Le), h. – Rue-de-la-Vache (La), h. – Rue-Lucas (La), h. –
STATISTIQUE MONUMENTALE DU CALVADOS PAR ARCISSE DE CAUMONT.
L’Hôtellerie, Hospitalaria, Sanctus Nicolaus de Hospitalaria,
Le village de l’Hôtellerie, situé à la limite orientale du département du Calvados, est traversé dans toute sa longueur, qui est d’un kilomètre, par la route impériale de Paris à Cherbourg.
Cette commune, enclavée dans les paroisses voisines, forme une véritable lisière.
L’église, bâtie sur le bord même de la route, appartient à la dernière période ogivale.
La nef, soutenue par des contreforts saillants, reconstruits en briques dans la seconde moitié du XVIIIe. siècle, est
éclairée au midi par deux fenêtres ogivales, flamboyantes, à par un meneau prismatique, et par une fenêtre de même dimension que les précédentes, offrant les mêmes moulures, mais qui a perdu sa tracerie et son meneau.
Deux fenêtres seulement éclairent la nef du côté septentrional. L’une de ces fenêtres a perdu sa tracerie.
Le choeur, faiblement en retraite sur la nef, se termine par un chevet à trois pans, avec contreforts sur les angles.
L’un des pans coupés est percé d’une jolie fenêtre flamboyante, semblable à celles qui éclairent la nef. A travers le léger crépi qui recouvre le mur oriental, on aperçoit les traces de l’ancienne fenêtre qui éclairait autrefois le sanctuaire. Les autres ouvertures, de forme ogivale, qui laissent pénétrer le jour à l’intérieur, sont modernes. Elles occupent la place des anciennes fenêtres.
Contre le mur méridional du choeur est appliquée une ancienne sacristie en bois. Ce présente, dans partie mur sa supérieure (à gauche de la sacristie), plusieurs assises de pierre calcaire, dont la structure poreuse ressemble beaucoup à celle du tuf ou travertin qu’on rencontre dans un grand nombre de constructions des XIIe. et XIIIe, siècles. Les autres pierres qui entrent dans la construction du mur (pierres de taille et silex) sont moins anciennes. Tous ces matériaux de nature différente ont-ils été employés simultanément ou à des époques diverses? Ne pourrait-on pas faire remonter l’appareil primitif au XIIIe. siècle, ce qui serait, du reste conforme à la tradition locale qui attribue, la fondation de l’église à la reine Blanche, mère de saint Louis ? C’est une question à étudier.
La façade occidentale, qui se développe sur le chemin communal, offre une porte entourée d’une ogive en accolade, dont les nervures prismatiques sont séparées par des gorges étroites et profondes. Celte porte, d’une forme peu gracieuse et d’une exécution peu soignée est flanquée de deux petits, contreforts prismatiques. La pierre qui forme le seuil est une ancienne dalle funéraire dont l’inscription est effacée.
Au-dessus du gable s’élève un clocher en charpente terminé par pyramide ardoise, autrefois couvert, en une en été fondue essente. La cloche, qui porte la date de 1838, a par Mahuet (2).
La voûte de la nef, dont M. Bouet a fait un dessin est, construite en merrain, avec entraits et poinçons. Cette voûte, qui attire les regards par sa forme gracieuse et sa riche décoration polychrome, est dans le style de la Renaissance.
Les peintures dont elle est couverte, quoique altérées par le temps, sont encore apparentes. Les nervures ou couvre-joints présentent deux couleurs différentes le milieu est: bleu-azur et les bords rouges et vice versa. Deux rangs de trèfles, exécutés au ponds et formant festons, décorent les douves. Une petite bande noire ou filet sépare les trèfles des couvre-joints. Le sous-faîte, formé d’une nervure longitudinale peinte en bleu et bordée de rouge, est décorée de pendentifs faits au tour. Les uns, garnis de consoles, ressemblent à une lyre renversée; les autres pendentifs, décorés de godrons, ressemblent à des stalactites. Les couleurs de ces pendentifs sont les mêmes que celles des couvre-joints qui leur correspondent. Ainsi, lorsque la partie centrale du couvre-joint est rouge, le pendentif est également rouge avec une bordure blanche à son point d’attache et vice versa. Des écussons peints, dont on aperçoit les traces, étaient placés entre les pendentifs. Près de la poutre crucigère, on remarque un chapeau de cardinal qui surmontait un écusson, probablement celui du cardinal d’Annebault. Le milieu du sous-faîte présente un rageur qui tire la langue, lequel servait à suspendre un lustre ou une couronne de lumière.
