NOTES sur BELLEAU
BELLEAU LA CHAPELLE
Belle-Aqua – Belle-Eau.
1 – Bibliographie.
2 – Pièces Justificatives.
3 – Archives ShL.
BELLEAU, hameau commune de Notre-Dame-de-Courson.
Uni au fief de Courson, 1763 (ch. des comptes de Rouen, t. III,p. 316).
Quatre fiefs, outre celui que possédaient les barons de Tournebu, se trouvaient dans les limites de la paroisse de Livet dont:
1° Le fief de Belleau, mentionné dans un acte de 1456.
Il bornait la maladrerie de Noiremare ; par conséquent, il se trouvait tout-à-fait à l’extrémité de la paroisse. Il était possédé en 1412 par damoiselle Marguerite d’Ouville, femme de Durand d’Auge. Les fiefs d’Auge étaient situés sur St-Jean-de-Livet;
– Vers le milieu du XVIIIe siècle, Gabriel-Auguste de Lyée prenait le titre de seigneur de Belleau.
– Louis-Auguste de Lyée, chevalier mousquetaire du roi, fut seigneur de Belleau.
– Robert de Neufville, éscuyer, mort en 1539, était qualifié seigneur de Belleau.
– A l’extrémité de la commune de Mesnil-Bacley, vers Heurtevent, se trouve encore un vieux manoir du XVIe siècle,Belleau, qui paraît avoir été construit par Robert de Neufville, sieur de Belleau, vers 1526, et en avoir reçu le nom.
– Au XVIe siècle, la Chapelle-Haute-Grue avait pour patron laïque G. de Belleau (de Bella Aqua);
– Le fief de Bellerive, quelquefois nommé Belleau, était situé à une petite distance de l’église paroissiale de Ste- Marguerite-des-Loges. Il a appartenu, aux XVe et XVIe siècles, aux Neuville, seigneurs des Loges, et, au XVIle siècle, à la famille de Piquot. Robert de Piquot, sieur de Belleau, fils mineur de Claude de Piquot, fit preuve d’ancienne noblesse en la paroisse des Loges, l’an 1666.
– Il y avait encore à Cheffreville un fief nommé la Fosse, lequel était possédé, au commencement du XVe siècle, par la famille de Belleau. Jean de Belleau y fit preuve d’ancienne noblesse devant Montfaut, dans la Recherche de 1463.
– Mais la paroisse de Courson renferme le modèle le plus remarquable et le plus connu des vieilles constructions en bois du Pays-d’Auge dans le charmant manoir de Belleau-la-Chapelle, situé à 2 kilomètres du village de Courson et à peu de distance de la route de Livarot.
1 – BIBLIOGRAPHIE:
Voir :
Bulletin Mon. 1862 p.583
Bulletin des Antiquaires de Normandie 1862 p.295
Annuaire normand 1863 p.695
Exposition rétrospective de Lisieux 1870 p.35 n°630 et 631
Bulletin Mon. 1870 n°7 p.629 et 630
Destruction du Manoir de Belleau :
Normand du 17 octobre 1868
Bulletin Mon.1868 p.920
Almanach de l’Archéologie 1870 p.46 à 52
Annuaire normand 1870 p.470 à 474
BESNIER Georges, Répertoire sommaire des documents antérieurs à 1800 conservés dans les archives communales Département du Calvados, Caen, Delesques, 1912, In8°, XCIX-657 p.; pp. 406-407
BUREAU, « Justice sous le Tribunal révolutionnaire », BSHV, N° 9, pp. 7-8; N° 10, pp. 6-7; N° 11, pp. 11-12; Octobre 1987 (numéro spécial ?), n.p. (42 p.)
An IV, 15 prairial – p. 117: abandon d’enfant par Marie-Madeleine Le Gras, fileuse, de la commune de Courson – sage-femme – recherche de paternité – démêlés avec l’hôpital – reconnaissance par le père (?)
BULLETIN DU FOYER RURAL DU BILLOT, N° 44, Décembre 1994, pp.15-26 et BSHL n°42 septembre 1998. Familles de Belleau, de Lyée.
DETERVILLE Philippe : Notre-Dame-de-Courson, Manoir de Courson, PGMPA, pp. 86-89; 5 travées + adj. cheminée au centre portes aux extrémités, lucarne à pignon encorbellement, chronogramme 1671 sur le tuileau (cf. H. PELLERIN, PAR, 11-1962)
GOY Robert, « Le Comité de Surveillance de Notre-Dame-de-Courson (Brumaire-Fructidor an II) », PAR, 24, N° 9, Septembre 1974, pp. 24-29; 24, N° 10, Octobre 1974, pp. 15-21
GOY Robert, « Les cahiers de doléances du Tiers Etat du Bailliage d’Orbec pour les Etats généraux de 1789 », PAR, 26, N° 11, Novembre 1976, pp. 21-27,ill.; N° 12, Décembre 1976, pp. 20-28, ill.
