NOTES sur VALAILLE – 27
Valailles Valleliae – Vallillia – Valeniae – Valleiluis
1 – Bibliographie.
2 – Archives ShL.
1 – Bibliographie:
Voir : Formeville I et II p.277
Mabranche – Pénitents de Bernay p.30
2 – Archives ShL:
Carnets Charles Vasseur
Sous l’invocation de St Pierre
Patronage:
XIVe Abbas de Bernayo
Curés:
Deschamps 1764/1774
Deschandeliers 1782/1787
Insinuations:
Recherche de 1666
Adrian de Croisy, seigneur de Chaumont issu de Jean, ennobli en 1608
François Philémon de Croisy seigneur de Vallailles, issu de Jean, ennobli en 1610
Philémon le Bouché, seigneur de Vallailles ancien noble
Clercadus le Bouché, sieur de Vallailles, curé dudit lieu, ancien noble.
Les noms des paroisses et des seigneurs :
M. L’Abbé de Bernay.
Arrêt du Conseil privé du Roi du 28 décembre 1684 en faveur de Monseigneur l’Evêque de Lisieux, sur l’autorité des évêques de faire réformer les bancs qui empêchent le service divin.
Maistre Guy Loisel, prêtre, curé de St Martin d’Ouillie, promoteur d’office ayant requis l’Evêque d’ordonner l’enlèvement d’un banc place dans l’église de Vallailles sous le crucifix ; il le fit placer devant l’autel de la Vierge. Le lieutenant de la vicomté d’Orbec au siège de Bernay, en ordonna le replacement sur le demande de Jacques de la Presse, écuyer, seigneur de Gurantières (ou Garantières) et de la demoiselle veuve du seigneur de Croisy ; au second rang après celui du sieur de Croisy-Bougy. Tandis que le curé de Vallailles, Maistre Robert de la Borue, avait fieffé la place au Sieur Pierre Jouvin, écuyer, seigneur des Loges.
L’Evêque expose au contraire que le banc déplacé appartenait à Messire Adrian de Croisy, seigneur de Bougy et que celui du Sieur Charles de la Place, seigneur de Garantières, plaignant, qui avait épousé demoiselle Elisabeth de Croisy, fille du seigneur de Vailliles, ne l’avait été que momentanément pour réparer l’église, que ledit sieur de Garantières n’était point le seigneur de la paroisse et que le banc ne lui appartenait point, mais au sieur de Laval-Barré, à cause de sa femme et qu’ils ne s’y sont mais que par tolérance. (Mémoires du Clergé Tome III p.1437 à 1450)