Les sablières, couvertes d’imbrications et décorées de feuillages et d’entrelacs, sont également terminées par des rageurs. De curieux mascarons, ou têtes grimaçantes, se montrent à l’extrémité des blochets ou sabots.
Les poinçons qui supportent le sous-faîte offrent, à leur point de jonction avec les entraits, des têtes grotesques.
D’énormes rageurs, ou engoulements, terminent la poutre crucigère qui marque la séparation du choeur et de la nef.
Cette poutre, sculptée sur toutes ses faces, est décorée de feuillages.
La voûte du choeur, plus ancienne que celle de la nef, a été badigeonnée. Le sous-faîte est décoré de rosaces et de croix fleuronnées. A l’une de ses extrémités, au-dessus du maître-autel, on aperçoit l’écusson du cardinal Leveneur, ancien évêque et comte de Lisieux.
Nous avons décrit avec soin cette belle voûte, l’une des plus remarquables que nous connaissions, et indiqué exactement les couleurs dont elle était jadis couverte; ce genre de peinture décorative, d’un si gracieux effet, tendant à disparaître de jour en jour par l’action destructive du temps.
On remarque, à l’entrée du choeur, deux bâtons de confrérie. L’un d’eux supporte une petite niche ou châsse, formée par quatre colonnettes cannelées, ioniques, décorées, dans leur tiers inférieur, de feuilles de vigne. L’entablement, surmonté de petits vases faits au tour supporte un fronton circulaire milieu duquel est représenté un coeur soutenu par deux palmes. Les colonnettes se terminent inférieurement par des pendentifs, également faits au tour. Au centre est placée la statuette de saint Roch, patron de la Charité. Ce bâton de confrérie paraît dater du règne de Louis XIV.
L’autre bâton, dans le style Louis XV, est surmonté d’une niche formée par quatre colonnettes d’ordre composite. Cette niche renferme une statuette de Vierge, sculptée par un menuisier de village.
Le maître-autel offre quelques fragments d’un ancien retable Louis XIII. Le tabernacle est décoré de colonnes accouplées qui reposent sur le même stylobate. Il est surmonté de deux anges adorateurs. A la voûte du choeur est suspendue une jolie lampe en cuivre repoussé, dans le style Louis XIV. Les deux petits autels placés à l’extrémité de la nef datent de la fin du règne de Louis XIV, ou des premières années da règne de Louis XV. L’entablement, supporté par deux colonnes cannelées et rudentées, d’ordre composite, est surmonté de vases à flamme garnis de godrons et terminé par un gracieux couronnement portant un vase rempli de fruits. Au milieu on lit le monogramme du Christ. Dans le mur méridional de la nef est pratiquée une petite piscine, surmontée d’une ogive en accolade. Du même côté est placée une ancienne statue de sainte Barbe. Les fonts baptismaux datent du XVIII. siècle. La cuve, de forme elliptique, est ornée de godrons et supportée par un pédicule octogone. Ces fonts proviennent de l’ancienne église de Canteloup. On voit, dans un jardin situé à peu de distance de l’Hôtellerie, les anciens fonts baptismaux de cette paroisse. Ces fonts, sauvés de la destruction par M. Laillier, ancien maire de l’Hôtellerie et ancien membre de l’Association normande, remontent au XVII. siècle. Ils représentent une jolie vasque aplatie et godronnée dans la partie inférieure, laquelle est supportée par un gracieux pédicule. L’écusson gravé sur la cuve est celui du cardinal Jacques d’Annebault, qui occupa le siège épiscopal de Lisieux de 1543 à 1560. Il porte : de gueules à la croix de vair. Cet écusson est aujourd’hui presque entièrement fruste.
Le cimetière est placé au midi de l’église.
La croix, dont le fût est brisé, est dans le style de la Renaissance. La base de la colonne, de forme octogone, est couverte sur chacune de ses faces de bas-reliefs que le temps a mutilés. Cette base fort curieuse, dont M. Bouet a fait un dessin, offre alternativement de petits anges et des emblèmes ou ornements ressemblant à des fleurons. Sur l’un des angles est appuyé un pupitre en pierre, formé d’une console couverte de feuillages présentant un faible relief. La volute inférieure qui retenait le livre a été brisée (3).