Cahiers de Saint-Pierre-de-Courson, de Notre-Dame-de-Courson rédigés par Pierre Langueneur du Longchamp, Avocat au Parlement, Lieutenant de la Haute Justice d’Auquainville; de Livarot. Tenue de la réunion à Orbec. Officiers de Lisieux, Le Bailly, Rivière.
GOY Robert, « Les anciennes chapelles de la paroisse de Notre-Dame-de-Courson », PAR, 30, N° 1, Janvier 1980, pp. 11-14, ill.; N° 2, Février 1980, pp. 8-12, ill.
LESCROART Yves, « Le manoir de Courson », PAR, 21, N° 11, Novembre 1971, pp. 25-26, ill.
LYEE de BELLEAU C. de, « Fêtes de la Révolution à Notre-Dame-de-Courson », PAR, 5, N° 1, Janvier 1955
LYEE DE BELLEAU C. de, « Paroisses Notre-Dame et Saint-Pierre-de-Courson », PAR, 20, Octobre 1970
LYEE de BELLEAU C. de, « L’église de Notre-Dame-de-Courson et la période révolutionnaire », PAR, 20, N° 11, Novembre 1970
MAYER Jannie, Ministère de la Culture et de la Communication Direction du Patrimoine. Catalogue des Plans et Dessins des Archives de la Commission des Monuments Historiques – Tome I, Basse-Normandie: Calvados, Manche et Orne. Introduction de Françoise Berce, Caen, Lafond, 1980, 167 x 250, VII, 367 p., ill. couv. ill.
MOIDREY François TARDIF de, Les Maisons de Bois de Lisieux et l’histoire du Manoir de Belleau, Communication faite le 5 avril 1923 à l’amphithéâtre Richelieu de la Sorbonne au Congrès des Sociétés Savantes (Section d’Archéologie) par le Baron de Moidrey, Membre de la S.F.A. et de la Société des Amis du Arts de Lisieux – 1923 in = F. de Moidrey, L’architecture des maisons de bois. A travers les rues de Lisieux, Bibl. mun. de Lisieux, Ms. 158, p. et Journal Officiel, 4 avril 1923, p. 3395.
photocopie
NEDELEC Yves, » Le Manoir de Courson « , Société d’archéologie et d’histoire de la Manche – Mélanges multigraphiés, 14e série, 1985, pp., 39-40
de Courtonne; de Belleau; de Neufville; du Houlley; Rioult de Neuville – » Assez proche de la route, l’église des Moutiers-Hubert, reconstruite après sa destruction en 1944 (les Painel y avaient fondé un prieuré donné à Hambye) »
PELLERIN Henri, « La chapelle du manoir de Belleau à Courson », PAR, 22, N° 12, Décembre 1972, pp. 5-14, ill.
2 – Pièces Justificatives.
Mémoires de la Société des antiquaires de Normandie.
Extraits:
– Guillaume Dandel, esc, Sr. de Belleau 1658.
Bulletin de la Société des antiquaires de Normandie.
Extraits:
– Le Secrétaire donne lecture, au nom de l’auteur M.de Moidrey, de la Société historique de Lisieux, d’une notice, accompagnée de dessins, sur les bois sculptés du manoir de Belleau, à N.-D.-de-Courson (Calvados, canton de Livarot), vendus, en 1920, à un ancien industriel de Nogent-le-Roi et emportés hors du pays.
Le manoir de Belleau, précédemment étudié par Pannier (Caumont : Statistique monumentale, t. V, p. 733 et suiv.) et par Charma (Normandie illustrée, Calvadm;, 1852, p. 69), remontait à l’epoque de Louis XII.
– Le superbe manoir de Belleau (aujourd’hui détruit) dans le style de la dernière période ogivale, était de 1505.
– Au manoir de Belleau, il y avait un plafond peint.
Annuaire des cinq départements de la Normandie.
Extraits:
Démolition du château de Belleau, a Courson.
Nous apprenons avec un vif regret la démolition du château de Belleau, dans le canton de Livarot. Ce château, construit en bois avec remplis de briques, était peut-être le plus complet qui nous restât de ce système de construction. J’en ai dit quelques mots dans ma Statistique monumentale; mais il eût fallu une monographie spéciale pour décrire toutes les sculptures qui le décorent à l’extérieur et aussi à l’intérieur.
Le plan que j’ai donné (dans ma Statistique, tome Ve) montre la disposition générale de l’édifice. Du côté du sud, une belle façade avec porte en bois légèrement cintrée, accompagnée de pilastres à pinacles, selon le style de la fin du XVe siècle; premier et second étage, éclairés par trois fenêtres et trois belles lucarnes avec toit élevé et rampants encadrant une ogive festonnée. Les entablements, entre le rez-de-chaussée et le premier étage, entre le premier étage et les greniers ou mansardes, formés de magnifiques poutres complètement sculptées, montrent des chasses ou autres sujets dont chacun est divisé par des têtes de requin qui se regardent et semblent sculptées pour former un encadrement aux personnages.