L’église de l’Hôtellerie est placée sous le vocable de saint Nicolas. La fête du Saint tombe le 6 décembre. Ce jour-là a été établie, pour la vente des bestiaux, une foire qui attire un grand nombre de cultivateurs des environs. Cette foire se tient dans un champ qui portait autrefois le nom de Priorie de St-Hippolyte. Le patronage de la paroisse appartenait à l’évêque de Lisieux.
Il existait autrefois, sur le territoire de cette paroisse, une maladrerie ou léproserie dont la chapelle qui était un bénéfice à la nomination de l’évêque, valait 40 livres au titulaire.
Avant la Révolution l’Hôtellerie faisait partie de l’élection, de Lisieux et de la sergenterie de Moyaux. Sous le rapport ecclésiastique paroisse dépendait du doyenné de Moyaux.
On comptait, à l’Hôtellerie, au XVII. siècle, 32 feux.
La population actuelle s’élève à 488 habitants. Sa distance du chef-lieu d’arrondissement est de 12 kilomètres.
Une loi du 21 juin 1841 a réuni à l’Hôtellerie une partie des deux anciennes paroisses de St.-Pierre et de St. Hippolyte de Canteloup.
A l’angle de la route impériale et du chemin communal, sur le bord duquel s’aligne la façade occidentale de l’église, s’élève une maison en bois, avec étage en encorbellement, qui date de la fin du XVe. siècle ou du commencement du XVIe. La façade principale, qui se développe sur la grande route, offre, au rez-de-chaussée, une petite fenêtre surmontée d’une ogive en accolade. Sur le poteau d’huisserie est sculpté un écusson que, masque un volet. Nous avons lu sur cet écusson les mots suivants, en caractères gothiques :
VIVE LE ROY
Sur la même façade sont sculptés deux autres écussons. L’un de ces écussons représente un arbre.
Une haute cheminée en brique, dans laquelle est incrustée une croix en pierre, surmonte le toit.
L’Hôtellerie doit probablement son origine à une de ces maisons hospitalières, si répandues au moyen-âge, dans lesquelles les malades de la contrée, étaient reçus et soignés et où les voyageurs pauvres et infirmes étaient sûrs, de rencontrer une généreuse hospitalité. Les rôles de l’Échiquier, conservés aux archives de la Tour de Londres, font mention, en 1195, d’un nommé Guillaume, clerc de l’Hôtellerie (clericus de Hospitalaria).
D’après la tradition locale, la reine Blanche, mère de saint Louis, s’étant rendue en Normandie, pendant la minorité de son fils, pour apaiser les troubles qui avaient éclaté dans cette province, fut prise tout à coup des douleurs de l’enfantement et transportée dans une hôtellerie qui se trouvait sur sa route, où elle accoucha d’un fils qui mourut au berceau. En souvenir de sa délivrance elle fit élever, près de cette maison, une chapelle qui prit le de l’Hôtellerie. Telle serait, nom dit-on, l’origine de ce village. Avant la Révolution, une messe basse se célébrait deux fois la semaine, à 5 heures du matin, dans l’église de l’Hôtellerie, marché de pour les marchands de boeufs qui se rendaient au Poissy.
(1) Notes par M. Arthème Pannier, de la Société française d’archéologie.
(2) L’intéressante cloche du beffroi de Dreux, qui datait du règne de Charles IX (1559), a été refondue, en 1846, par le même fondeur. Sur sa zone centrale est représentée la curieuse procession des Flambards.
(3) Les croix hosannières, crux osanère (Supplément Le Carpentier au Glossaire de Ducange), assez communes en Bretagne et en Vendée, sont très-rares en Normandie. Elles sont ainsi nommées parce que tes pupitres garnis de bénitiers, qui les accompagnent, servaient pour les stations de la procession des Rameaux, pendant lesquelles on chante L’Hosannah. La dépouille mortelle des fondateurs est ordinairement placée au pied de ces petits monuments.
Histoire de Lisieux : ville, diocèse et arrondissement. Tome 2 – M. Louis Du Bois.
HOTELLERIE (L’). On assure que, sous le règne de Louis VIII qui monta sur le trône en 1223, et mourut en 1226, la reine Blanche, qui se rendait en Normandie, surprise tout à coup des douleurs de l’enfantement, accoucha dans une hôtellerie qui se trouvait sur sa route, et qu’ayant été heureusement délivrée, elle fit élever près de là une chapelle qui prit le nom de l’Hôtellerie d’où la dénomination passa à la commune.
Le fait en lui-même est au moins douteux. Quoi qu’il en soit, l’église de l’Hôtellerie est du XIVe siècle et, ce qui est plus certain que les couches de la reine en ce lieu, c’est qu’autrefois on y célébrait à cinq heures du matin une messe basse pour nos marchands de boeufs qui allaient au marché de Poissi. Au reste, l’illustre et belle princesse dont il s’agit a dans nos contrées servi de texte a beaucoup d’histoires fabuleuses depuis qu’en 1226, elle fit faire sous ses yeux le siège de Bélême: ainsi, un point voisin, la Croix Furène, tire, dit-on, son nom du lieu où fut la reine, tandis que ces mots signifient la Croix des Voleurs (crux furum). Il en est de même des lieux appelés Chanteraine qu’on a beau écrire Chantereine et qui n’annoncent pas qu’il y ait chanté ou coassé autre chose que des raines (rance, grenouilles), lieux qui en effet sont marécageux ou situés sur le bord des eaux. Dans un acte de vente de 1290, l’Hôtellerie est appelée Sanctus Nicolaus de Hospitelarià.
Son église est encore sous l’invocation de saint Nicolas. Cette commune possédait une des dix-sept Maladreries du diocèse.
Inventaire historique des actes transcrits aux insinuations ecclésiastiques de l’ancien Diocèse de Lisieux – PIEL L.F.D.
635. – Le 7 avril 1708, reçurent la tonsure et les ordres mineurs : Louis Asse, fils de Louis et de Marie Racine, de la parr, de l’Hôtellerie. Le 17 décembre 1708, Me Louis Asse, avocat en bailliage et vicomte d’Orbec, demeurant à l’Hôtellerie, constitue 150 livres de rente en faveur de son fils, Me Louis Asse, acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Le 19 sept. 1711, furent ordonnés prêtres par le seigr évêque d’Adge : Me Louis Asse, diacre de la parr, de l’Hôtellerie.
561. – Le 4 mai 1708, Me Pierre Guermont, curé de l’Hôtellerie et de N.-D. des Places, remet purement et simplement lad. cure de l’Hôtellerie entre les mains du seigr évêque. Le même jour, Sa Grandeur nomme à ce bénéfice la personne de Me François Pouchin, pbrê de ce diocèse. Le 25 juin 1708, Me François Pouchin, prend possession de la cure de l’Hôtellerie, en présence de Me Pierre Levavasseur, pbfë, curé de Fontaine; Me Adrien Asse, pbfë de l’Hôtellerie; Me Thomas Guerrier, pbfë de Marolles; Louis de Bigars, Escr, sr de la Fardouillère, et autres témoins.
L’HOTELLERIE (Saint Nicolas)
Curés. – C. Moutier – P. Guermont – G. Bazire – F. Pouchin.
Prêtres de la paroisse. – A. Asse.
Clerc. – L. Asse.
Patron. – L’évêque de Lisieux,
244. – Le 10 juin 1712, la nomination à la cure de St-Nicolas de l’Hôtellerie appartenant au seigr évêque, Sa Grandeur nomme à cette cure, vacante par la démission pure et simple de Me François Pouchin, pbfë, dernier titulaire, la personne de Me Nicolas Lefebvre, pbfë, vicaire de la parr, de Cresseveulle. Le 5 juillet 1712, led. sr Lefebvre prend possession dud. bénéfice, en présence de Mes Jean-Baptiste et Adrian Combault, Jean Halbout, syndic de lad. parr.; Louis Castel, maréchal; Pierre Alabarbe, cabaretier; René Lucas, huissier, et Jean Thibout, boucher, tous demeurant à l’Hôtellerie.
376. – Le 26 juillet 1712, vu l’attestation du sr Jouas, pbfë, desservant la parr. de l’Hôtellerie, dispense de bans pour le mariage entre Georges Moutier et Marie Haudard.
435. – Le 14 janvier 1716, dispense de bans pour le mariage entre Jean-François du Houlley, Escr, sr des Isles, fils de feu Jean du Houlley, aussi Esc-, et de noble dame Etiennette Boucquet, originaire de la parr. de Thiberville et demeurant à présent en celle de l’Hôtellerie d’une part, et damlle Françoise Le Cavelier, fille de feu François Le Cavelier, Esc, sr du Breuil, et de damlle Benoiste-Marie Lesueur, originaire du Mesnil-Eudes et demeurant aussi à présent à l’Hôtellerie.