Du côté du nord, même ordonnance; mais au centre se trouve la tour de l’escalier (voir la planche suiv.) qui donne un certain mouvement à l’élévation, et qui ne pouvait, du reste, nuire à l’influence bienfaisante de la lumière. J’ai remarqué presque toujours que cette tour escalier était soigneusement placée du côté opposé au soleil : qu’elle était au nord, quand la maison avait une de ses faces au midi; à l’ouest, quand une des faces était au levant.
Nous retrouvons cette disposition dans le manoir du bout des prés, dans la même vallée, c’est-à-dire une façade avec un premier surmonté de trois belles lucarnes, et, du côté opposé, la tour-escalier tenant la place de la lucarne centrale et des fenêtres qui se trouvaient au-dessous; elle me parait avoir été très-usitée dans la contrée au XVIe siècle et à la fin du XVe, pour les châteaux ordinaires.
Le château de Belleau était d’une extrême solidité; il aurait pu, avec peu de frais, subsister plus de trois siècles encore. Ce n’est pas là ce qui l’a fait condamner, c’est la difficulté d’y établir des distributions intérieures.
Le colombier était du même temps et également en bois.
Nous avions espéré que, tout en construisant un château neuf à quelque distance de l’ancien, le propriétaire pourrait le conserver : il y eût eu de magnifiques greniers pour les fourrages, abondants dans celte vallée; il eût pu transformer le rez-de-chaussée en magasins, toujours utiles dans un pays boisé ; conserver même, s’il en était besoin, quelques chambres pour des domestiques.
Il suffisait d’entretenir les toits en tuiles dont les charpentes superbes et intactes ne demandaient aucune réparation importante.
L’architecte et le propriétaire en ont décidé autrement, et celui-ci a eu la bonté d’offrir à la Société française d’archéologie, pour son musée, quelques-unes des sculptures qui décorent presque sans lacune toutes les parties visibles. La Société, tout en étant très-touchée de l’offre généreuse de M. de Lyée de Belleau, n’aime pas le morcellement; elle aurait voulu que cette façade entière fût achetée par un homme dégoût pour être replacée sur la façade d’une habitation qui aurait été construite dans les mêmes dimensions. Le château de Belleau n’est pas énorme: on en élève tous les jours de plus considérables.
Chacun des côtés aurait pu fournir des décorations pour un château particulier. Quelques parcelles de sculptures qui ne pourraient être utilisées dans les nouvelles constructions, auraient suffi pour le musée de Caen; mais l’ensemble du château, surtout, offre un grand intérêt, et les débris de ce bel ensemble en auraient infiniment moins, excepté pour les amateurs de bric-à-brac.
Nous avons donc fait sans résultat BOB efforts pour obtenir le placement des façades du château de Belleau, dont il ne restera bientôt plus de souvenirs que dans les dessins qu’en a faits M. Bouet.
A. DE CAUMONT.
Inventaire historique des actes transcrits aux insinuations ecclésiastiques de l’ancien Diocèse de Lisieux.
1695, 4 février – Notre-Dame-de-Courson
La nomination à la chapelle Saint-Michel de Belleau, sise dans l’enclave dud. manoir seigneurial, paroisse de Notre-dame-de-Courson, appartenant au seigneur dudit lieu, Messire Gabriel de Liée, Escuyer, seigneur de Belleau-la-Chapelle, nomme à ladite chapelle, non sujette à résidence, et vacante par la mort de Me Alexandre Dutac, prêtre, dernier titulaire, la personne de son fils, Messire Jean-Baptiste de Liée, clerc tonsuré.
Le même jour, Mre Le Nepveu, vicaire général donne audit sieur de Liée la collation dudit bénéfice.
Le 10 février 1695, le sieur de Liée prend possession de la chapelle Saint Michel en présence de Messire Louis de Liée, Escuyer, sieur de Tonnencourt.
624. — Le 29 déc. 1702, dispense de parenté au 3e degré pour le mariage entre Mre Louis de Liée, Escr, seigr de Tonnencourt, demeurant en lad. parr. de Tonnencourt, etdamlle Marthe de Liée, fille de Gabriel de Liée, Escr, seigr de Belleau-la-Chapelle, demeurant à Courson.
Chapelle Saint Michel de Belleau. — Chapelains. — A. Dutac — J.-B. de Liée.
— Patron. — Le seigneur du lieu. — G. de Liée de Belleau.
Le 10 févr. 1779, le Sr. Quérey (1) prend possession de la cure de St-Pierre-de-Courson, en présence de M. Pierre Hamel, curé de N-D. de Courson; Me. Jacques Manson, pbre, chapelain de la Chapelle de St-Michel de Belleau de Liée en lad. parr. N-D. de Courson; Me Gabriel Hémery, pbre du diocèse de Lx ; le Sr. Jean-Baptiste-François Le Cordier, Me en chirurgie, demeurant tous quatre à N.-D. de Courson, et autres témoins.
(1) M. B.-A. Quérey. qu’il ne faut pas confondre avec son neveu aussi appelé J.B.A. Quérey, était originaire de Malouy et se trouvait en 1791, curé de St-Pierre-de-Coursou. Il prêta serment avec restriction le 25 janv. 1791, et ce serment ne fut pu a admis; c’est pourquoi le saint prêtre fut destitué. Il lui fallut partir en exil le 5 sept. I792. Il se réfugia en Angleterre et passa toute la révolution a Londre avec son neveu, quand il revint, sa paroisse était supprimée; il desservit la paroisse de Bellouet qui n’était plus qu’une chapelle vicariale. Il mourut en 1806. (Archires du Calvadoss. — Mss de Reux. — Orde de Bx.)
229. — Le 7 juin 1782, la nomination à la chapelle de St-Michel de Belleau, située dans la cour du château du même lieu, parr. N.-D.de Courson, appartenant au seig. du lieu, Mes. Jean-Baptiste-Louis-Auguste de Lyée, seig. de Belleau, nomme à lad. chapelle, vacante par la mort de M. Jacques Manson, pbre, curé de Tonnencourt et dernier chapelain, la personne de Me François Joriaux, pbiv, originaire do b paff.
d’Abenon et desservant celle de Tonnencourt. Fait au château de Belleau.
Le 12 juin 1782, Le seigr. évêque donne aud. Sr. Joriaux la collation dud. bénéfice.
Le 10 juin 1782, le Sr. Joriaux prend possession de la chapelle de Belleau, en présence de plusieurs ouvriers.
« Item, Charles de Belleau, escuyer, tient de moy, par foy et hommaige ung demy fief de haubert, nommé le fief de belleau qui fut Richard de Belleau, à court et usaige, assis en la dicte paroisse de Courson et aux environs; à cause du quel fief il m’est tenu pour luy et ses soubz tenantz, en garde noble, le cas advenant, et en vingt jours de garde en mon chasteau de Chambrais quant le roy nostre sire prend son ost ainsy que les aultres tenantz noblement en ma dicte baronnie en la dicte branche d’Aucquainville avec reliefz, XIIIe, aydes feaulx et coustumières quant ilz eschient et le cas s’offre, et aultres charges et subjections, ainsi que les aultres tenantz p. 101. noblement en la dicte branche d’Aucquainville.
» Item, Gabriel de Liéez, (de Lyée), escuyer, tient de moy, comme dict est, en la dicte branche d’Aucquainville, un demy fief de haubert nommey le fief de Belleau, assis en la dicte paroisse de Courson et m’est tenu faire, pour luy et ses soubz tenantz, foy et hommaige, et en garde noble, le cas offrant, et en vingt jours de garde en mon chasteau de Chambrais ainsy que les aultres tenantz noblement en ma dicte baronnie en la dicte branche d’Aucquainville avecques reliefz, XIIIe, aydes feaulx et coustumières quant ilz eschient et le cas s’offre, et aultres charges et subjections, ainsi que les aultres tenantz noblement en la dicte branche d’Aucquainville.
1696, février
Transport par Gabriel de Lyée, écuyer, sieur de Belleau, paroisse de Notre-Dame-de-Courson, à Nicolas Crespin, notaire, demeurant à Vimoutiers, d’une rente de 11 livres 2 sols, à prendre sur François Foubert, qui s’en était obligé envers Henri de Guerpel, écuy, seigneur de Pertheville, pour vente d’une maison sise à Vimoutiers.
= A.D. 61, H 4818. Prieuré des Bénédictines de Vimoutiers.
1755, 8 janvier – Le Mesnil-Simon
Par devant Louis Questel Notaire, tabellion royal au Baiiliage d’Auge pour le siège de Cambremer Crévecoeur
Fut présent Messire Adrien Lambert Chevalier, Seigneur de Formentin et autres Lieux, Conseiller au Parlement de Normandie, demeurant à Rouen, Paroisse Saint Patrice, maintenant en son Château de Formentin.
Lequel a par ces Présentes Vendu et Promis Garantir A Messire Gabriel Auguste de Lyée, Chevalier Seigneur de Belleau, Cropus et la Christinière, demeurant En sa terre de Belleau, paroisse de Notre-Dame de Courson, acquéreur pour luy, ses hoirs ou ayant Cause
La terre Noble Du Mesnil-Simon qui Est un plein fief de haubert Entier, nommé le fief du Mesnil-Simon et S’étend ledit fief Tant en laditte Paroisse qu’en celle du Chesne De Lessard et des Monceaux, et Consiste tant en domaine fieffé, Rentes, Seigneurialles et droits seigneuriaux, qu’en domaine non fieffé, Sur lequel il y a Manoir Seigneurial, plusieurs autres maisons un Colombier et un Moulin à Bled.