316. – Le 10 sept. 1720, vu l’attestation du sr Lefebvre, curé de l’Hôtellerie, et du sr Bullet, vicaire de Thiberville, dispense de bans pour le mariage entre Michel Moutier et Marie-Elisabeth Dufour.
318. – Le 9 oct. 1723, la nomination à la cure de l’Hôtellerie appartenant au seigr évêque, Sa Grandeur nomme aud. bénéfice, vacant par la mort de Me Nicolas Lefebvre, dernier titulaire, la personne de Me Pierre Delamare, vicaire de Marolles. Le 19 oct. 1723. led. sr Delamare prend possession de la cure de St-Nicolas de l’Hôtellerie, en présence de Me Marin Hébert, pbrë, curé de Marolles; Me Thomas Guerrier, pbfë de Marolles; Me Jacques Combault, huissier, et Me François Basire, aussi huissier, et autres témoins.
L’HOTELLERIE (Saint Nicolas)
Curés. – F. Pouchin – N. Lefebvre – P. Delamare.
Prêtre desservant. – Jouas.
Clerc. – L. Asse.
Patron. – L’évêque de Lisieux.
Seigneurs et notables. – J.-F. du Houlley – J. Combault – F. Basire – L. Asse.
397. – Le 16 sept. 1727, dispense de bans pour le mariage entre Robert Drieu, l’un des Invalides de Sa Majesté, fils François, de la parr. de l’Hôtellerie, d’une part, et dlle Clotilde-Dorothée Maurice, fille de feu Me Nicolas-Joseph Maurice, avocat, et de dame Catherine-Françoise de Cambé, de la parr, de Caorches.
Me François Basire, receveur de M. le marquis de Rabodanges, demeurant à l’Hôtellerie.
379. – Le 2 août 1748, Louis Castel, demeurant à l’Hôtellerie, constitue 150 livres de rente en faveur de Me Jean-Baptiste-François Houlet, acolyte et Me ès-arts, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Dans cet acte, led. sr acolyte était représenté par Michel Sebire, praticien, de la parr. de St-Hippolyte-de-Cantelou.
L’HOTELLERIE (Saint Nicolas)
Curé. P, Delamare.
Seigneurs et notables. – L.-F. Asse – P. Asse – F. Basire – L. Boitel – J. Combault – R. Drieu – L.-Jq Haudard.
350. – Le 2 sept. 1754, la nomination à la cure de l’Hôtellerie appartenant au seigr évêque, Sa Grandeur nomme aud. bénéfice, vacant par la mort de Me Pierre Delamare, pbrë, dernier titulaire, la personne de Me Jean-Antoine Rozey, pbrë de ce diocèse. Le 7 sept. 1754, led. sr Rozey prend possession de la cure de l’Hôtellerie, en présence de M. Pierre Lespron, pbrë, curé et doyen de Moyaux; Me Antoine Bardel, curé de la Chapelle-Hareng; Me Jean-Baptiste Pépin, curé de Courtonnelle; Me Michel-Louis Haudard, pbfë; Christophe Asse, vivant de son bien; Me Louis-François Asse, avocat au Grand Conseil, cons. du roy, juge-gruyer, bailly vicomtal civil et criminel et seul juge de police au bailliage vicomtal de Cormeilles, demeurant à l’Hôtellerie, et Jacques Bardel, capitaine de navire, demeurant au Havre.
381. – Le 4 décembre 1754, dispense de bans pour le mariage entre Thomas-Yves Aubert, notaire royal au siège de Thiberville et de l’Hôtellerie, fils de feu Robert-Charles et de Catherine-Geneviève Bucaille, originaire de St-Aubin-de-Scellon et demeurant à l’Hôtellerie depuis plusieurs années, d’une part, et damlle Marie-Madeleine Le Neveu, fille de Jacques Le Neveu, marchand, de la parr. de Ste Croix de Bernay.
272. – Le 27 sept. 1762, dispense de bans pour le mariage entre Me Louis-Jacques Haudard de la Grandière, avocat en parlement, bailly haut-justicier du Houlley, conser du roy, lieutenant en l’élection de Lx, fils de feu Me Michel Haudard, avocat bailly haut-justicier de Drucourt, et de feue dame Marguerite Pastey, delà parr. De l’hôtellerie, d’une part, et damlle Anne-Marguerite-Aimée Houlet, fille majeure de feu Jean-Baptiste-François et de Marguerite- Aimée Castel, originaire de la parr, de St-Germain de Lx, et demeurant aussi en la parr, de l’Hôtellerie depuis plusieurs années.