La dite Terre Du Mesnil Simon en toutes Circonstances et Dépendances et sans par ledit Seigneur vendeur S’en Rien Réserver ny Retenir
A la Charge par ledit Seigneur acquéreur De tenir ledit fief du Mesnil Simon a foy et hommage siuriaux de la Baronnie de saint Julien le Faucon et de Payer au Chapitre de Lisieux chaque année Six Livres et Trois Chapons de Rente en Deux Parties de la nature de quatre Sous, desquelles Rentes ledit seigneur acquéreur déchargera a l’avenir et dès les Premiers Termes à Echoir ledit Seigneur Vendeur En Sorte qu’il n’en soit Inquiété, et au surplus Ledit fief et Terre du Mesnil Simon franc et quitte de soutes autres Rentes.
Et Comme Ledit Seigneur Vendeur n’entend se Retenir aucune des Terres qu’il Possède dans ces dites Paroisses, si quelques Parties d’Icelles Se Trouvoient ne pas faire Partie du Domaine non fieffé dudit fief du Mesnil Simon, elles seroient Egalement Comprises dans la Présente vente.
Comme aussi sont Compris dans La Présente Vente Toutes les Tonnes et Tonneaux Etant dans les maisons de la dite Terre – Et même les meubles et matériaux actuellement repostés sur Icelle qui se Trouveront être de l’appartenance dudit Seigneur Vendeur à la Charge Par ledit Seigneur acquéreur de la tenir Relevante des Seigneurs qui Justifieront par titres Valables En avoir La Tenure.
Cette vente aux charges Cy dessus Est faite en outre par le Prix de quarante Cinq Mille Livres, francs, deniers Venant aux mains dudit Seigneur Vendeur.
Sur et en diminution de laquelle Somme ledit Seigneur acquéreur a Présentement Payé audit Seigneur Vendeur, à vue de mondit Tabellion et Tesmoins Cy après nommés en Espèces d’or et d’argent Et autres monnyes ayant Cours Celle de Vingt deux mille Livres.
Et oblige ledit Seigneur acquéreur de Payer les Vingt Trois mille livres Restant audit Seigneur Vendeur au plus tard dans un an de ce jour, avec l’intérêt au denier Vingt du jour de noël dernier Jusqu’au jour du Payement, à Ce moyen ledit Seigneur acquéreur Joüira des objets vendus Comme du jour de noël dernier, ledit Seigneur Vendeur devant Toucher les fermages, arrérages Treizièmes et autres Revenus des objets Vendus Jusques et Compris L’année Echue – Ledit jour de noël dernier et Mêmes les Rentes Reculées d’Icelle qui ne Seroient par alors exigibles.
Ledit Seigneur acquéreur Entretiendra les Conventions faites avec les fermiers des Biens Vendus en si-orte que ledit Seigneur Vendeur n’en soit Inquiété.
Convenu que la Clause de Garantie Cy-dessus Stipulée ne S’étend pas aux Rentes Seigneuriales, aux droits Seigneuriaux, ni à l’étendue dudit fief des quels Trois objets Seulement ledit Seigneur Vendeur ne Sera Point Garant.
Ledit Seigneur de Belleau a Déclaré que la Somme de Vingt deux mille Livres par luy Cy dessus Payée provient des deniers qu’il a reçus pour la Dot de Noble dame Marie Charlotte Labbey de la Boissière Son Epouse par quittance Papier Devant les notaires de Cambremer Le Vingt avril mil Sept Cents Cinquante et le jour d’hier.
Et a pareillement ledit Seigneur acquéreur déclaré qu’en Considération du droit de Retrait qui appartient a ladite Dame Sa femme Sur lesdits Biens vendus à titre de Parenté avec ledit Seigneur Vendeur il Entend Retenir lesdits Biens en vertu du Droit de Retrait appartenant à la dite Dame son Epouse au Cas Seulement que la dite Terre fut Clamée par toutes autres Personnes dont le droit de Retrait ne Seroit pas Préférable à Celuy de Sa dite femme,, Par ce quand i Cas Seulement, que Saditte femme Devienne Propriétaire de La dite Terre elle Cofondera les deniers de Sa dot Employée à L’acquisition d’icelle.
Au moyen de tout Ce que dessus Ledit Seigneur Vendeur a Transporté audit Seigneur acquéreur Tous les droits de Propriété, qu’il avoit ou Pouroit avoir Sur lesdits Bens Vendus, dont il s’est en Sa faveur desaisi, Le Subrogeant à tous ses droits, noms, Raisons et actions
Pour par lui En joüir, et Disposer a l’avenir comme Vray Propriétaire et a cet Effet il luy Remettra Toutes fois et quantesd Les Titres et Papiers Concernant les dits Biens
Et D’autant qu’il y a plusieurs réparations à faire aux maisons de ladite Terre et Notamment au Toit du Colombier dont ledit Seigneur Vendeur a fait Démolir La Lanterne dans l’Intention de ne la pas faire Rétablir attendu qu’elle Est Inutile et que C’est elle qui a Occasionné La Ruine dudit Toit, Ledit Seigneur acquereur Est autorisé a faire faire lesdittes Réparation et même à Rétablir le Toit dudit Colombier Sans Replacer La ditte Lanterne et d’Employer aux dites Réparations Jusqu’à la Somme de Deux mille Livres Prendra pour Cet Effet Ledit Seigneur acquéreur les Bois nécessaires Sur le lieu au moins de dommage que faire Ce Pourra, parce qu’en Cas de Clameur, Icellui acquereur Seroit du tout Remboursé Sur mles quittances et mémoires qu’il Representeroit Tant d’achat de matériaux, que Du Travail des ouvriers, lesquelles Seroient Crues Sur Sa Simple affirmation, Sans qu’il Sois obligé de faire faire aucun devis, ni Procès Verbal pour Constater L’Etat actuel des dittes maisons et Colombier.
Sera Expédition du Présent Dellivré par ledit Seigneur acquéreur a Ses frais et Depens En forme Exécutoire audit Seigneur Vendeur Toutes fois Et quantes.
Ainsi Sont les dittes Parties Convenues et Demeurés D’accord, Promettant Icelles Respectivement Tout le Contenu Cy dessus Tenir et Entretenir Sous L’obligation de tous leurs Biens meubles et Immeubles Presents Et avenir. Ce fut fait et Passé au Chateau de Formentin le dix huit janvier avant midi Lan mil sept Cens Cinquante Cinq Presence de Pierre Vaullard demeurant Parroise de Glaus (sic) Sur Risle et farci Le Roy menuisier demeurant à Beaumont maintenant en ce lieu Tesmoins qui ont avec les Parties Et Ledit Me Quetel, Lecture faitte Signé La minute des Présentes, en marge de laquelle Est Ecrit Controlé et Insinué a Cambremer au folio Vingt Trois Verso article Premier et deux Ce vingt Trois Janvier mil Sept Cens Cinquante Cinq Recu Six Cens quarante Six livres sept Sols Sept deniers Signé fouquet avec Trait.
La Présente Expédition qui Seroit Parfaitement Conforme à Sa minute Sans les qualifications Nobiliaires En Matieres féodalles que nous avons Barrés au terme de la Loy du mois de Pluviose an huit a Eté Dellivrée a Monsieur de la Rivière Propriétaire demeurant à Falaize qui La ainsu Requise, Par nous henry Noël notaire Impérial à Cambremer, arrondissement de Pont L’Evêque, département du Calvados Soussigné Ce Dix Juin mil huit cens neuf
Noël
Reçu de M Gosset Sept francs soixante six centimes
Pour Tous les droits de la Présente Exped.
= Arch. M. de Longcamp – MC photocopie.
Manoir de Belleau.
— Le manoir de Belleau. dit M. Pannier, offre deux belles façades couvertes de bas-reliefs, d’arabesques et d’écussons sur lesquelles le ciseau naïf du sculpteur s’est plu à reproduire tous les caprices de son imagination. Sur l’encorbellement du rez-de-chaussée de la façade méridionale est représentée une chasse au cerf, dont les différents épisodes sont retracés avec cette naïveté charmante qui caractérise les oeuvres des artistes de la dernière période ogivale. Dans sa simplicité, l’artiste, manquant de hauteur pour placer ses figures debout, a difficulté eu mettant tout bonnement à plat ventre les chasseurs et piqueurs qui poursuivent la bête. Parmi les curieux bas-reliefs qui décorent les poteaux ou pieds-droits, on remarque Adam et Eve au pied de l’arbre de la science du bien et du mal. Ève tient dans ses mains une pomme. A travers le feuillage apparaît le serpent à tête humaine, qui se réjouit malicieusement d’avoir trompé la première femme. La sablière, couverte de gracieux rinceaux, se termine à ses extrémités par des têtes de monstres grimaçantes, auxquelles les archéologues ont donné les noms significatifs de rageurs et avales-poutres.
Les potelets qui garnissent les colombages sont décorés de légers contreforts surmontés de pinacles. Les tuiles inclinées, placées entre les colombages, étaient de deux couleurs différentes, rouges et noires, alternant entre elles.
Deux jolies portes à arc surbaissé, flanquées de gracieux contreforts et surmontées d’ogives en accolade, s’ouvrent vers les extrémités de la façade. L’étage supérieur, construit en encorbellement, est surmonté de trois belles lucarnes festonnées qui font saillie sur le toit.
En démolissant un petit bâtiment en charpente adossé contre la façade septentrionale, on a mis a découvert un bas-relief dont M. Bouet a fait un dessin. Ce bas-relief, parfaitement conservé, représente deux oiseaux fantastiques buvant dans un vase dont la forme est celle d’un calice. Les cous de ces oiseaux, que l’on pourrait prendre, à première vue, pour des cygnes, sont passés dans une couronne formant collier. Une jolie tourelle octogone, renfermant l’escalier, est appliquée contre cette façade où était placée autrefois l’entrée principale. Une galerie à gauche de l’escalier, précède les pièces du rez-de-chaussée, dont les poutres saillantes étaient autrefois couvertes de peintures. Nous donnons, page suivante, le plan du château de Belleau.