L’HOTELLERIE (Saint Nicolas)
Curés. – P. Delamare – J.-A. Rosey.
Prêtre de la paroisse. – M.-L. Haudard.
Clerc. – L.-F. Asse, fils Christophe.
Patron. – L’évèque de Lx.
Notables. – C. Asse- L.-F. Asse – T. -Y. Aubert – P. Descendez de Bellecour – L.-J. Haudard – M. Haudard, – J.-B. Havard.
211. – Le 21 juin 1773, Me Jean-Antoine Rosey, curé de l’Hôtellerie et, depuis, pourvu de la cure de St-Georges-des-Authieux ou des Autels-sous-le-Regnouard, dont il a pris possession et dont Me Pierre-Charles Le Roy a pris possession avant lui, remet purement et simplement lad. cure des Authieux entre les mains du seigr évêque de Lx, afin qu’il y soit pourvu par S. Em. Mgr le cardinal de Rochechouart, évêque de Laon, abbé commendataire de St-Ouen de Rouen, et, en cette dernière qualité, patron présentateur de ce bénéfice. Fait et passé au manoir presbytéral de l’Hôtellerie, en présence de Me Louis-François Asse, avocat au Grand Conseil, conser du roy, juge-gruyer, bailly vicomtal civil et criminel et seul juge de police au bailliage vicomtal de Cormeilles, et le sr Jean Dumoulin, fils Chrysosthome, maître de la poste aux chevaux, tous deux demeurant à l’Hôtellerie. Le 7 juillet 1773, Mgr de Rochechouart nomme à lad. cure, ainsi vacante, la personne de M. Louis-François Asse, pbrê du diocèse de Lx, (parr, de l’Hôtellerie).
Le 22 juillet 1773, Mr de Gruel, vie. g, donne aud. sieur Asse la collation dud. bénéfice.
Le 27 juillet 1773, le sr Asse prend possession delà cure des Autels-sous-le-Regnouard, en présence de Me Jean-Baptiste Guerbette, pbrê, desservant lad. parr., et autres témoins « de différents sexes qui ont tous refusé de dire leurs noms et signer; de ce interpellés.
376. – Le 24 juil. 1774, Me Jean-Antoine Rosey, pbrë, curé de St-Nicolas de l’Hôtellerie et, depuis, pourvu de la cure de Montgenouïl, remet purement et simplement lad. cure de l’Hôtellerie entre les mains du seigr évêque de Lx qui en est le patron et collateur ordinaire. Fait et passé au manoir presbytéral de l’Hôtellerie, en présence de Jacques Quesney,
étudiant en droit, et Jean Dumoulin, maître de poste aux chevaux, tous deux demeurant en lad. parr.
Le 8 août 1774, le seigr évêque nomme aud. bénéfice, ainsi vacant, la personne de Me Pierre Barbey, pbrë, du diocèse de Lx, (ancien vicaire de Bonneville-la-Louvet). Le 5 sept. 1774, led. sr Barbey prend possession de la cure de l’Hôtellerie, en présence dud. s r Rosey, dernier titulaire, demeurant encore aud. lieu; Me Pierre Costé, curé de St-Léger- sur-Bonneville;Me Jean-Baptiste Pépin, curé de Courtonnelle; Me Louis Malécange, curé de Marolles; Me Leproux, curé de Piencourt; M. Jean-Pierre-Jacques Fleury, vicaire de Bonneville-la-Louvet; Me Jean Roullier, vicaire de Marolles, et Me Jean-Baptiste Vergé, receveur des Economats du diocèse de Lx.
36. – Le 3 déc. 1778, Charles Halbout, marchand, demeurant à l’Hôtellerie, constitue 150 livres de rente en faveur de son cousin, Me Jacques Halbout (1), acolyte, afin qu’il puisse parvenir aux ordres sacrés. Fait et passé à Courtonne-la-Meudrac, en présence de Mre Jean-.Baptiste Duchemin, chanoine de la Cathédrale, et de M° Charles Kathier,
pbré de la Congrégation des Eudistes, demeurant à Lx. Led. sr acolyte fut représenté dans cet acte par son cousin, Louis Halbout, marchand, fils dud. sr constituant, demeurant à Courtonne-la-Meudrac.