Parmi les armoiries qui décorent l’une des façades, nous avons remarqué celles de Bretagne, un écusson chargé d’hermines, qui fixe la date de ce manoir, l’un des plus curieux spécimens des constructions en bois élevées sous le règne de Louis XII.
Toutes les sculptures du premier étage sont empruntées au règne végétal. Il s’y trouve aussi un grand nombre de blasons qui méritent d’être étudiés; car, sans nul doute, c’est l’arbre généalogique du membre de la famille de Lyée à qui est due la construction de cette splendide demeure.
Trois belles lucarnes à bordures dentelées mouvementent les grands combles. Leur poinçon porte la salamandre, indice certain que leur construction date du règne de François Ier.
La décoration n’est pas moins riche du côté opposé. Blasons, rinceaux grotesques, oiseaux, quadrupèdes, masques humains s’y disputent les sablières, les potelets, les poteaux d’huisserie, les poteaux corniers et les linteaux des baies.
Parmi les blasons, nous en avons remarqué deux, l’un portant la panetière et les coquilles de saint Jacques, avec le bourdon et un bâton croté en sautoir; l’autre, des outils de charpentier accompagnés des lettres P.D.L(?).
Le fief de Belleau-la-Chapelle, mouvant de la seigneurie de Carel, est entré dans la famille de Lyée par le mariage de Robert de Lyée, seigneur de- Tonancourt, avec Perrette de Belleau, dame de Belleau et de la Fosse, l’an 1426.
Depuis cette époque, celte terre n’a cessé d’appartenir à leurs descendants. Après la mort, survenue en 1505, de Robert de Lyée, petit-fils du précédent et sieur de Lyée, Tonancourt, Belleau, la Fosse, le Coudray et Heurtevent, le fief de Belleau tomba en partage à René de Lyée, l’un des quatre fils qu’il avait eus de son mariage avec Catherine de Querville. C’est probablement de celte époque que date la construction du manoir. On trouve cependant sur un des écussons qui le décorent les armes de Marie de Martainville, dame de Bigars-sur Risle, que René de Lyée épousa en 1518 : mais il y a lieu de croire que cet écusson, laissé brut au moment de la construction, fut blasonné après coup par l’ouvrier. Le manoir de Belleau, si digne de l’intérêt des amis des arts comme de ceux du pittoresque, était encore il y a peu de temps la résidence de la famille de Lyée de Belleau; mais, à la suite d’un projet de restauration qui il a pas encore reçu son exécution, il a cessé d’être habité et, les intérieurs en ayant été démontés, il est resté dans un état précaire qui inspire des craintes pour sa conservation. Cependant M. de Lyée, membre du Conseil général, nous affirme qu’il se propose de le faire consolider, et nous espérons que ce charmant manoir continuera à faire l’ornement de la vallée dont le gracieux aspect puise un mérite de plus dans la présence de ces vieux restes d’un autre âge.
Derrière le manoir, une jolie futaie couvre de son ombre un sol rapidement incliné : un colombier aussi ancien que la maison elle-même l’accompagne. A quelques pas se trouve aussi une chapelle du XVIe siècle qui ne manque pas d’intérêt, mais qui ayant perdu sa destination primitive, a souffert dans son ornementation.
Presque en face de ce manoir, de l’autre côté de la vallée, on voit un château du XVIIe siècle en pierre et brique :
c’est un autre Belleau, distingué du premier par le surnom de Belleau-Belleau. Ce fut sans doute dans l’origine une portion du même fief, séparée depuis par un parage; elle est restée dans l’ancienne famille de Belleau, tandis que l’autre fragment entrait dans la famille de Lyée. Guy de Belleau vivait en 1184; sa descendance s’est éteinte, de nos jours, dans la personne de M. de Belleau-Courtonne; mais celui ci appartenait à une autre branche de la même famine : celle de Belleau-Belleau n’a pas survécu à la première moitié du siècle dernier. La propriété a passé dans les mains de la famille Deshayes de Bonneval et d’Apremont, qui l’a revendue il y a peu d’années. Le château, d’ailleurs bien construit, est d’un intérêt médiocre, de même qu’une petite chapelle qui se trouve à peu de distance.
Signalons encore à Courson le manoir de Beyville, aujourd’hui dépendant de la terre de Belleau, et qui a appartenu , depuis le XVIe siècle jusqu’à nos jours, à la famille Deshayes de Bonneval et d’Apremont ; puis le manoir de Valsery, encore subsistant, et qui a servi de résidence à une branche de la famille de Bonnechose. Voici, du reste, le nom des gentilshommes qui ont fait preuve de noblesse à Notre-Dame-de-Courson, en 1666 : Thomas de Bonnechose, sieur de Valsery ; Marguerite de Nourry, veuve de Charles de Belleau, sieur de Canapville, tutrice de François et Charles de Belleau, ses fils; Jean-Baptiste Deshayes, sieur de la Cauvinière; Philippe Deshayes, sieur de Beyville ; Jean Le Michel, sieur de La Babouelle, et Guillaume de Lyée, sieur de Belleau.
A Saint-Paul-de-Cortonne:
En 1463, Montfaut trouva à St-Paul, Thomas Eustache ; mais il est probable que la famille de Belleau possédait déjà la terre, car les montres de la noblesse du bailliage d’Évreux de 1469, six ans plus tard, font mention de Jean de Belleau, escuyer, seigneur du lieu et de Courtonne.
Toutes les recherches subséquentes fournissent des noms de seigneurs de la même famille, laquelle ne s’est éteinte qu’en 1834 dans la personne de M. Charles-Prudence de Belleau, dont on voit le tombeau dans le cimetière.
On trouve aussi, de l’autre côté de l’église, les sépultures de madame Marie Claude de Vauquelin, baronne de Cauvigny, décédée à St-Paul le 26 octobre 1838, et de Élisabeth-Constance-Stéphanie-Louise de Belleau, décédée le 26 juin 1850.
Description du Manoir du 6 mars 1856
En septembre 1869 achèvement de la démolition du manoir de Belleau à Courson par son propriétaire Monsieur de Lyée de Belleau
2 – Pièces Justificatives:
En septembre 1869 achèvement de la démolition du manoir de Belleau à Courson par son propriétaire Monsieur de Lyée de Belleau
Description du château du 6 mars 1856
Recherche des nobles de l’élection de Lisieux
Jean de Belleau, seigneur du lieu et d’Ocainville
– Jean de Lyée, seigneur de Belleau et de Bigars pour lui et pour son oncle, Henri de Lyée, demeurant à Tonancourt, a baillé sa généalogie
commençante à Robert de Lyée, écuyer, et damoiselle Marguerite, sa femme, vivants le 15 décembre 1345, et il a dit fournir descente, suivant les lettres par lui produites, dont la copie est demeurée au greffe.
– 16. Jean de Belleau, Sr. du lieu et d’Ocainville, a fourni sa généalogie avec Pierre de Belleau, Sr. de St.-Paul de Courtone, comme il
sera déclaré sur la dite parroisse de Saint-Paul.
3 – Archives ShL:
Carnets de Charles VASSEUR –
DOYENNE DE LIVAROT – 14.
Capella de Bella Aqua – St Michel de Belleau
Patronage:
14e Guillelmes de Pulchra Aqua
16e et 18e Dominus loci
Chapelle St-Michel de Belleau.— Chapelain.—Jq Manson – F. Joriaux
Patron: Le seigneur du lieu – J.B.L.A de Liée de Belleau
Patronage:
14e Guillelmes de Pulchra Aqua
16e et 18e Dominus loci
– Dossier « Lieux M à Z » : Manoir de Courson (Y. Lescroart)
Achat du 11- 02-2003.
Lot n° 75 :
Lot n° 75 PAYS D’AUGE, SEIGNEURIE DE BELLEAU (Notre Dame de Courson)
1713, papier, aveux ;
1717, parchemin, aveux ;
1748, parchemin, aveux ;
1704 et 1764, 2 pièces parchemin, aveux ;
1746 et 1749, 2 pièces parchemin, aveux ;
1484-1708, 14 pièces parchemin, 2 pièces papier, aveux (les parchemins en partie ruinés) ;
1745, parchemin, aveux ;
Famille Lyée de Belleau, 1704-1753, liasse dont 1740, requête de l’intendant d’Alençon au sujet des 725 toises du chemin impraticable (à Courson), les voitures restent embourbées, spécialement celles qui voiturent les fers des grosses forges d’Orville à Lisieux ;
Famille Lyée de Belleau 1675-1817, 13 pièces parchemin et 38 pièces papier, rentes, ventes de terres, refus de passage, 4 certificats de l’Ordre de Saint Michel ;
Seigneurie de Belleau (Notre Dame de Courson), 1567-1663, 4 pièces parchemin, aveux ;
idem, 1717-1748, 2 pièces parchemin, Les masures de Notre Dame de Courson ;
Notre Dame de Courson, seigneurie du Belleau, 1563-1753, liasse de 14 parchemins, aveux pour l’aînesse de la Montonnière.
Insinuations
Marguerite de Noury, veuve de Charles de Belleau seigneur de la Napville, tutrice de François et Charles de Belleau, ses fils, anciens nobles.
Guillaume des Liée, seigneur de Belleau
Terre des Maignans située sur le bord de la route de Lisieux à Gacé, appartenant à Madame Angélique Françoise Marguerite Lescot, veuve de
Recherche de 1666
Jean Baptiste Lemichel, seigneur des Pommerais, ancien noble.