(1) M. Halbout était vicaire de Lieurey en 1791. Il refusa le serment et s’exila à Gand, dans les Pays-Bas (Mss de Reux.)
83. – Le 18 mars 1780, Me Pierre Barbey, pbfë, curé de l’Hôtellerie et aussi pourvu de la cure de St-Pierre de Semilly au diocèse de Bayeux, demeurant à l’Hôtellerie, donne sa procuration pour résigner lad. cure de Semilly entre les mains de N.-S.-P. le pape en faveur de Me Jean-François Legendre, pbrê du diocèse de Lx, vicaire de Morainville et titulaire des chapelles simples de St-Jacques des Mortiers, en lad. parr, de Morainville, et de N.-D. en l’église paroissiale de Bauné, diocèse d’Angers; et led. sr Legendre donne aussi sa procuration pour résigner lad. chapelle N.-D. entre les mains de Sa Sainteté en faveur dud. sr Barbey; le tout pour cause de mutuelle permutation. Toutefois led. sr Barbey se réserve une pension viagère de 300 livres sur les revenus de la cure de St-Pierre de Semilly. Fait et passé à Lx.
L’HOTELLERIE (Saint Nicolas)
Curés. — J.-A. Rosey – P.Barbey — J. B. Pépin.
Prêtre de la paroisse. — L -F. Asse.
Clerc. — Jq Halbout.
Patron. — L’évêque de Lx.
Notables. — L -F. Asse — L.-P.-B. Asse, — P. Desgcnctcz de BelIecour — J. Dumoulin — J.-J.-L Leterrier. — L -D Morel — R-J. Ozière — J. Quesney.
3 – Archives ShL:
Carnets de Charles VASSEUR : analyses et transcriptions.
– Carnets de Charles Vasseur : Doyenné de Moyaux;
– L’HOTELLERIE – Hospitalaria
Election de Lisieux, sergenterie de Moyaux – 32 feux
Sous l’invocation de St Nicolas
Vidimus de Colin Rogeron, tabellion à l’Hôtellerie 1462.
Guillaume Dumoulin et Simon Morel, Philippe Delannay, Jean Hayn Le Telier, Guillaume Guéroult tabellions à L’Hôtellerie,
Le village de l’Hôtellerie est traversé dans toute sa longueur, qui est d’un kilomètre, par la route impériale de Paris à Cherbourg. Ce village se trouve à la limite des départements du Calvados et de l’Eure et à 12 km à l’est de Lisieux
Deux descriptions de l’église dont une datée du 12 novembre 1862
A la suite de l’église de l’autre côté du chemin est une maison en bois de la dernière période gothique, qui offre de l’intérêt. Elle a un étage sur le rez-de-chaussée. Les poteaux corniers n’ont que de simples moulures aussi bien que les potelets. Les sablières forment encorbellement. Elles ont de simples moulures. Quelques unes des petites anciennes sont conservées. La porte est à l’extrémité orientale de la façade de manière à emprunter le poteau cornier comme poteau d’huisserie. Ce poteau; comme tous les autres du rez-de-chaussée, portait un blason, il était parti, Le premier manque. Au deuxième on distingue la trace de trois faces (c’est sur le côté qui regarde le pignon).
Sur le suivant « Vive le Roy » en lettres gothiques. Derrière le troisième est une crosse posée en pal : c’était vraisemblablement le blason de l’évêque de Lisieux, encore la cardinal d’Annebault, à en juger par le style de la maison. Cependant on croit distinguer trois pièces posées : deux et une, sur le champ et on devine une quatrième plus petite.
Le dernier blason est parti. Au premier est en pointe une pièce circulaire peut-être y avait-il un chef. Le second a une fasce.
Je ne compte point le blason qui surmonte la porte d’entrée. Il ne porte évidemment autre chose que le panache qui termine l’accolade. Cette sculpture est plate et n’a plus le nerveux de la période gothique. Le faire (l’exécution) sent la Renaissance. Il y a de petits pinacles carrés sur les potelets.
La maison est surmontée d’une grande cheminée en briques dans laquelle est incrustée une croix en pierre.
A l’Hôtellerie, près de Lisieux, comme Baignart de Juez à la tête d’une bande d’aventuriers, avait chargé la dague au poing deux ou trois cents paysans armés, le lieutenant du vicomte fait arrêter les chevaux de Baignart et donne l’ordre d’arrêter Baignart lui-même, n’avait –on pas vu ce furieux entrer un poignard à la main dedans le prétoire auquel ledit lieutenant était en siège tenant sa juridiction, prendre ce magistrat par le collet, violemment le tirer hors de sa chaire, le mener par force au logis où ses chevaux étaient arrêtes et là le forcer contre son gré, de les lui délivrer. (Floquet – Parlement de Normandie)
1269
1142 – Arrêt déboutant Guillaume de Friardel, chevalier, qui réclamait la sergenterie de l’Outelerie, comme l’ayant achetée de Roger du Moulin. (Archives de l’Empire)
Capella léprosariae de Hospitaleria
Patron l’Evêque
L’existence de la léproserie de l’Hôtellerie, située, dans l’archidiaconé du Lieuvin nous a été révélée; par le pouillé de ce diocèse, dressé par M. Le Prévost, sous le titre de capella leprosarie de hospitaleria. Les grands rôles de l’Echiquier de Normandie nous font aussi connaître qu’un Guillaume était clerc de l’Hôtellerie, en 1195.
La léproserie de l’Hôtellerie fut réunie à l’Hôpital de Lisieux, par ordonnance royale enregistrée au Parlement de Normandie le 1er décembre 1698, avec 11 autres maladreries.
PANNIER Arthème :
voir Archives SHL, NE12, 1er carton.
Fonds Etienne Deville – Carton n°11.
C11/12 Fiches manuscrites sur: Hotellerie
FONDS F1.
1694. L’Hôtellerie.
Archives SHL : 1F15 – 1694
Nomination d’un conseil de tutelle aux enfants de défunt sieur Gabriel Desperrois du Chouquet, de L’Hôtellerie.
1716., Archives SHL. 1F703 :
1716 : Vicomté de Moyaux, plés (plaids ?) tenus au prétoire de l’Hotellerie.
FONDS Arthème PANNIER.
NE 12.1 – 1er carton « Communes ».
Archives NEDELEC Communes.
com.33.1.1 Hôtellerie L’ – L’audiovisuel à l’église. Père Pichard
com.33.1.2 Hôtellerie L’ – Eglise
com.33.1.3 Hôtellerie L’ – Vie de la commune
com.33.1.4 Hôtellerie L’ – Manoir de Blanche de Castille. Croix de cimetière. Relais de poste.
Fonds CAILLIAU – Sous-série 3 F
Contrats De Mariages 1564-1749.
1732 29 juin – Contrat de Mariage de Jean René, fils de Louis et de Marie Enault de St Jacques de Lisieux et Catherine Castel, fille de Louis et de Françoise Lepetit de l’Hôtellerie.
Fonds Ancien 1F
VEUCLIN V.E. – L’Antiquaire de Bernay
« Notes sur la Paroisse de St Nicolas de l’Hotellerie » :
Jean Levain (1603) – Christophe Asse et Guillaume Asse (1675) – Claude Moutier (1688-1694) – Pierre Guermond (1694-1697-1707-1708) – François Pouchin, Adrien Asse, Louis de Bigars (1708) – réparations presbytère et chancel, procès Me Pouchin, procureur Jean Baptiste Halbout, Lefébure curé (1712) – réparations nef église (1713) – réparations église, piliers, salaire et boisson ouvriers (1714) – réparations tour, salaire et nourriture couvreurs (1716) – N° 8, 15 juillet 1892, page 37 et 38 – Me Louis Asse, mise à prix places des bancs fieffées, don herbes fruits pour curé (1717) – achat ornements, chasubles et chapes (1719) – Pierre Delamare (1724-1754), Haudart puis Rosey (1754) – reconstruction presbytère (1769) – devis et adjudication faite, par Jean Baptiste Blotière (1770) – Rosey (1775), Pierre Barbey (1788) – Labbé (1788), Pépin (1792 – an 2 – an 3) « chouanage » signal‚ – Joachim Ozière, notaire (1789) – Joseph Marc Alabarbe, curé (an 12) – foudre sur église vers 6 heures, pas de blessés (5 juillet 1890) – visite église, coq pulvérisé, pyramide découverte, portail fendu, fenêtres et vitres brisées, meneaux disloqués et arrachés (2 sept. 1890) – N° 9, 1er aout 1892, p 42 et 43.
Voir le site: j.y.merienne.pagesperso Villes et villages du Calvados